cas n° 1
cas n° 2
Là, on voit tout de suite le benef

OK Tristesir, mais il n'y aura pas que les plus âgés à maléficier du RSA, il y aura tous les autres, qui même avec des salaires merdiques et peu d'heures rempliront un peu les caisses de la secu et des caisses retraite.Si grâce aux précaires il y a plus d'argent qui rentre dans les caisses de la sécu, ils vont pouvoir accorder des exonérations de cotisations aux patrons. Par exemple, s'ils embauchent des plus de 60 ans
OK Tristesir, mais il n'y aura pas que les plus âgés
C'est prévu X.Bertrand (l'odieux personnage) qui l'a avancé à l'émission "Capital" de dimanche en annonçant que le patronat n'aurait pas a payé les 4 % et ni le salarié les 2 % de cotisation chômage.puisque à 60 ans si le salarié quittait ou perdait son poste il se retrouverait en retraite !tristesir a écrit :Si grâce aux précaires il y a plus d'argent qui rentre dans les caisses de la sécu, ils vont pouvoir accorder des exonérations de cotisations aux patrons. Par exemple, s'ils embauchent des plus de 60 ansen quoi ça leur coûte quelque chose
..../.... Martin Hirsch a également insisté sur le fait que les bénéficiaires du RSA, contrairement à ce qui se passait souvent pour les Rmistes, auront un plein accès au service public de l'emploi et à ses aides, notamment en termes de formation. A ce titre, a-t-il estimé, "on a brisé un tabou". Il est également revenu sur la période de transition de neuf mois prévue par la loi (soit jusqu'à fin mars 2010) pour inviter les actuels bénéficiaires du RMI relevant maintenant du RSA socle à un premier contact permettant leur orientation - ou pas - vers Pôle emploi.
Invité à s'exprimer sur le fait que Pôle emploi et l'Assemblée des départements de France n'ont finalement pas réussi à s'entendre sur la signature d'une convention-cadre nationale, le haut-commissaire a déclaré : "Après des oui, non, peut-être..., l'ADF a finalement préféré que le document soit un acte unilatéral de Pôle emploi" et que chaque conseil général reste libre de signer sa propre convention départementale avec Pôle emploi. Il a également rappelé que, s'agissant de l'"offre renforcée" de Pôle emploi, les départements resteront libres de préférer "s'adresser à un autre acteur, à des associations pour le faire, public ou privé".
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Principales pistes de réflexion
1
Conditionner la mobilisation des aides du Programme départemental d’insertion à la signature d’un « contrat d’engagements réciproques en matière d’insertion sociale ou professionnelle ».
2
Avancer vers une appréciation commune du niveau des ressources des foyers sur un même territoire d’intervention sociale.
3
La collaboration entre partenaires de l’action sociale, nécessaire pour la mise en place du RSA, devrait permettre d’avancer vers une concertation active pour la délivrance des aides financières.
4
Avancer dans la réflexion vers un dossier commun du demandeur des aides sociales locales
5
Aller vers la substitution du critère des ressources au critère du « statut » pour l’octroi des aides financières locales en évitant les effets de seuil. En aucun cas, les critères retenus ne doivent pénaliser le retour à l’emploi.
6
Faciliter la généralisation de l’accès à CAFPRO pour les services instructeurs du RSA afin de disposer d’une meilleure connaissance des ressources des demandeurs.
7
Aller vers une meilleure lisibilité des dispositifs d’aides locales pour les professionnels,
Principales propositions
1
Réunir dans une Déclaration de principes les axes de progrès acceptés par tous les acteurs de l’action sociale locale et la proposer à leur signature.
2
Diffuser rapidement, à l’attention des décideurs, un guide de bonnes pratiques pour optimiser l’évolution des aides sociales locales après la mise en place du RSA.
3
Faire entrer l’évolution des aides financières locales parmi les critères d’évaluation du RSA.
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Je plussoieMême chose pour les décisions concernant l'Unedic : c'est toujours après, quand les gens sont enfin confrontés à la réalité, qu'ils comprennent ce que les Cassandre ont voulu dire, pour peu qu'ils aient eu l'occasion de les entendre s'exprimer.
C'est donc dans les mois qui viennent que les principaux intéressés pourront répondre à cette question en constatant qu'ils se font baiser jusqu'à l'os.
Nous, on connaît déjà la chanson.
http://www.tribunedusud.fr/faits-divers ... oyale.htmlLes entreprises du nettoyage veulent-elles jeter le bébé alors que l’eau du bain n’a pas encore coulé ? Le Revenu de solidarité active (RSA) n’entrera en vigueur que le 1er juin, mais il suscite déjà la polémique dans la région. Voté en novembre dernier par le Parlement, ce dispositif sonne le glas du Revenu minimum d’insertion (RMI) et de l’Allocation parent isolé (API). Dans l’affaire Adoma (lire ci-dessous), les salariés des entreprises autrefois titulaires des marchés de nettoyage de l’ex-Sonacotra sont persuadés d’avoir perdu leur emploi au profit de deux régies d’insertion sociale pour la simple et bonne raison qu’elles feraient travailler des bénéficiaires du RSA, dispositif testé à Marseille depuis le 1er janvier 2008. Cette thèse est aussi soutenue par leur avocat. « La coïncidence est pour le moins troublante », affirme Me Bernard. C’est peut-être un mauvais hasard, mais je ne crois plus trop au hasard », argumente-t-il en considérant que le RSA ait pu, en l’espèce, « être dévoyé de son objet ».