Mikado a écrit : ↑10 déc. 2025Mon conseiller m’a indiqué qu’il n’avait pas le temps de répondre par écrit, ce qui aurait été utile pour sécuriser la démarche. Je compte donc appeler aujourd’hui le 3949, en donnant mon numéro de dossier pour tomber directement sur un conseiller indemnisation de mon agence, puis envoyer un mail récapitulatif à mon conseiller pour laisser une trace écrite.
Bonjour Mikado
Le nro d'identifiant est obligatoire mais pour avoir en ligne un conseiller INDEMNISATION il faut
prendre la file 4 (un conseiller de votre agence sinon un d'une autre agence)
Pour le reste je reviendrais plus tard mais si vous relisez mes posts vous avez déjà 95% des réponses à vos questions

dont celle
des Droits issus de votre licenciement en cours qui eux seront calculés et feront l'objet d'un RECHARGEMENT DE DROITS une fois le RELIQUAT de vos Droits actuellement ouverts totalement épuisés.
Je rajoute que CSP avant de basculer en ARE ou pas CSP la règlementation "épuisement reliquat droits en cours puis rechargement nouveaux Droits" est exactement la même.
A plus
******************12h05 : comme vous êtes déjà partie je continue mon post ************************************************************
Mikado a écrit : ↑10 déc. 2025
Point restant à confirmer : en cas de refus du CSP, je souhaite valider que ce sont bien mes droits ARE existants (ouverts suite à mon emploi antérieur) qui continuent bien leur cours et que le refus n’entraîne pas automatiquement l’ouverture ou le recalcul de nouveaux droits issus de l’emploi récemment perdu. D’après ce que j’ai compris, ce seraient ces derniers qui prendraient le relais, diminués de la période pendant laquelle j’aurais pu être en CSP.
Je vous ai déjà répondu sur ce point les jours précédents et viens de le faire juste au dessus (en gras).
En
CSP la durée totale est de 12 mois puis bascule en réglementation générale ARE pour la durée des droits restants.
J'ignore votre âge mais si vous ouvrez 24 mois de Droits, vous percevrez 12 mois d'ASP et les 12 autres mois seront en ARE.
Et comme déjà expliqué à l'épuisement total du
RELIQUAT des droits déjà ouverts il y aura
RECHARGEMENT DE DROITS pour une durée de 12 mois.
Au RECHARGEMENT DE DROITS ARE il vous sera appliqué un DIFFERE pour congés payés si votre employeur vous les a payés (et éventuellement un DIFFERE pour indemnités supra légales) ET un délai d'attente de 7 jours puisque votre dossier Indemnisation n'aura pas fait l'objet d'un nouveau traitement dans les 12 mois précédents. Les DIFFERES sont calculés au lendemain de votre perte de contrat et votre 1er jour d'indemnisation démarrera à l'issue des DIFFERES et DELAI D'ATTENTE.
Fiche thématique ARE :
https://www.unedic.org/la-reglementatio ... emploi-are
Fiché thématique RECHARGEMENT DE DROITS :
https://www.unedic.org/la-reglementatio ... hargeables
Mikado a écrit : ↑10 déc. 2025
Je me suis toujours déclaré demandeur d’emploi même en ayant cumulé un emploi conservé et l’emploi repris que j’ai ensuite perdu suite au licenciement économique.
Mon conseiller indemnisation m’a confirmé que le cumul CSP + emploi conservé est possible étant donné que j’ai exercé les deux activités en parallèle pendant plusieurs années.
Concernant mes droits ARE existants, ils seraient suspendus pendant le CSP et à la fin de celui-ci, je pourrais reprendre le reliquat. Cependant, le délai de déchéance n’est pas modifié par le CSP, ce qui peut influencer la reprise si je maintiens mon emploi conservé.
Pour les 2 premiers paragraphes je vous en ai aussi parlé dans mes posts précédents (je vous avais cité la partie de la réglementation listant les critères pour en bénéficier)
Pour le dernier paragraphe
et si vous optez pour le CSP
tout en continuant votre activité conservée votre conseiller vous confirme que vos droits actuellement ouverts seront "suspendus" et tout est dans la formule utilisée. Soit c'est juste un BLOCAGE de vos droits actuels (= le conseiller force/arrête le process automatique de versement de vos indemnités) et rien ne se passe une fois le CSP finalisé soit c'est beaucoup plus qu'un simple "blocage" et là il y aura d'abord une REPRISE DE VOS DROITS ACTUELLEMENT OUVERTS (pour faire "remonter vos droits" = réactiver votre dossier) jusqu'à épuisement total du RELIQUAT avant RECHARGEMENT DE DROITS issus de votre licenciement économique. Je pense tout de même qu'il s'agira d'un simple blocage
Laissez tomber l'histoire du "délai de déchéance" cela ne fait que vous embrouiller et sa pseudo "explication" est totalement vaseuse
Mikado a écrit : ↑10 déc. 2025
Je commence à pencher pour le refus du CSP, afin de conserver la continuité de mes ARE actuelles et d’éviter des complications liées au délai de déchéance ou au cumul avec mon emploi conservé.
Là aussi Laissez tomber l'histoire du "délai de déchéance" cela ne fait que vous embrouiller et sa pseudo "explication" est totalement vaseuse
L'important est de savoir si vous voulez optez pour le CSP (très avantageux financièrement parlant) ou pas
Mikado a écrit : ↑10 déc. 2025Mon conseiller m’a indiqué qu’il n’avait pas le temps de répondre par écrit, ce qui aurait été utile pour sécuriser la démarche. Je compte donc appeler aujourd’hui le 3949, en donnant mon numéro de dossier pour tomber directement sur un conseiller indemnisation de mon agence, puis envoyer un mail récapitulatif à mon conseiller pour laisser une trace écrite.
Je vous ai répondu mais vous étiez déjà partie, j'espère que vous avez pris la
file 4 sinon cela ne sert à rien
Quant aux conseillers indemnisation qui n'ont pas le temps de répondre par écrit (sauf si bien sûr vous lui adressez un mail) ce que je peux vous en dire c'est que chacun assure au minimum 2 demies journées par semaine à cette maudite tâche 3949, qu'en 4 h ils peuvent enchaîner plus de 50 appels et qu'ils disposent d'un temps imparti pour répondre à chacun (j'avais découvert ce "machin" à la fusion anpe/assedic, un vrai mouchard)
Dans votre cas c'est lui qui vous a contacté et devoir, ensuite, vous confirmer la conversation par écrit ne lui était probablement pas possible par rapport à son planning. ET c'est la raison pour laquelle ici sur le forum je conseille toujours d'envoyer un mail à son conseiller indemnisation déjà parce que cela laisse une trace écrite (et votre dossier est topé) mais aussi parce qu'il a l'obligation de vous répondre sous 72h.
J'espère avoir tout balayé
