On peut à juste titre le ressentir come un vol (à tout le moins comme une captation des indemnités de licenciement), mais c'est juridiquement indéfendable.
L'argumentation de la CMAC est que les sommes ne sont pas réellement "escamotées", mais simplement différées. Effectivement, la durée totale d'indemnisation n'est pas réduite.
A l'époque, j'avais objecté que je n'envisageais pas d'utiliser la totalité de mes droits et que c'était dès à présent que j'avais besoin de mes allocations, sans devoir "manger" mes indemnités. La suite a hélas prouvé le contraire...
Dans le cas de richard12, la perte est sèche. Mais cela tient au fait qu'il a retrouvé rapidement un emploi... et ça, c'est incontestablement positif
