Arf, je soigne ma beauté intérieureun ravalement de façade!
Les classes moyennes, c'est quoi ?
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maguy
Re: Les classes moyennes, c'est quoi ?
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Invité
Re: Les classes moyennes, c'est quoi ?
Mais que vous êtes dures, les filles !
Voilà un charmant jeune couple qui habitait un deux-pièces dans Paris pour 500€/mois chauffage compris, bon ils ne pouvaient pas le savoir que les loyers sont plus élevés que ça normalement, surtout Charles-Adhémar (son véritable prénom) qui est "cadre dans une grosse boîte d'immobilier"...
Et Marie-Chantal (son véritable prénom) qui va peut-être devoir choisir entre le restaurant et la salle de sport, si vous croyez que c'est facile.
Quand on a été élevé au milieu de personnes convenables, se rendre compte qu'on ne peut même pas se payer le 92, qu'un peu plus on était obligé d'habiter le 93... "Aââârhhh noon pas le 93" , qu'elle criait dans son cauchemar la pauvrette, en enfonçant ses ongles manucurés dans le bras de Charles-Adhémar... Surtout ne lui dites pas que la préfecture du Val-de-Marne c'est Créteil, soyez pas vaches. Ah Créteil...ses tours, ses voitures brûlées...
Ah non c'est vrai, les voitures brûlées c'est pas grave, Charles-Machin a une voiture de fonction, ouf.
300€ de gaz tous les mois pour chauffer 65m2 ?? Y a un micro-climat arctique dans le Val-de-Marne ? Ils n'ont pas dû trouver le bouton marche-arrêt. On n'est pas très manuel je suppose, chez Papa-Maman Trèsaisé.
Rue89 balance toujours des articles provocants comme ça. Je veux croire que ce couple n'est pas représentatif de la classe moyenne, c'est juste un couple de prétentieux assez stupides.
Voilà un charmant jeune couple qui habitait un deux-pièces dans Paris pour 500€/mois chauffage compris, bon ils ne pouvaient pas le savoir que les loyers sont plus élevés que ça normalement, surtout Charles-Adhémar (son véritable prénom) qui est "cadre dans une grosse boîte d'immobilier"...
Et Marie-Chantal (son véritable prénom) qui va peut-être devoir choisir entre le restaurant et la salle de sport, si vous croyez que c'est facile.
Quand on a été élevé au milieu de personnes convenables, se rendre compte qu'on ne peut même pas se payer le 92, qu'un peu plus on était obligé d'habiter le 93... "Aââârhhh noon pas le 93" , qu'elle criait dans son cauchemar la pauvrette, en enfonçant ses ongles manucurés dans le bras de Charles-Adhémar... Surtout ne lui dites pas que la préfecture du Val-de-Marne c'est Créteil, soyez pas vaches. Ah Créteil...ses tours, ses voitures brûlées...
Ah non c'est vrai, les voitures brûlées c'est pas grave, Charles-Machin a une voiture de fonction, ouf.
300€ de gaz tous les mois pour chauffer 65m2 ?? Y a un micro-climat arctique dans le Val-de-Marne ? Ils n'ont pas dû trouver le bouton marche-arrêt. On n'est pas très manuel je suppose, chez Papa-Maman Trèsaisé.
Rue89 balance toujours des articles provocants comme ça. Je veux croire que ce couple n'est pas représentatif de la classe moyenne, c'est juste un couple de prétentieux assez stupides.
Re: Les classes moyennes, c'est quoi ?
Pour reprendre l'exemple de Rue89, "Lætitia et Jérémie" sont vraiment en haut du panier de la classe moyenne.• Les foyers de "classe moyenne" se situent en dessous de 4.068 euros nets par mois pour un couple sans enfant, et au dessous de 5.174 euros pour un couple avec 2 enfants.
• Les foyers aisés gagnent disposent de plus de 5.121 euros pour un couple sans enfant, et de plus de 6.637 euros pour un couple avec 2 enfants.
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maguy
Re: Les classes moyennes, c'est quoi ?
En effet. A l'époque où je visitais leur site (je n'y vais plus, mon PC se bloque ) ils passaient une série de "porte-monnaie à la loupe", dont une jeune étudiante, dont papa était saoudien (je crois) et ne lui filait que 6.000 ou 7.000€ par mois. Je ne suis même pas sûre qu'elle payait un loyer, mais elle devait faire attention, pov'choute.Rue89 balance toujours des articles provocants comme ça. Je veux croire que ce couple n'est pas représentatif de la classe moyenne, c'est juste un couple de prétentieux assez stupides.
Rue89, qui se pensait révolutionnaire est devenu n'importe quoi.
Ah oui faut faire fort, surtout TOUS les mois. Les provisions sur charges sont réparties sur l'année entière y compris les mois d'été. Tu as raison, ils n'ont pas trouvé le bon bouton300€ de gaz tous les mois pour chauffer 65m2 ??
Pas pour l'intelligence, ils devraient arrêter de se reproduire entre euxLætitia et Jérémie" sont vraiment en haut du panier
Les villes les plus touchées par la pauvreté et la précarité
La précarité touche inégalement les territoires. Ce constat maintes fois dressé est éclairé par une nouvelle étude inédite sur le taux de pauvreté (moins de 954 euros par mois en 2009. Le taux de pauvreté 2010 doit paraître fin août) dans les 100 plus grandes villes de France, réalisée par le bureau d’études Compass et publiée récemment dans La Gazette des Communes :
http://www.lagazettedescommunes.com/123 ... utruche-2/
La pauvreté touche plus les villes
Et la crise fait des ravages. En 2009, la France comptait ainsi 8,2 millions de personnes pauvres contre 7,8 millions un an auparavant. Les données du Compas illustrent que la pauvreté se concentre dans les villes de grande taille. Elles rassemblent un tiers des ménages précaires alors qu’elles ne regroupent qu’un cinquième de la population. «La ville attire les plus démunis, car on y trouve le plus d’opportunités de logement et d’emploi», rappelle Hervé Guéry.
La pauvreté est aussi plus forte dans les villes des départements d’outre-mer comme Saint-Pierre à La Réunion (46%), tout comme dans celles souffrant de la désindustrialisation à l’instar de Roubaix (Nord). Viennent ensuite les communes périphériques des grandes agglomérations à l’instar de Vénissieux (Rhône-Alpes) avec un taux de 32%, où l’emploi peine à se développer, et certaines villes du Sud de la France particulièrement touchées par le chômage comme Avignon (30%) ou Nîmes (29%). Situation plus contrastée pour Marseille (Bouches-du-Rhône) et Lille (Nord) avec 26 et 27%. «On y trouve une pauvreté importante et un dynamisme économique», note le directeur du Compas.
L’Ouest parisien épargné
A l’inverse, les villes de l’Ouest parisien sont épargnées, avec un taux de 7% pour Versailles (Yvelines) ou encore Neuilly (Hauts-de-Seine), «qui se caractérisent à la fois par la présence d’une population très aisée et par une offre faible en logements sociaux».
Quimper (Finistère) et Cholet (Maine-et-Loire), avec des taux de 13 à 14%, sont des cas intéressants. «Ces communes se distinguent par un certain dynamisme économique, par une part de la population issue de l’immigration – davantage touchée par la pauvreté – qui reste modeste, et par un moindre écart entre les revenus des plus riches et ceux des plus précaires», souligne l’étude.
Directeur de l’Observatoire des inégalités, Louis Maurin invite les communes à «poursuivre le travail entrepris par Le Compas pour connaître leur pauvreté locale». A Strasbourg, par exemple, il a permis de fixer les seuils des tarifs des transports en commun ou à déployer les équipes municipales là où les besoins sont les plus forts.
http://www.20minutes.fr/economie/985741 ... -precarite
http://www.lagazettedescommunes.com/123 ... utruche-2/
La pauvreté touche plus les villes
Et la crise fait des ravages. En 2009, la France comptait ainsi 8,2 millions de personnes pauvres contre 7,8 millions un an auparavant. Les données du Compas illustrent que la pauvreté se concentre dans les villes de grande taille. Elles rassemblent un tiers des ménages précaires alors qu’elles ne regroupent qu’un cinquième de la population. «La ville attire les plus démunis, car on y trouve le plus d’opportunités de logement et d’emploi», rappelle Hervé Guéry.
La pauvreté est aussi plus forte dans les villes des départements d’outre-mer comme Saint-Pierre à La Réunion (46%), tout comme dans celles souffrant de la désindustrialisation à l’instar de Roubaix (Nord). Viennent ensuite les communes périphériques des grandes agglomérations à l’instar de Vénissieux (Rhône-Alpes) avec un taux de 32%, où l’emploi peine à se développer, et certaines villes du Sud de la France particulièrement touchées par le chômage comme Avignon (30%) ou Nîmes (29%). Situation plus contrastée pour Marseille (Bouches-du-Rhône) et Lille (Nord) avec 26 et 27%. «On y trouve une pauvreté importante et un dynamisme économique», note le directeur du Compas.
L’Ouest parisien épargné
A l’inverse, les villes de l’Ouest parisien sont épargnées, avec un taux de 7% pour Versailles (Yvelines) ou encore Neuilly (Hauts-de-Seine), «qui se caractérisent à la fois par la présence d’une population très aisée et par une offre faible en logements sociaux».
Quimper (Finistère) et Cholet (Maine-et-Loire), avec des taux de 13 à 14%, sont des cas intéressants. «Ces communes se distinguent par un certain dynamisme économique, par une part de la population issue de l’immigration – davantage touchée par la pauvreté – qui reste modeste, et par un moindre écart entre les revenus des plus riches et ceux des plus précaires», souligne l’étude.
Directeur de l’Observatoire des inégalités, Louis Maurin invite les communes à «poursuivre le travail entrepris par Le Compas pour connaître leur pauvreté locale». A Strasbourg, par exemple, il a permis de fixer les seuils des tarifs des transports en commun ou à déployer les équipes municipales là où les besoins sont les plus forts.
http://www.20minutes.fr/economie/985741 ... -precarite