... Ceux qui se lèvent tôt
les puissants observe la population. ils se souvienne de 1789 et ont analyse la situation. il leur suffit de provoquer les evenement. le fait qu'il y ait eut un "68" ds de nombreux ne montrent rien
en tout cas aujourd'hui , on peut voir qu'il savent. le CPE a saute "par hasard" durant 2 proces : le PS et le scandale MNEF . et les faux electeurs de paris.
sinon ils peuvent faire passer des lois puis le decret d'application 1a apres.........
en tout cas aujourd'hui , on peut voir qu'il savent. le CPE a saute "par hasard" durant 2 proces : le PS et le scandale MNEF . et les faux electeurs de paris.
sinon ils peuvent faire passer des lois puis le decret d'application 1a apres.........
1789, en effet, fut le renversement de l'aristocratie au profit de la bourgeoisie.
Mais parlons un peu de 68, ce qui nous ramène à nos amis ouvriers-prolétaires.
La jonction ouvriers-étudiants ne se fit pas ; la grève générale, un temps porteuse des plus grandes espérances, fut vite mise en coupe réglée par les syndicats, notamment la CGT, inégalables experts en braderie des luttes. Les ouvriers obtinrent beaucoup matériellement ; mais rien en termes de liberté. Car, lorsqu'on obtient (enfin !) une mobilisation générale, on ne présente pas des revendications. On signifie des ordres, un point, c'est tout. En dépit du mythe, les négociations de Grenelle furent un échec et une honteuse capitulation en rase campagne. Qu'en reste-t-il aujourd'hui, hormis le nom cuisiné à toutes les sauces ?
Le mai étudiant était constitué d'un invraisemblable bazar idéologique, allant des maoïstes – des gens qui marchent au pas derrière un drapeau en adorant religieusement une idole, et dont on voit ce qu'ils sont devenus, cf Glucksman, entre autres – jusqu'aux anarchistes, qui ne marchent jamais au pas et n'adorent rien, sinon la liberté. Au milieu de tout ça, un joyeux bordel intellectuel, allant du meilleur au pire, mais incroyablement fécond – une foire aux idées inégalée à ce jour.
Les portes des usines restèrent fermées aux émeutiers de mai pour bien des raisons, mais il en est une à mon avis essentielle : les étudiants apportaient aux ouvriers de la pensée ; les ouvriers, à travers leurs syndicats bien " responsables ", bien " réalistes ", la rejetèrent comme " bourgeoise ". Et nous voici revenus à la case départ : pour le prolo, la culture, c'est l'affaire des bourgeois ; c'est snob et inutile. Pire : c'est suspect : ça sert à regarder le prolo de haut, à l'humilier. Évidemment, il y a des exceptions, il y a toujours des exceptions, mais l'ouvrier, se soumettant à l'image que le bourgeois lui envoie de lui-même, refuse d'exister intellectuellement.
Mais parlons un peu de 68, ce qui nous ramène à nos amis ouvriers-prolétaires.
La jonction ouvriers-étudiants ne se fit pas ; la grève générale, un temps porteuse des plus grandes espérances, fut vite mise en coupe réglée par les syndicats, notamment la CGT, inégalables experts en braderie des luttes. Les ouvriers obtinrent beaucoup matériellement ; mais rien en termes de liberté. Car, lorsqu'on obtient (enfin !) une mobilisation générale, on ne présente pas des revendications. On signifie des ordres, un point, c'est tout. En dépit du mythe, les négociations de Grenelle furent un échec et une honteuse capitulation en rase campagne. Qu'en reste-t-il aujourd'hui, hormis le nom cuisiné à toutes les sauces ?
Le mai étudiant était constitué d'un invraisemblable bazar idéologique, allant des maoïstes – des gens qui marchent au pas derrière un drapeau en adorant religieusement une idole, et dont on voit ce qu'ils sont devenus, cf Glucksman, entre autres – jusqu'aux anarchistes, qui ne marchent jamais au pas et n'adorent rien, sinon la liberté. Au milieu de tout ça, un joyeux bordel intellectuel, allant du meilleur au pire, mais incroyablement fécond – une foire aux idées inégalée à ce jour.
Les portes des usines restèrent fermées aux émeutiers de mai pour bien des raisons, mais il en est une à mon avis essentielle : les étudiants apportaient aux ouvriers de la pensée ; les ouvriers, à travers leurs syndicats bien " responsables ", bien " réalistes ", la rejetèrent comme " bourgeoise ". Et nous voici revenus à la case départ : pour le prolo, la culture, c'est l'affaire des bourgeois ; c'est snob et inutile. Pire : c'est suspect : ça sert à regarder le prolo de haut, à l'humilier. Évidemment, il y a des exceptions, il y a toujours des exceptions, mais l'ouvrier, se soumettant à l'image que le bourgeois lui envoie de lui-même, refuse d'exister intellectuellement.
Bonjour,
c'est clair que les "maitres de l'argent" se foutent bien d'une manif ...
Ceux qui se lèvent tôt n'ont pas fini et les autres vont apprendre.
Faut quand même comprendre
que notre "récession" est voulue et organisée.
C'est vers un crash que nous sommes poussés parceque c'est bon pour les banquiers mondiaux qui ont bien d'autres endroits pour dévellopper leurs affaires.
En revanche ici,
les banquiers mondiaux voient bien un tas de petits possédants qui ont acheté trés cher et surtout à crédit, des choses dont on leur a dit qu'ils pouvaient les acheter puisqu'on leur faisait crédit volontier.
Avec une bonne inflation, y'a moyen de tout récupérer à bas prix.
Ensuite, avec cet argent récupéré,
(en fait "ils" s'en foutent vu que c'est eux qui impriment les biftons),
ensuite donc le pays ayant traversé quelques années de misère,
viendra le renouveau.
car bien sûr, les pays où les banqiers mondiaux auront fait leurs affaires durant ce temps seront devenues de gros consomateurs soucieux de se procurer moultes fabrications issues d'une main d'oeuvre bon marché.
L'europe affamée travaillera sans doute fort docilement.
Un commerce équitable aidant, de nouvelles entreprises
grace à la croissance renaissante
seront à même d'accéder
aux crédits des banquiers.
Voilà !
Tu me crois pas ?
J'espère que t'as raison !
En attendant,
les mecs ils font le coup de l' €uro
à tout le continent Nord Américain.
Tu sais le coup du ...:
"On va demander aux distributeurs de jouer le jeu ..."
Et leur "Amero" ...
ça va leur rapporter un max de pognon ça !
Hold-Up et kidnapping
sont les deux mamelles de l'argent.
c'est clair que les "maitres de l'argent" se foutent bien d'une manif ...
Ceux qui se lèvent tôt n'ont pas fini et les autres vont apprendre.
Faut quand même comprendre
que notre "récession" est voulue et organisée.
C'est vers un crash que nous sommes poussés parceque c'est bon pour les banquiers mondiaux qui ont bien d'autres endroits pour dévellopper leurs affaires.
En revanche ici,
les banquiers mondiaux voient bien un tas de petits possédants qui ont acheté trés cher et surtout à crédit, des choses dont on leur a dit qu'ils pouvaient les acheter puisqu'on leur faisait crédit volontier.
Avec une bonne inflation, y'a moyen de tout récupérer à bas prix.
Ensuite, avec cet argent récupéré,
(en fait "ils" s'en foutent vu que c'est eux qui impriment les biftons),
ensuite donc le pays ayant traversé quelques années de misère,
viendra le renouveau.
car bien sûr, les pays où les banqiers mondiaux auront fait leurs affaires durant ce temps seront devenues de gros consomateurs soucieux de se procurer moultes fabrications issues d'une main d'oeuvre bon marché.
L'europe affamée travaillera sans doute fort docilement.
Un commerce équitable aidant, de nouvelles entreprises
grace à la croissance renaissante
seront à même d'accéder
aux crédits des banquiers.
Voilà !
Tu me crois pas ?
J'espère que t'as raison !
En attendant,
les mecs ils font le coup de l' €uro
à tout le continent Nord Américain.
Tu sais le coup du ...:
"On va demander aux distributeurs de jouer le jeu ..."
Et leur "Amero" ...
ça va leur rapporter un max de pognon ça !
Hold-Up et kidnapping
sont les deux mamelles de l'argent.
Et on se demande pourquoi les syndiqués sont toujours moins nombreux !les étudiants apportaient aux ouvriers de la pensée ; les ouvriers, à travers leurs syndicats bien " responsables ", bien " réalistes ", la rejetèrent comme " bourgeoise ". Et nous voici revenus à la case départ : pour le prolo, la culture, c'est l'affaire des bourgeois ; c'est snob et inutile. Pire : c'est suspect : ça sert à regarder le prolo de haut, à l'humilier. Évidemment, il y a des exceptions, il y a toujours des exceptions, mais l'ouvrier, se soumettant à l'image que le bourgeois lui envoie de lui-même, refuse d'exister intellectuellement
La culture, affaire de bourgeois ? Pas vraiment d'accord, après tout avec 26 lettres de l'alphabet on peut tout lire, ce qui a ennuyé pas mal le clergé, en son temps.
Ensuite il faut se poser des questions, lucidement avec recul.
Après tout, le prolo a aussi un cerveau. Il faut résister à la place qu'on veut nous assigner. Mais les "meneurs" qui ne sont plus charismatiques se sont embourgeoisés aussi.
Les manifs ou les occupations d'usine ne seraient donc que des jacqueries

pour certains oui, c'est surtout de la frustration.superuser a écrit :Si les prolos rejettent la culture, dite "bourgeoise", c'est parce qu'ils souffrent d'un complexe d'infériorité. C'est comme les machos qui, en réalité, ont peur des femmes.
D'autre ne comprennent ni la culture "bourgoise", ni celle des "classe moyennes" qu'ils classent dans "bourgeoise". Il distingent les "intellectuels" et les "manuel", veulent que leur enfant soit un "intellectuels" sans avoir l'idée d'avoir à financer des études. Parfois ce sont ceux là meme qui vont réver à avoir la maison la plus belle du quartier, avec la voiture la plus neuve devant.
au depart nous avions les nobles. ensuite est venu la revolution........
sauf que les livres ca courraient pas les rues, il y avait des cures pronant le "prier dieu pour avoir a manger". il n'y avait pas de voitures, ni de telephone. l'organisation devait etre tres dur pour les prolo de l'epoque qui considerait que les nobles etaient elus par dieu.
c'est a cette epoque que les bourgeois qui ont pris le pouvoir avec les franc macons, seul syndicat de l'epoque, ont commence a manipuler les prolo
le debut des prolo a consister a faire croire aux gens que c'etaient mieux les mines de charbon/l'usine plutot que d'etre paysan
depuis, toutes les revoltes ou manif sont organises dans le but de faire tourner la soupape et non pour que la cocotte explose
le prolo/ouvriers/soldats ne doit pas pense mais obeir. 200a de conditionnement ca laisse des traces
le gouvernement manipule l'information depuis longtemps. il l'efface si necessaire (lettre a guy moquet, censure du tabac...)
36 ou 68 sont bien plus complique que ca en a l'air. certains disent qu'en 36 c'est les patrons qui ont demande au gouvernement de donner les conges payes aux ouvrier
j'en connais a qui j'ai du bourrer le crane pour leur faire comprendre que des Exxx c'etait pas normal dans la bouffe.
alors prouver que l'ouvrier n'a pas une place obligatoire c'est raide....
sauf que les livres ca courraient pas les rues, il y avait des cures pronant le "prier dieu pour avoir a manger". il n'y avait pas de voitures, ni de telephone. l'organisation devait etre tres dur pour les prolo de l'epoque qui considerait que les nobles etaient elus par dieu.
c'est a cette epoque que les bourgeois qui ont pris le pouvoir avec les franc macons, seul syndicat de l'epoque, ont commence a manipuler les prolo
le debut des prolo a consister a faire croire aux gens que c'etaient mieux les mines de charbon/l'usine plutot que d'etre paysan
depuis, toutes les revoltes ou manif sont organises dans le but de faire tourner la soupape et non pour que la cocotte explose
le prolo/ouvriers/soldats ne doit pas pense mais obeir. 200a de conditionnement ca laisse des traces
le gouvernement manipule l'information depuis longtemps. il l'efface si necessaire (lettre a guy moquet, censure du tabac...)
36 ou 68 sont bien plus complique que ca en a l'air. certains disent qu'en 36 c'est les patrons qui ont demande au gouvernement de donner les conges payes aux ouvrier
j'en connais a qui j'ai du bourrer le crane pour leur faire comprendre que des Exxx c'etait pas normal dans la bouffe.
alors prouver que l'ouvrier n'a pas une place obligatoire c'est raide....
en fait la plupart des gens que j'ai rencontre (y compris bourgeois), cesse d'apprendre des la fin de leur etudes. ensuite ceux qui font un metier manuel ou repetitifs ne sont plus soumis a des stimulis intellectuels. leur cerveau s"atrophie" comme pour ceux qui ne font aucun sport. ceux qui bossent dans les bureaux "n'apprennent" que les choses necessaires a leur metier.toit_de_chôme a écrit :pour certains oui, c'est surtout de la frustration.superuser a écrit :Si les prolos rejettent la culture, dite "bourgeoise", c'est parce qu'ils souffrent d'un complexe d'infériorité. C'est comme les machos qui, en réalité, ont peur des femmes.
D'autre ne comprennent ni la culture "bourgoise", ni celle des "classe moyennes" qu'ils classent dans "bourgeoise". Il distingent les "intellectuels" et les "manuel", veulent que leur enfant soit un "intellectuels" sans avoir l'idée d'avoir à financer des études. Parfois ce sont ceux là meme qui vont réver à avoir la maison la plus belle du quartier, avec la voiture la plus neuve devant.
tout ceci suit et contribut a ce que le pouvoir rest en place
apres q'auxi soit d'accord ou non, nous avons des plus ou des moins ala naissance
(j'ai connu un type, eleve au whisky, il avait beau vouloir apprendre l'electronique, il a jamais reussi a comprendre grand chose...)
Je rencontre énormément de gens, y compris des techniciens et des ouvriers qui continuent d'apprendre tous les jours. Bon d'accord, c'est bien souvent des trucs pour entretenir sa voiture sans l'amener au garage ou des habilités pour entretenir leur maison, appartement voire leur ordinateur sans faire appel à des pros (qui coutent cher). Cela s'appelle apprendre. Le problème c'est la mentalité, l'ouverture d'esprit.foufouille a écrit : en fait la plupart des gens que j'ai rencontre (y compris bourgeois), cesse d'apprendre des la fin de leur etudes. ensuite ceux qui font un metier manuel ou repetitifs ne sont plus soumis a des stimulis intellectuels. leur cerveau s"atrophie" comme pour ceux qui ne font aucun sport. ceux qui bossent dans les bureaux "n'apprennent" que les choses necessaires a leur metier.
Oui, en parlant de la fracture entre "ceux du bas" et "ceux du haut".foufouille a écrit :tout ceci suit et contribut a ce que le pouvoir rest en place
Si on enlève les personnes qui ont eu des malformation cervicales due aux exces en alcool, drogue, tabac de leur parents ou la trisomie 21, je dirais que l'enfant ne nait pas con, mais qu'il le devient à cause de son environnement.foufouille a écrit :apres q'auxi soit d'accord ou non, nous avons des plus ou des moins ala naissance
(j'ai connu un type, eleve au whisky, il avait beau vouloir apprendre l'electronique, il a jamais reussi a comprendre grand chose...)
D'accord avec toi, toit de chôme, un enfant ne nait pas stupide. Malheureusement j'ai déjà remarqué que l'éducation, un peu comme un accent, reste à vie.Si on enlève les personnes qui ont eu des malformation cervicales due aux exces en alcool, drogue, tabac de leur parents ou la trisomie 21, je dirais que l'enfant ne nait pas con, mais qu'il le devient à cause de son environnement
Il faut beaucoup de courage et d'ouverture d'esprit pour remettre en cause les concepts dont l'enfant se nourrit dès le premier biberon.
Un peu comme on disait aux femmes, il faut se marier, il faut faire 2 enfants


zut, tout faux

