... Ceux qui se lèvent tôt
presbytes, et casse-couilles
Je viens de regarder un documentaire sur la réhabilitation du «Che» 30 ans après son exécution, avec la célébration de son cadavre enfin retrouvé... qui m'a donné envie de m'immiscer dans votre discussion.
Souvenons-nous que ce sont "les/des" paysans boliviens, ignorants, craintifs et cupides, qui l'ont livré aux autorités. C'est donc eux qui l'ont, en quelque sorte, ACHEVÉ (mais, grâce à cela, il est devenu un martyr et un mythe, un idéal pour nous autres abrutis. Riches cons ou pauvres cons ont besoin de symboles qui nourrissent leur connerie respective : si, en assassinant un "militant" exemplaire, on obtient toujours et curieusement l'effet inverse de celui escompté - c'est-à-dire le jeter aux oubliettes comme on refuse de se regarder dans une glace -, chacun sait finalement en récupérer le souvenir, du regretté, utopiste mais loyal collègue/délégué syndical sur qui on a tant craché en passant par… Guy Môquet et ses courageux camarades, qui ont permis d'éviter "de laisser fusiller 50 bons Français". Bref : l'occasion de célébrer ce que l'on n'est pas en croyant qu'on en est).
N'oublions pas qu'à l'origine, le naïf Guevara avait déjà été envoyé au casse-pipe et abandonné par l'infidèle Castro, à l'époque totalement dépendant de l'Union soviétique : il avait mal supporté que son jeune ami ose la critiquer, notamment lors de son célèbre "discours d’Alger" en 1965. Ou alors, selon je doute, il était d'accord avec lui mais il fallait la boucler.
Puis, en 1997, alors que la "guerre froide" s'était réchauffée et que Cuba a pris quelque distance avec l'URSS, comptant récupérer à son profit le martyr/mythe du «Che» au nom du "socialisme" en exhumant son sacrificiel squelette (sans mains, on ne sait toujours pas où elles sont) d'une fosse commune pour lui offrir enfin une digne sépulture, figurez-vous que les villageois boliviens de Vallegrande, ceux-là même dont certains aïeux ont favorisé l'exécution, se sont sentis trahis qu'on leur ravisse ce symbole aussi christique que touristique (ha-ha-ha), comme dans Uranus, le roman de Marcel Aymé, où tout le monde était - mais c'est bien sûr - dans la Résistance une fois la guerre terminée... !!!
Belle gageure : Ernesto Guevara de la Serna (bourgeois argentin) a été trahi par ceux qu'il croyait défendre (prolos boliviens), et instrumentalisé par ceux qu'il croyait être ses amis (dirigeants cubains).
Auxi, je suis d'accord avec toi, il y a de quoi mépriser le genre humain.
Tristesir, St Dum’, je suis d'accord avec vous aussi : même s'il y a moultes circonstances atténuantes, on est toujours le con de quelqu'un.
En haut, il y a les cons qui ont du pouvoir et qui se servent… de la connerie de ceux qui n'en ont pas. En bas, il y a les cons qui n'ont pas de pouvoir mais rêvent d'être aussi cons que ceux qui en ont.
Dans les deux cas, tous sont incapables d'y voir de près et font n'importe quoi. Trente, quarante, cinquante ans après, quand ils y voient un peu plus clair, ils continuent de faire chier le monde.
« Le progrès est lent, parce que l'élite n'est matériellement ni plus avisée ni meilleure que la masse », écrivait Henry David Thoreau en 1849 dans "La désobéissance civile". Mais comme l'eau mouille et le feu brûle, dit la mère de Kirikou, il y a toujours des cons partout. Faut le savoir. Ou tu fais avec, ou tu fais sans. Compliqué, hein ???
Souvenons-nous que ce sont "les/des" paysans boliviens, ignorants, craintifs et cupides, qui l'ont livré aux autorités. C'est donc eux qui l'ont, en quelque sorte, ACHEVÉ (mais, grâce à cela, il est devenu un martyr et un mythe, un idéal pour nous autres abrutis. Riches cons ou pauvres cons ont besoin de symboles qui nourrissent leur connerie respective : si, en assassinant un "militant" exemplaire, on obtient toujours et curieusement l'effet inverse de celui escompté - c'est-à-dire le jeter aux oubliettes comme on refuse de se regarder dans une glace -, chacun sait finalement en récupérer le souvenir, du regretté, utopiste mais loyal collègue/délégué syndical sur qui on a tant craché en passant par… Guy Môquet et ses courageux camarades, qui ont permis d'éviter "de laisser fusiller 50 bons Français". Bref : l'occasion de célébrer ce que l'on n'est pas en croyant qu'on en est).
N'oublions pas qu'à l'origine, le naïf Guevara avait déjà été envoyé au casse-pipe et abandonné par l'infidèle Castro, à l'époque totalement dépendant de l'Union soviétique : il avait mal supporté que son jeune ami ose la critiquer, notamment lors de son célèbre "discours d’Alger" en 1965. Ou alors, selon je doute, il était d'accord avec lui mais il fallait la boucler.
Puis, en 1997, alors que la "guerre froide" s'était réchauffée et que Cuba a pris quelque distance avec l'URSS, comptant récupérer à son profit le martyr/mythe du «Che» au nom du "socialisme" en exhumant son sacrificiel squelette (sans mains, on ne sait toujours pas où elles sont) d'une fosse commune pour lui offrir enfin une digne sépulture, figurez-vous que les villageois boliviens de Vallegrande, ceux-là même dont certains aïeux ont favorisé l'exécution, se sont sentis trahis qu'on leur ravisse ce symbole aussi christique que touristique (ha-ha-ha), comme dans Uranus, le roman de Marcel Aymé, où tout le monde était - mais c'est bien sûr - dans la Résistance une fois la guerre terminée... !!!
Belle gageure : Ernesto Guevara de la Serna (bourgeois argentin) a été trahi par ceux qu'il croyait défendre (prolos boliviens), et instrumentalisé par ceux qu'il croyait être ses amis (dirigeants cubains).
Auxi, je suis d'accord avec toi, il y a de quoi mépriser le genre humain.
Tristesir, St Dum’, je suis d'accord avec vous aussi : même s'il y a moultes circonstances atténuantes, on est toujours le con de quelqu'un.
En haut, il y a les cons qui ont du pouvoir et qui se servent… de la connerie de ceux qui n'en ont pas. En bas, il y a les cons qui n'ont pas de pouvoir mais rêvent d'être aussi cons que ceux qui en ont.
Dans les deux cas, tous sont incapables d'y voir de près et font n'importe quoi. Trente, quarante, cinquante ans après, quand ils y voient un peu plus clair, ils continuent de faire chier le monde.
« Le progrès est lent, parce que l'élite n'est matériellement ni plus avisée ni meilleure que la masse », écrivait Henry David Thoreau en 1849 dans "La désobéissance civile". Mais comme l'eau mouille et le feu brûle, dit la mère de Kirikou, il y a toujours des cons partout. Faut le savoir. Ou tu fais avec, ou tu fais sans. Compliqué, hein ???
auxi
qd je dis que certains naissent avec un plus, c'est vrai
le plus peut etre n'importe quoi force, curiosite........
ce plus ne sert a rien si on a pas l'occasion de l'utiliser : le beauf prolo peut par ex etre amener a bosser ds une bibliotheque et tomber sur livre qui lui plait ce qui peut declencher qqch
nous ne naissons pas du tout egaux : certains naissent petit maigre, moche et bete........
les revolutions/greve ne servent que de declencheur d'un malaise. pour ca il faut un leader charismatique
le probleme est l'apres liberation.........si l'on apprend pas l'independance mentale et la volonte a ceux qui ont ete asservis, la revolution ne sert jamais a rien
le beauf pense mais a sa maniere. il faut donc lui apprendre a penser
qd je dis que certains naissent avec un plus, c'est vrai
le plus peut etre n'importe quoi force, curiosite........
ce plus ne sert a rien si on a pas l'occasion de l'utiliser : le beauf prolo peut par ex etre amener a bosser ds une bibliotheque et tomber sur livre qui lui plait ce qui peut declencher qqch
nous ne naissons pas du tout egaux : certains naissent petit maigre, moche et bete........
les revolutions/greve ne servent que de declencheur d'un malaise. pour ca il faut un leader charismatique
le probleme est l'apres liberation.........si l'on apprend pas l'independance mentale et la volonte a ceux qui ont ete asservis, la revolution ne sert jamais a rien
le beauf pense mais a sa maniere. il faut donc lui apprendre a penser
Le progrès est lent, parce que l'élite n'est matériellement ni plus avisée ni meilleure que la masse », écrivait Henry David Thoreau en 1849 dans "La désobéissance civile". (quote)
La difficulté de l'humanité doit se trouver là. Les avancées technologiques et scientifiques sont arrivées à un stade de développement de non-retour, mais les cerveaux humains , eux sont restées developpées au niveau du moyen age. Il y a donc dichotomie.
Toute la pensée humaine, philosophique ou sociologique , les moeurs , eux sont les memes qu'au Moyen Age. La seule différence , on ne brule plus les sorcieres , ON les Harcèle differemment, mais les restes de l'Inquisition , fonctionnent toujours dans la pratique quotidienne.
La difficulté de l'humanité doit se trouver là. Les avancées technologiques et scientifiques sont arrivées à un stade de développement de non-retour, mais les cerveaux humains , eux sont restées developpées au niveau du moyen age. Il y a donc dichotomie.
Toute la pensée humaine, philosophique ou sociologique , les moeurs , eux sont les memes qu'au Moyen Age. La seule différence , on ne brule plus les sorcieres , ON les Harcèle differemment, mais les restes de l'Inquisition , fonctionnent toujours dans la pratique quotidienne.
en apparence, peut etre que les cerveaux sont rester au moyen age. certains evenements actuels, comme la privatisation des universites a ete prevu depuis 30a, comme le chomage.
ce genre de choses est arrive petit a petit, sans que l'on s'en apercoive vraiment. de maniere a ce que l'on s'y habitue
donc soit les evenements, lois s'enchainent de facon hasardeuse, soit certains font semblant d'etre idiot et font des plans sur 50a
ce genre de choses est arrive petit a petit, sans que l'on s'en apercoive vraiment. de maniere a ce que l'on s'y habitue
donc soit les evenements, lois s'enchainent de facon hasardeuse, soit certains font semblant d'etre idiot et font des plans sur 50a
Mais malgré la planification évidente de la déréglementation de tout ce qui peut se vendre (il ne va rester que l'éducation qui n'a pas encore été totalement cassée, mais ce n'est qu'une question de temps, comme pour l'énergie, les transports, les communications, la médecine...), est ce pour autant que cela va dans le sens du progrès humain?donc soit les evenements, lois s'enchainent de facon hasardeuse, soit certains font semblant d'etre idiot et font des plans sur 50a
@ Tristesir
1) – qu'à engraisser l'industrie pharmaceutique et ses actionnaires ;
2) – et à maintenir le travailleur en état de dépendance économique, ce qui est le meilleur moyen de l'empêcher de s'interroger sur la finalité de son activité.
On pourrait multiplier les exemples à l'envi…
Trois heures… Évidemment, il s'agit d'un principe général : une infirmière, par exemple, ne saurait plaquer son service, une fois ses trois heures effectuées, en laissant ses malades en plan. Mais nous sommes suffisamment nombreux (trop ?), et il existe suffisamment de gens ayant le goût de ce métier pour y remédier. Ce n'est qu'une question d'organisation, de planification.
" Quand je m'y suis mis quelquefois, à considérer les diverses agitations des hommes et les périls et les peines où ils s'exposent, dans la cour, dans la guerre, d'où naissent tant de querelles, de passions, d'entreprises hardies et souvent mauvaises, etc., j'ai découvert que tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre.
Blaise Pascal, Pensées
@ Superuser
" L'intelligence… On est toujours sûr d'en avoir assez… Puisque c'est avec ça qu'on en juge ! " (Coluche)
@ Foufouille
Moche, c'est totalement subjectif.
Bête, alors là, non ! On ne naît pas con – avec toute la subjectivité que cela comporte (St-Dum, Superuser) – on le devient ! Surtout en " s'informant " auprès de Jean-Pierre Pernaut. Et on en revient à la contradiction : si le beauf est con de naissance, il le restera. Tu connais un vaccin contre la connerie ? Si oui, hâte-toi séance tenante de te rendre à l'Élysée : on y a grand besoin de toi !
@Romain23
Tout à fait d'accord. Lorsqu'il s'agit de nous soumettre à leurs crapuleries, les gouvernants / possédants nous assènent sans relâche que " le monde à changé, il faut s'adapter ".
Le monde a changé, vraiment ? En cherchant un autre truc dans le dico, je suis tombé sur ceci :
Rome. La maison du Faune à Pompei. Construite au IIe siècle avant JC, et réaménagée à la fin du siècle, cette luxueuse villa patricienne associe à l'atrium italique les éléments de l'architecture palatiale hellénistique (superficie de près de 3000 m2, deux péristyles successifs).
L'insula d'Ostie. À l'opposé de la domus patricienne ou de la villa, l'insula est un immeuble de rapport à Rome et l'habitat le plus courant. Il était destiné au peuple et sa construction était réglementée. Ne présentant aucun confort, il pouvait atteindre 20 m de hauteur.
De la discussion – même par moments un peu tendue – jaillit la lumière !Je pense que nous parlons de la même chose.
C'est juste. Le Larousse donne pour synonymes " paresse " et " fainéantise ". Je ne suis pas d'accord. Par " paresse ", j'entends la libre disposition de son temps. Peindre, lire, discuter… chacun à son goût, selon ses moyens et ses dispositions ; mais aussi ne rien faire, laisser corps et esprit en repos car c'est, non seulement agréable, mais aussi nécessaire et utile, tant pour soi que pour les autres. Il suffit de subir dix minutes un cadre surstressé, totalement bouffé par le boulot, pour s'en rendre compte : l'animal est absolument infréquentable. En revanche, j'appellerais " fainéantise " le fait de se négliger intellectuellement, et de ne pas prendre sa part de travail utile au " vivre ensemble ". Part que Lafargue estime à trois heures quotidiennes en moyenne annuelle. Et si l'on exclut de cette part de travail utile la foultitude de gadgets à la con que produisent les systèmes productivistes, tant collectivistes que capitalistes, mais également les doublons – voire les triplons, les quadruplons, and so on, eh, bien, ça le fait. Pourquoi, par exemple, produire le même médicament sous x marques différentes, alors qu'il s'agit de la même molécule et donc des mêmes effets ? Cela ne sert :Parler de paresse tend à donner l'impression de ne vouloir rien faire du tout (ni pour soi ni pour les autres) seulement se prélasser
1) – qu'à engraisser l'industrie pharmaceutique et ses actionnaires ;
2) – et à maintenir le travailleur en état de dépendance économique, ce qui est le meilleur moyen de l'empêcher de s'interroger sur la finalité de son activité.
On pourrait multiplier les exemples à l'envi…
Trois heures… Évidemment, il s'agit d'un principe général : une infirmière, par exemple, ne saurait plaquer son service, une fois ses trois heures effectuées, en laissant ses malades en plan. Mais nous sommes suffisamment nombreux (trop ?), et il existe suffisamment de gens ayant le goût de ce métier pour y remédier. Ce n'est qu'une question d'organisation, de planification.
" Quand je m'y suis mis quelquefois, à considérer les diverses agitations des hommes et les périls et les peines où ils s'exposent, dans la cour, dans la guerre, d'où naissent tant de querelles, de passions, d'entreprises hardies et souvent mauvaises, etc., j'ai découvert que tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre.
Blaise Pascal, Pensées
@ Superuser
" L'intelligence… On est toujours sûr d'en avoir assez… Puisque c'est avec ça qu'on en juge ! " (Coluche)
Euh… Je ne méprise pas le genre humain, puisqu'autant il produit à la fois un Guevara, [mode fayot on] voire une Superuser, [mode fayot off] et un Sarkozy. En revanche, la fainéantise et, surtout, la lâcheté intellectuelle, ça, oui, copieusement !Auxi, je suis d'accord avec toi, il y a de quoi mépriser le genre humain.
On est bien obligé de vivre avec, ou plutôt à côté ! Mais pour ce qui est de faire, il vaut mieux que ce soit sans !Ou tu fais avec, ou tu fais sans. Compliqué, hein ???
@ Foufouille
Un plus… Non. Pas d'accord, car cela voudrait dire que tout est joué à l'avance. Et il y a contradiction : si tel était le cas, le beauf né sans le " plus " ne saurait avoir accès à, disons, davantage de connaissance, puisqu'il lui manque le " plus " pour y parvenir. Je le répète : l'une des caractéristiques du beauf est le refus de la réflexion.qd je dis que certains naissent avec un plus, c'est vrai
Petit, par rapport à qui, ou à quoi ? Je ne reproche pas à Sarkozy d'être de petite taille, ce serait d'une connerie crasse, mais d'être ce qu'il est : un libéral-fasciste, doublé d'un frimeur incompétent et malfaisant. Mitterrand était de petite taille également, mais il l'assumait, ce qui fait que cela ne se voyait pas…nous ne naissons pas du tout egaux : certains naissent petit maigre, moche et bete
Moche, c'est totalement subjectif.
Bête, alors là, non ! On ne naît pas con – avec toute la subjectivité que cela comporte (St-Dum, Superuser) – on le devient ! Surtout en " s'informant " auprès de Jean-Pierre Pernaut. Et on en revient à la contradiction : si le beauf est con de naissance, il le restera. Tu connais un vaccin contre la connerie ? Si oui, hâte-toi séance tenante de te rendre à l'Élysée : on y a grand besoin de toi !
Oulah ! J'ai la plus grande méfiance envers les leaders, surtout charismatiques !les revolutions/greve ne servent que de declencheur d'un malaise. pour ca il faut un leader charismatique
@Romain23
Tout à fait d'accord. Lorsqu'il s'agit de nous soumettre à leurs crapuleries, les gouvernants / possédants nous assènent sans relâche que " le monde à changé, il faut s'adapter ".
Le monde a changé, vraiment ? En cherchant un autre truc dans le dico, je suis tombé sur ceci :
Rome. La maison du Faune à Pompei. Construite au IIe siècle avant JC, et réaménagée à la fin du siècle, cette luxueuse villa patricienne associe à l'atrium italique les éléments de l'architecture palatiale hellénistique (superficie de près de 3000 m2, deux péristyles successifs).
L'insula d'Ostie. À l'opposé de la domus patricienne ou de la villa, l'insula est un immeuble de rapport à Rome et l'habitat le plus courant. Il était destiné au peuple et sa construction était réglementée. Ne présentant aucun confort, il pouvait atteindre 20 m de hauteur.
@ auxi
la paresse ou la lachete n'existe pas car il peut egalement s'agir d'un point de vue ou d'une "education"
il est evident que l'on pourrait avec les machines et meme sans travailler tres peu. le capital decide de notre mode de vie, de faire des lecteurs dvd ou autre qui grillent apres la periode de la gartantie
le plus en naissant n'est un destin mais bien un plus. il y a effectivement des gens qui conprennet tres peu et d'autres qui ne pourront jamais devenir schwarzy. il y a donc bien des limites lie au plus que l'on recoit en naissant
essaye d'expliquer a un beauf que lorsqu'il regardent les etoiles il ne voie pas la realite mais qques photons partient d'une etoile depuis des annees.
sinon je t'engage a faire 190 a un test de QI, gagner un pentathlon ou pondre une theorie universelle ou encore un medicament miracle......
les masses sans volonte ont tjrs eut besoin d'un leader charismatique
elle n'en auront plus besoin le jour ou elles apprendront a penser par elle meme et a analyser les evenements
la paresse ou la lachete n'existe pas car il peut egalement s'agir d'un point de vue ou d'une "education"
il est evident que l'on pourrait avec les machines et meme sans travailler tres peu. le capital decide de notre mode de vie, de faire des lecteurs dvd ou autre qui grillent apres la periode de la gartantie
le plus en naissant n'est un destin mais bien un plus. il y a effectivement des gens qui conprennet tres peu et d'autres qui ne pourront jamais devenir schwarzy. il y a donc bien des limites lie au plus que l'on recoit en naissant
essaye d'expliquer a un beauf que lorsqu'il regardent les etoiles il ne voie pas la realite mais qques photons partient d'une etoile depuis des annees.
sinon je t'engage a faire 190 a un test de QI, gagner un pentathlon ou pondre une theorie universelle ou encore un medicament miracle......
les masses sans volonte ont tjrs eut besoin d'un leader charismatique
elle n'en auront plus besoin le jour ou elles apprendront a penser par elle meme et a analyser les evenements
@ tristesir
"S'il n'y avait pas eu 1968, peut être que la dérégulation de l'économie ne serait pas venue si vite.
1968, n'a pas aboli l'exploitation."
bien sur que si 1968 est la peur des puissants : un peuple qui pense. ils ont compris la lecon. l'esclave doit etre ignorant et vivre en cage sans quoi il se rebelle. au cas ou un de ces esclaves briserait ses chaines soit on le lobotomise/tue, soit on en fait un symbole terroriste
il est meme possible que 68 n'ait ete possible que par ce que de gaulle devenait genant ( parait qu'il etait super honnete).........
"S'il n'y avait pas eu 1968, peut être que la dérégulation de l'économie ne serait pas venue si vite.
1968, n'a pas aboli l'exploitation."
bien sur que si 1968 est la peur des puissants : un peuple qui pense. ils ont compris la lecon. l'esclave doit etre ignorant et vivre en cage sans quoi il se rebelle. au cas ou un de ces esclaves briserait ses chaines soit on le lobotomise/tue, soit on en fait un symbole terroriste
il est meme possible que 68 n'ait ete possible que par ce que de gaulle devenait genant ( parait qu'il etait super honnete).........
Non, 1968, n'a pas eu lieu qu'en France, le mouvement que je sache commença à Berlin et enflamma beaucoup de pays jusqu'au Mexique.il est meme possible que 68 n'ait ete possible que par ce que de gaulle devenait genant ( parait qu'il etait super honnete).........
Les jeunes Américains commençaient à se poser de sérieuses questions sur la guerre du Vietnam. Ils subissaient la conscription pour la première fois, une année ratée en fac, et boum, bon pour la chair à canon.
Je ne me souviens pas très bien pour ma part


La situation était différente, il y avait à peu près le plein emploi, même un SMIC de l'époque permettait de vivre, simplement, soit, mais on pouvait louer un petit appart.
Mon père trouvait ça très bien "allez les momes !" cela lui rappelait le front popu et sa propre jeunesse

Ils ont bien ficelé leur trucSans blagues, ils en tremblent encore.


Les remboursements et le maintien du niveau de vie musèlent plus sûrement que les revendications.
Ce ne sont pas des journées de manif qui feront bouger les choses, mais des grèves massives, si.