Je trouve que le compte n'y est toujours pas... mais bon je chipote
Je suppose qu'ils ne comptent que les chômeurs indemnisés, pas tous les demandeurs d'emploi...
Nouveau mode de calcul des chômeurs
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maguy
Nouveau mode de calcul des chômeurs
le Monde
Je trouve que le compte n'y est toujours pas... mais bon je chipote
Je suppose qu'ils ne comptent que les chômeurs indemnisés, pas tous les demandeurs d'emploi...
Je trouve que le compte n'y est toujours pas... mais bon je chipote
Je suppose qu'ils ne comptent que les chômeurs indemnisés, pas tous les demandeurs d'emploi...
C'est une avancée
Lors des Etats généraux des chiffres du chômage et de la précarité organisés par le collectif ACDC en mai dernier, il a été demandé qu'on abandonne définitivement les statistiques de l'ANPE (limitées, inadaptées et faussées), qu'on garde celles de l'INSEE en les enrichissant, et qu'on publie un chiffre trimestriel et non mensuel pour sortir du racolage compulsif. Le rapport de l'IGF & IGAS va donc dans ce sens.
De plus, les 220.000 chômeurs des DOM ne seront enfin plus ignorés.
Ce nouveau mode de calcul devrait entrer en vigueur l'année prochaine mais d'ici là, les résultats de l'Enquête Emploi 2006 de l'INSEE (qui devaient paraître en mars pour pondérer le taux officiel de l'année dernière, mais qui ont été scandaleusement repoussés pour des raisons plus électoralistes que techniques) doivent enfin être divulgués en novembre : là, on va déjà commencer à rigoler !!!
Bravo au collectif ACDC qui, par sa mobilisation depuis décembre 2006, a contraint le gouvernement à cesser ses mensonges !
Reste encore à créer de nouveaux indicateurs officiels sur le non-emploi, l'emploi inadéquat, le sous-emploi, et l'emploi réellement existant. Mais cette initiative citoyenne et exemplaire mérite nos applaudissements.
De plus, les 220.000 chômeurs des DOM ne seront enfin plus ignorés.
Ce nouveau mode de calcul devrait entrer en vigueur l'année prochaine mais d'ici là, les résultats de l'Enquête Emploi 2006 de l'INSEE (qui devaient paraître en mars pour pondérer le taux officiel de l'année dernière, mais qui ont été scandaleusement repoussés pour des raisons plus électoralistes que techniques) doivent enfin être divulgués en novembre : là, on va déjà commencer à rigoler !!!
Bravo au collectif ACDC qui, par sa mobilisation depuis décembre 2006, a contraint le gouvernement à cesser ses mensonges !
Reste encore à créer de nouveaux indicateurs officiels sur le non-emploi, l'emploi inadéquat, le sous-emploi, et l'emploi réellement existant. Mais cette initiative citoyenne et exemplaire mérite nos applaudissements.
Chez ACDC, on reste vigilant
«On peut se féliciter que le rapport reprenne à son compte certaines conclusions des Etats généraux sur les chiffres du chômage organisés en mai 2007 par le collectif ACDC : publication trimestrielle calée sur l'Enquête Emploi de l'INSEE, sans lien avec les statistiques de l'ANPE», a réagi le collectif.
Pour autant, la polémique rebondit déjà car l'INSEE doit annoncer en novembre de combien il réévalue le taux de chômage 2006. Il avait en effet repoussé en mars dernier cette publication pour cause d’"incertitudes techniques", alimentant la polémique à l'approche des élections.
Selon Les Echos et Le Monde, le rapport évoque une révision prochaine de 0,3 à 0,4 point environ, portant le taux de chômage à 8,3% ou 8,4% au lieu des 8% affichés en juillet. Mais, pour le collectif, il s'agirait «d'une correction en trompe l'oeil» : d'après lui, le taux devrait normalement être réévalué d'1 point pour atteindre environ 9%.
Ses experts dénoncent à l'avance "un scénario" qui consisterait pour le gouvernement à combiner «sans attendre novembre» cette révision de l'INSEE, un alignement sur la définition Eurostat du chômage, qui «comptabilise de 200.000 à 300.000 de moins en métropole que l'INSEE», et le fait que les départements d'Outre-mer doivent être prochainement intégrés dans le baromètre officiel. La hausse ne serait alors plus que d'environ 0,5 point. «Cette embrouille subtile présente l'avantage de donner l'impression d'un faible recalage», attribué surtout «à la prise en compte des DOM», commente le collectif.
«Compte tenu de la méthode choisie par le gouvernement pour communiquer sur ce rapport, en distillant des informations incomplètes et invérifiables auprès de quelques médias choisis, on peut penser que c'est ce scénario qui se déploie aujourd'hui», ajoute-t-il.
«Les recommandations du rapport ne porteront que sur les modalités d'établissement des statistiques du chômage en France, et non sur le niveau du taux de chômage lui-même», souligne pour sa part le ministère de l'Economie et de l'Emploi, se défendant de toute interférence avec cette prérogative de l'INSEE.
Pour autant, la polémique rebondit déjà car l'INSEE doit annoncer en novembre de combien il réévalue le taux de chômage 2006. Il avait en effet repoussé en mars dernier cette publication pour cause d’"incertitudes techniques", alimentant la polémique à l'approche des élections.
Selon Les Echos et Le Monde, le rapport évoque une révision prochaine de 0,3 à 0,4 point environ, portant le taux de chômage à 8,3% ou 8,4% au lieu des 8% affichés en juillet. Mais, pour le collectif, il s'agirait «d'une correction en trompe l'oeil» : d'après lui, le taux devrait normalement être réévalué d'1 point pour atteindre environ 9%.
Ses experts dénoncent à l'avance "un scénario" qui consisterait pour le gouvernement à combiner «sans attendre novembre» cette révision de l'INSEE, un alignement sur la définition Eurostat du chômage, qui «comptabilise de 200.000 à 300.000 de moins en métropole que l'INSEE», et le fait que les départements d'Outre-mer doivent être prochainement intégrés dans le baromètre officiel. La hausse ne serait alors plus que d'environ 0,5 point. «Cette embrouille subtile présente l'avantage de donner l'impression d'un faible recalage», attribué surtout «à la prise en compte des DOM», commente le collectif.
«Compte tenu de la méthode choisie par le gouvernement pour communiquer sur ce rapport, en distillant des informations incomplètes et invérifiables auprès de quelques médias choisis, on peut penser que c'est ce scénario qui se déploie aujourd'hui», ajoute-t-il.
«Les recommandations du rapport ne porteront que sur les modalités d'établissement des statistiques du chômage en France, et non sur le niveau du taux de chômage lui-même», souligne pour sa part le ministère de l'Economie et de l'Emploi, se défendant de toute interférence avec cette prérogative de l'INSEE.
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maguy
Yesssssssssss Superuser 
Ils étaient quoi, des sous-chômeurs ?
Je ne veux pas provoquer, j'ai juste un peu la haine, la colère, qui peut croire encore à ces chiffres tronqués ?
Il serait temps, si même les RMI ou autres non comptabilisés ne sont pas pris en compte.De plus, les 220.000 chômeurs des DOM ne seront enfin plus ignorés
Ils étaient quoi, des sous-chômeurs ?
Je ne veux pas provoquer, j'ai juste un peu la haine, la colère, qui peut croire encore à ces chiffres tronqués ?
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carl
Source :Yahoo.frL'INSEE et la DARES abandonnent la publication du taux mensuel de chômage au sens du BIT
L'INSEE et la DARES ont annoncé qu'elles abandonnaient la publication d'estimations mensuelles du taux de chômage au sens du BIT, suite à la remise à la ministre de l'Economie Christine Lagarde du rapport mettant en cause la fiabilité des statistiques sur les demandeurs d'emploi.
L'INSEE et la DARES "prennent note avec attention des analyses et des recommandations", du rapport remis lundi à la ministre de l'Economie.
En conséquence, l'INSEE, en accord avec la DARES, a décidé "de ne plus procéder au calage annuel des statistiques de demandeurs d'emploi en fin de mois (DEFM) sur l'enquête emploi et d'arrêter la publication de la série mensuelle de chômage au sens du BIT".
"L'arrêt de la publication mensuelle de l'INSEE prendra effet dès la fin du mois de septembre 2007", mesure valable pour le taux de chômage qui devait être publié jeudi prochain.
Toutefois, La DARES et l'ANPE "continueront pour leur part à publier les statistiques mensuelles de demandeurs d'emploi inscrits en fin de mois à l'ANPE, en cohérence avec les recommandations du rapport".
A l'INSEE lundi, on précisait donc que l'ANPE publiera le nombre de demandeurs d'emploi en fin de mois (DEFM), sans le taux habituel au sens du Bureau international du travail (BIT).
Le communiqué précise qu'Eurostat, "l'office statistique des communautés européennes, reste bien entendu libre de publier des estimations mensuelles de chômage harmonisé au sens du BIT selon les méthodes qu'il jugera adaptées".
Ces derniers mois, le taux publié par Eurostat était supérieur à celui fourni par le gouvernement pour la France. "L'INSEE se mettra rapidement en mesure de publier chaque trimestre les résultats trimestriels de l'Enquête emploi", précise le communiqué