Les autodidactes n'ont plus d'avenir
Je n'ai jamais été embauché par une DRH, alors qu'aujourd'hui la majorité des embauches se font pas leur canal.
Cela dit, le débat n'est pas là : il ne faut pas confondre le cas de celui qui démarre dans sa vie professionnelle par celui qui a 40, 45 ou 50 ans.
Je me souviens qu'à 38 ans dans les études statistiques que faisaient circuler la DRH de la "boite" américaine dans laquelle je travaillais on faisait partie des vieux dès 39 ans, j'en ai 50 ans, et je me sens - contrairement à la pensée ambiante - beaucoup moins vieux et encore plein de possibilités pour l'avenir.
Cependant, j'ai tellement croisé de gens qui, bien avant mon âge d'aujourd'hui, rêvaient à la retraite car ils avaient beaucoup plus de mal que moi à résister au stress et aux changements inhérents à l'évolution du temps et aux fusions que je peux comprendre aussi la réticence des recruteurs à convoquer un "vieux" pour un entretien d'embauche.
Il ne faut pas oublier que dans les entreprises on mets la pression aux cadres sur les résultats et que l'on préfère éviter d'avoir à recruter des collaborateurs dont on devrait se séparer entre la date d'embauche et la fin de la période d'essai, surtout si le responsable hiérarchique du futur embauché n'a pas son mot à dire pendant le processus de sélection des candidats.
Il ne faut pas non plus omettre du profil intellectuel et psychologique du candidat, qui est rapproché de celui des collaborateurs de l'entreprise, ce que certains appellent "avoir le genre de la maison".
Enfin, un senior ne doit jamais oublié que son embauche se fera plus sur son parcours professionnel que sur les études qu'il a poursuivies dans sa jeunesse.
C'est ainsi qu'avec l'avancement de l'âge les diplômes obtenus avant l'entrée dans la vie professionnelle perdent de leur valeur.
Cela dit, le débat n'est pas là : il ne faut pas confondre le cas de celui qui démarre dans sa vie professionnelle par celui qui a 40, 45 ou 50 ans.
Je me souviens qu'à 38 ans dans les études statistiques que faisaient circuler la DRH de la "boite" américaine dans laquelle je travaillais on faisait partie des vieux dès 39 ans, j'en ai 50 ans, et je me sens - contrairement à la pensée ambiante - beaucoup moins vieux et encore plein de possibilités pour l'avenir.
Cependant, j'ai tellement croisé de gens qui, bien avant mon âge d'aujourd'hui, rêvaient à la retraite car ils avaient beaucoup plus de mal que moi à résister au stress et aux changements inhérents à l'évolution du temps et aux fusions que je peux comprendre aussi la réticence des recruteurs à convoquer un "vieux" pour un entretien d'embauche.
Il ne faut pas oublier que dans les entreprises on mets la pression aux cadres sur les résultats et que l'on préfère éviter d'avoir à recruter des collaborateurs dont on devrait se séparer entre la date d'embauche et la fin de la période d'essai, surtout si le responsable hiérarchique du futur embauché n'a pas son mot à dire pendant le processus de sélection des candidats.
Il ne faut pas non plus omettre du profil intellectuel et psychologique du candidat, qui est rapproché de celui des collaborateurs de l'entreprise, ce que certains appellent "avoir le genre de la maison".
Enfin, un senior ne doit jamais oublié que son embauche se fera plus sur son parcours professionnel que sur les études qu'il a poursuivies dans sa jeunesse.
C'est ainsi qu'avec l'avancement de l'âge les diplômes obtenus avant l'entrée dans la vie professionnelle perdent de leur valeur.
MOI NON, DEFINITIVEMENTYVES780 a écrit :je peux comprendre aussi la réticence des recruteurs à convoquer un "vieux" pour un entretien d'embauche.



Elle est où la différence avec un moins jeune ?YVES780 a écrit :Il ne faut pas oublier que dans les entreprises on mets la pression aux cadres sur les résultats et que l'on préfère éviter d'avoir à recruter des collaborateurs dont on devrait se séparer entre la date d'embauche et la fin de la période d'essai, surtout si le responsable hiérarchique du futur embauché n'a pas son mot à dire pendant le processus de sélection des candidats.
Et les diplômes et qualifications obtenus PENDANT la vie professionnelle, on les fout à la poubelle ?YVES780 a écrit :Enfin, un senior ne doit jamais oublié que son embauche se fera plus sur son parcours professionnel que sur les études qu'il a poursuivies dans sa jeunesse.
C'est ainsi qu'avec l'avancement de l'âge les diplômes obtenus avant l'entrée dans la vie professionnelle perdent de leur valeur.

Ou alors on n'imagine même pas que ça puisse exister, tant on est convaincu que les "vieillards" sont définitivement des sortes de post-larves figées à jamais...
Déjà entendu parler du syndrome de Stockholm, "YVES780" ?

oublier...Enfin, un senior ne doit jamais oublié que son embauche se fera plus sur son parcours professionnel que sur les études qu'il a poursuivies dans sa jeunesse.
les seniors sont en général archi compétents mais ce n'est pas pour ça qu'on les prendra.
c'est en france aussi...
quand on reprendra les seniors, les chomeurs, alors on pourra dire que l'economie va mieux car dans ce cas, on a besoin des gens selon leur vraie valeur.
pour le moment, nous sommes tous ..des cleenex !
ca tient d'autant moins la route qu'a une epoque ou les recruteurs ne cessent de se gausser du recrutement a la personnalité et du package au profil individuel .....on voit pas trop du coup sur ce genre de criteres ,ce que l'age du candidat pourrait avoir de si importantYVES780 a écrit:
je peux comprendre aussi la réticence des recruteurs à convoquer un "vieux" pour un entretien d'embauche.
MOI NON, DEFINITIVEMENT

la victime ,le chomeur discriminé qui pense comprendre et admettre les raisons du recruteur discriminateur ,en consentant a sa propre elimination ,il s"autoculpabilise mais ca regle son probleme d'incomprehension ....il a l'impression de souffrir moinssyndrome de Stockholm, je ne vois pas le rapport !

discrimination, en faut-il en avoir la preuve, et dans ce cas aller devant les tribunaux !
s'il s'agit d'une réponse à une annonce, tout dépend aussi du nombre de candidats !
si on est au milieu de 400, voire même 500 candidats pour un poste, on peut se voir rejeter sa candidature sans qu'il s'agisse nécessairement d'une discrimination !
s'il s'agit d'une réponse à une annonce, tout dépend aussi du nombre de candidats !
si on est au milieu de 400, voire même 500 candidats pour un poste, on peut se voir rejeter sa candidature sans qu'il s'agisse nécessairement d'une discrimination !
C'est justement lorsqu'il reçoit 500 candidatures qu'un recruteur "dégrossit" d'abord par discriminations (je tiens au "s" !).
Discrimination (dans cette situation) = appréciation d'un individu d'après des critères collectifs (correspondant à la catégorie dans laquelle on l'a classé arbitrairement).
Après, seulement, le recruteur trie parmi le petit paquet restant...
Lequel paquet ne correspond d'ailleurs plus guère qu'à une juxtaposition de clones
Bah ! 'suffit de tirer au sort
Elle est pas belle, la vie du recruteur
(dont je rappelle qu'il fait partie d'une des rares catégories professionnelles qui travaillent une matière première gratuite
)
Merci Chris pour l'effort pédagogique sur le syndrome de Stockholm !
Discrimination (dans cette situation) = appréciation d'un individu d'après des critères collectifs (correspondant à la catégorie dans laquelle on l'a classé arbitrairement).
Après, seulement, le recruteur trie parmi le petit paquet restant...
Lequel paquet ne correspond d'ailleurs plus guère qu'à une juxtaposition de clones

Bah ! 'suffit de tirer au sort

Elle est pas belle, la vie du recruteur


Merci Chris pour l'effort pédagogique sur le syndrome de Stockholm !