Cassé moralement
joli jeu de mots (detour de France). Well done!!!
Non j'ai pas honte, mais honte a vous de pas vous interesser au velo. Bande de pollueurs va!!!!
euh ct koi le sujet deja? ah ui le chomage. ouhla on s'est vraiment ecarté du sujet...
oui c'est vrai que faut pas s'appitoyer sur son sort, que c'est le systeme qui crée du chomage, n'empeche que le regard des autres, et surtout de sa famille, ca fait mal! surtout quand on voit les autres autour de soi qui reussissent! meme si pour la plupart ils ont été pistonnés... "n'empeche que il ont du boulot", selon le terme des autres, faut voir le boulot des fois!
Maintenant on me reproche meme de pas vouloir de me faire exploiter, comme monsieur tout le monde, en acceptant pas un CDD de 15 jours dans un job merdique!
Mais c'est que les gens feraient n'importe quoi pour se faire du fric, c'est affligeant...Mais la dignité ils s'en contrefichent, visiblement.
Bisoussssssssss.
Non j'ai pas honte, mais honte a vous de pas vous interesser au velo. Bande de pollueurs va!!!!
euh ct koi le sujet deja? ah ui le chomage. ouhla on s'est vraiment ecarté du sujet...
oui c'est vrai que faut pas s'appitoyer sur son sort, que c'est le systeme qui crée du chomage, n'empeche que le regard des autres, et surtout de sa famille, ca fait mal! surtout quand on voit les autres autour de soi qui reussissent! meme si pour la plupart ils ont été pistonnés... "n'empeche que il ont du boulot", selon le terme des autres, faut voir le boulot des fois!
Maintenant on me reproche meme de pas vouloir de me faire exploiter, comme monsieur tout le monde, en acceptant pas un CDD de 15 jours dans un job merdique!
Mais c'est que les gens feraient n'importe quoi pour se faire du fric, c'est affligeant...Mais la dignité ils s'en contrefichent, visiblement.
Bisoussssssssss.
page culturelle
Macadam Cowboy (Midnight Cowboy)...
Un livre de James Leo Herlihy.
Une chanson de Harry Nilsson : Everybody's Talkin' et une musique de John Barry.
Un film de John Schlesinger (1969 - 3 Oscars : film, réalisateur et scénario adapté).
Un livre de James Leo Herlihy.
Une chanson de Harry Nilsson : Everybody's Talkin' et une musique de John Barry.
Un film de John Schlesinger (1969 - 3 Oscars : film, réalisateur et scénario adapté).
Cassé moralement
Bonjour,
Rien à fiche, mais alors rien du tout
Les imbéciles, je les ai virés de ma vie, sans regret. S'ils ont du boulot tant mieux pour eux. S'ils n'ont que ça dans la vie, ils me font peine.
Je me paie le luxe de les plaindre en plus
Tu devrais lire sur la colonne de gauche les portraits de chômeurs. Les jours de cafard, je relis celui de Françoise Bonne.
D'ailleurs tous les billets sont bons, je les recommande chaudement.
maguy
Tu sais, Voigt, quand tu seras un vétéran du chômage comme nous, ce que je ne te souhaite pas, tu verras qu'il y a des choses plus importantes que l'"avis des autres".n'empeche que le regard des autres, et surtout de sa famille, ca fait mal!
Rien à fiche, mais alors rien du tout
Les imbéciles, je les ai virés de ma vie, sans regret. S'ils ont du boulot tant mieux pour eux. S'ils n'ont que ça dans la vie, ils me font peine.
Je me paie le luxe de les plaindre en plus
Tu devrais lire sur la colonne de gauche les portraits de chômeurs. Les jours de cafard, je relis celui de Françoise Bonne.
D'ailleurs tous les billets sont bons, je les recommande chaudement.
maguy
Le regard des autre dans le cas de Voight est blessant. Mais comme le dit Maguy, il n'est pas important. Le mieux est de perseverer dans le domaine que l'on vise.maguy a écrit :Tu sais, Voigt, quand tu seras un vétéran du chômage comme nous, ce que je ne te souhaite pas, tu verras qu'il y a des choses plus importantes que l'"avis des autres".
Rien à fiche, mais alors rien du tout
J'aurais pu etre dans le cas de Voigt, mais j'ai eu de la chance car j'échappe au RMI pour le moment. J'obtiens des missions d'intérim, pas forcement correspondant à mon profil. J'ai moi aussi un BTS informatique et je passe mon temps à faire des travaux avec une suite bureautique commerciales, de temps en temps un peu de SQL ou des macros. Pas besoin d'un BTS pour cela mais bon ....
J'aimerais faire du developpement informatique et l'ANPE voulait me recaser dans le télémarketing (alors que je suis contre cette pratique). Sinon, la conseillère m'a demandé de choisir une "formation en dessous du BTS IG développement : help desk, reseau, hotline" Comique non ?
Etre considéré comme "sans qualification" avec un BTS informatique c'est fort non ! J'ai aussi entendu cela à l'ANPE
Voigt, ne baisse pas les bras, continue à chercher du travail dans l'info, meme si tu prends un petit job mal payé provisoire (un sous est un sous). Si on te méprise à cause de ton statut social et bien, ne baisse surtout pas la tête.
Courage
Allez, versons dans le pipole pour nous dérider: John Voight est le père d'Angelina Jolie ( que je trouve pas si jolie que ça) qui vient d'avoir un n'enfant avec Brad Pitt. Le n'enfant s'appelle - accrochez-vous - "Shiloh Nouvel" et ce baby est déjà au musée Tussaud version L.A.Voigt a écrit :ben je parlais du coureur cycliste Danois de l'equipe CSC "Jens Voigt".
Je savais pas qu'il existait ce fameux cow boy dont tu parles!
En voilà une qui au moins ne connaîtra jamais le chômdu. La môman, Angelina, a voulu accoucher en Namibie, ce qui a mobilisé une armée de paparazzi. Ecoeurés qu'ils étaient car la dame et son môssieur avaient fait dresser des tentes.
Eh oui, des stars viennent accoucher dans un des pays les plus pauvres d'Afrique en évoquant de l'amour pour cette terre et moyennant une grosse poignée de dollars.
Un peu de charité et beaucoup de biznesseuh.
Bonjour a toutes et a tous,
Merci pour tous ces conseils, que j'appliquent depuis un certain temps maintenant, a savoir ne pas tenir compte de l'avis des autres, me fier qu'a moi meme et ne plus frequenter les donneurs de lecon. Ben resultat je me retrouve seul, contre tous: c'est un peu le pb. Encore avec les amis, c'est pas trop grave, on les cotoie pas tous les jours, puis comme on dit, 1 de perdu 10 de retrouvés, mais avec les parents et la famille proche si! surtout qu'ils sont restés a leur bonne vieille epoque qui veut que: 1 formation = 1 emploi assuré, garantie a vie (8H pile de travail par jour).
Et pour enfoncer le clou, avant c'etait meme l'employeur qui venait frapper a ta porte!!!!!! sisi j'vous jure, ca s'est passé comme ca pour ma mere!!! et mon pere qui lui a echoué dans ses etudes, yavait deja des dixaines d'employeurs qui l'attendaient a la sortie, avec un CDI a la clé.
Puis alors le truc qui a le don de m'enerver, c'est surtout des reacs du genre:" ben pourquoi tu fais pas comme moi? y'a du boulot", sous entendu "j'ai la solution au chomage, il suffit de suivre mon exemple". Rien de plus agacant. Et encore qu'en c'est pas carrement des gens au chomage depuis des lustres qui te disent de suivre telle voie, alors la ca depasse tout! "ah bon mais pourquoi tu n'as toujours pas de taf alors? Toi qui est de si bon conseil"
Alors je sais pertinement qu'il faut eviter ce genre de personnes, mais a la fin j'en ai marre d'eviter tout le monde, ou presque. Faut croire que les francais sont vraiment arrogants, c'est helas pas une legende!
Esperons qu'en Antartique les pingouins ne la ramenent pas trop...
Suivez la Voigt attitude. Cet été ca va zouker (Lorie)
Merci pour tous ces conseils, que j'appliquent depuis un certain temps maintenant, a savoir ne pas tenir compte de l'avis des autres, me fier qu'a moi meme et ne plus frequenter les donneurs de lecon. Ben resultat je me retrouve seul, contre tous: c'est un peu le pb. Encore avec les amis, c'est pas trop grave, on les cotoie pas tous les jours, puis comme on dit, 1 de perdu 10 de retrouvés, mais avec les parents et la famille proche si! surtout qu'ils sont restés a leur bonne vieille epoque qui veut que: 1 formation = 1 emploi assuré, garantie a vie (8H pile de travail par jour).
Et pour enfoncer le clou, avant c'etait meme l'employeur qui venait frapper a ta porte!!!!!! sisi j'vous jure, ca s'est passé comme ca pour ma mere!!! et mon pere qui lui a echoué dans ses etudes, yavait deja des dixaines d'employeurs qui l'attendaient a la sortie, avec un CDI a la clé.
Puis alors le truc qui a le don de m'enerver, c'est surtout des reacs du genre:" ben pourquoi tu fais pas comme moi? y'a du boulot", sous entendu "j'ai la solution au chomage, il suffit de suivre mon exemple". Rien de plus agacant. Et encore qu'en c'est pas carrement des gens au chomage depuis des lustres qui te disent de suivre telle voie, alors la ca depasse tout! "ah bon mais pourquoi tu n'as toujours pas de taf alors? Toi qui est de si bon conseil"
Alors je sais pertinement qu'il faut eviter ce genre de personnes, mais a la fin j'en ai marre d'eviter tout le monde, ou presque. Faut croire que les francais sont vraiment arrogants, c'est helas pas une legende!
Esperons qu'en Antartique les pingouins ne la ramenent pas trop...
Suivez la Voigt attitude. Cet été ca va zouker (Lorie)
la solitude du chômeur de fond
L'apprentissage de la solitude fait partie des nombreuses épreuves disséminées, étapes par étapes, dans ce parcours du combattant qu'est le chômage.
Car le chômage est un facteur de désociabilisation. L'isolement qu'il génère s'installe très progressivement : ça commence par les collègues et les institutions, puis les amis et la famille.
C'est donc une occasion d'apprendre l'exigence, de faire le tri, et de découvrir qu'on n'est jamais seul avec soi-même.
Pour mon expérience personnelle :
• ma mère a longtemps pensé que j'étais une fainéante, mais quand ma soeur a - elle aussi - perdu son emploi il y a maintenant plus d'un an, elle s'est enfin rendu compte qu'il y avait un problème...
Ta famille, tu peux encore essayer de la convaincre avec des arguments économiques et politiques. S'ils sont incapables de te soutenir humainement, tu peux rebalancer sur eux la culpabilité qu'ils essaient de t'infliger en les culpabilisant de n'être même pas capables de se comporter avec toi comme toute famille devrait le faire auprès d'un de ses membres en difficulté.
• mes "nombreux amis" qui venaient faire la fête chez moi tous les week-ends on peu à peu cessé de m'appeler : les parasites ont naturellement fui, tels des rats quittant un bateau, et j'ai lourdé les plus superficiels dont je ne supportais plus la légèreté alors qu'avant elle me semblait sympathique. D'autres ont pris finalement leurs distances car je leur faisais peur (effet miroir). Est resté un petit noyau dur et ancien, qui me convient parfaitement.
Les amis, on peut les choisir. Et au Club des Chômistes il y a du monde : il y a, bien sûr, une large proportion de gens avec qui on ne peut pas s'entendre, mais aussi de très belles surprises à dénicher !
• avant, je passais des heures au téléphone, j'avais un carnet d'adresses bien rempli et toujours du monde à voir. Aujourd'hui, c'est droit au but : je ne peux plus rester des heures au téléphone (ça m'épuise), je préfère rester tranquille chez moi (j'ai besoin de silence), je n'invite plus n'importe qui à la maison (je n'ai plus de sous à dépenser pour des gens qui ne le méritent pas). D'une quasi mondaine, je suis devenue sauvage.
Il faut que tu t'attendes à ne plus être la même personne. C'est un processus d'adaptation à un mode de vie différent qui s'enclanche. Le monde du travail, l'argent et le consumérisme nous poussent à rester toujours plus en dehors de nous-mêmes. Le chômage et la pauvreté nous incitent à revenir à l'intérieur de nous-mêmes, et ce n'est pas plus mal.
Car le chômage est un facteur de désociabilisation. L'isolement qu'il génère s'installe très progressivement : ça commence par les collègues et les institutions, puis les amis et la famille.
C'est donc une occasion d'apprendre l'exigence, de faire le tri, et de découvrir qu'on n'est jamais seul avec soi-même.
Pour mon expérience personnelle :
• ma mère a longtemps pensé que j'étais une fainéante, mais quand ma soeur a - elle aussi - perdu son emploi il y a maintenant plus d'un an, elle s'est enfin rendu compte qu'il y avait un problème...
Ta famille, tu peux encore essayer de la convaincre avec des arguments économiques et politiques. S'ils sont incapables de te soutenir humainement, tu peux rebalancer sur eux la culpabilité qu'ils essaient de t'infliger en les culpabilisant de n'être même pas capables de se comporter avec toi comme toute famille devrait le faire auprès d'un de ses membres en difficulté.
• mes "nombreux amis" qui venaient faire la fête chez moi tous les week-ends on peu à peu cessé de m'appeler : les parasites ont naturellement fui, tels des rats quittant un bateau, et j'ai lourdé les plus superficiels dont je ne supportais plus la légèreté alors qu'avant elle me semblait sympathique. D'autres ont pris finalement leurs distances car je leur faisais peur (effet miroir). Est resté un petit noyau dur et ancien, qui me convient parfaitement.
Les amis, on peut les choisir. Et au Club des Chômistes il y a du monde : il y a, bien sûr, une large proportion de gens avec qui on ne peut pas s'entendre, mais aussi de très belles surprises à dénicher !
• avant, je passais des heures au téléphone, j'avais un carnet d'adresses bien rempli et toujours du monde à voir. Aujourd'hui, c'est droit au but : je ne peux plus rester des heures au téléphone (ça m'épuise), je préfère rester tranquille chez moi (j'ai besoin de silence), je n'invite plus n'importe qui à la maison (je n'ai plus de sous à dépenser pour des gens qui ne le méritent pas). D'une quasi mondaine, je suis devenue sauvage.
Il faut que tu t'attendes à ne plus être la même personne. C'est un processus d'adaptation à un mode de vie différent qui s'enclanche. Le monde du travail, l'argent et le consumérisme nous poussent à rester toujours plus en dehors de nous-mêmes. Le chômage et la pauvreté nous incitent à revenir à l'intérieur de nous-mêmes, et ce n'est pas plus mal.
Cassé moralement
Bonjour
Salut Sophie
J'ai finalement beaucoup de chance par rapport à toi qui a dû apprendre la solitude. Cela a toujours été un choix volontaire.
Quand je travaillais en Allemagne, j'avais plus de temps libre car les distances pour aller bosser étaient très courtes.Je faisais du sport 3 ou fois par semaine, je donnais des cours de français, faisais de la couture et j'avais une vie sociale réduite au minimum, des potes quand même que j'ai encore après 20 ans, malgré les distances.
A Paris, en bossant, il faut rajouter 2 à 3 heures par jour de transport. Je n'ai jamais invité de collègues chez moi. Très peu d'amis, car pas le temps et pas envie.
Il y a beaucoup de gens que je refusais de revoir, car leurs réflexions stupido-fielleuses commençaient à me gonfler sérieusement. Je ne les rappelais jamais ou n'acceptaient pas leurs invitations. En plus, cela ne me gênait pas de dire "non, je n'ai pas envie de vous voir".
Ca calme en général. Je refuse d'avoir à me justifier de mes choix de vie. La plupart n'ont jamais compris le sens du mot "indépendance".
Faut surtout pas sortir de la norme imposée. Marié(e), 2 enfants, un boulot avec un boss qui nous emm..mais cela fait une occasion de se plaindre. Etre toujours surbooké pour faire sérieux, sortir, faire les expo pour avoir l'air cultivé et branché...
Je me donne le droit de ne pas aimer ce que les autres aiment, d'être et de faire différemment.
Et puis on se fait plein de potes ici.
Alors fuck les parcours que veulent nous imposer les Panurgiens. Soyons nous-mêmes.
Maguy
Salut Sophie
J'ai finalement beaucoup de chance par rapport à toi qui a dû apprendre la solitude. Cela a toujours été un choix volontaire.
Quand je travaillais en Allemagne, j'avais plus de temps libre car les distances pour aller bosser étaient très courtes.Je faisais du sport 3 ou fois par semaine, je donnais des cours de français, faisais de la couture et j'avais une vie sociale réduite au minimum, des potes quand même que j'ai encore après 20 ans, malgré les distances.
A Paris, en bossant, il faut rajouter 2 à 3 heures par jour de transport. Je n'ai jamais invité de collègues chez moi. Très peu d'amis, car pas le temps et pas envie.
Heureusement, ma mère et mon père aussi quand il était là ne m'ont jamais dit une chose pareille. En plus l'un de mes frères est aussi en ASS depuis bientôt 5 ans.ma mère a longtemps pensé que j'étais une fainéante
Il y a beaucoup de gens que je refusais de revoir, car leurs réflexions stupido-fielleuses commençaient à me gonfler sérieusement. Je ne les rappelais jamais ou n'acceptaient pas leurs invitations. En plus, cela ne me gênait pas de dire "non, je n'ai pas envie de vous voir".
Ca calme en général. Je refuse d'avoir à me justifier de mes choix de vie. La plupart n'ont jamais compris le sens du mot "indépendance".
Faut surtout pas sortir de la norme imposée. Marié(e), 2 enfants, un boulot avec un boss qui nous emm..mais cela fait une occasion de se plaindre. Etre toujours surbooké pour faire sérieux, sortir, faire les expo pour avoir l'air cultivé et branché...
Je me donne le droit de ne pas aimer ce que les autres aiment, d'être et de faire différemment.
Et puis on se fait plein de potes ici.
Exact. Je ne m'aime pas tous les jours, mais finalement je me veux du bien.Le chômage et la pauvreté nous incitent à revenir à l'intérieur de nous-mêmes, et ce n'est pas plus mal
Alors fuck les parcours que veulent nous imposer les Panurgiens. Soyons nous-mêmes.
Maguy
En même temps pourquoi culpabiliser, cela ne sert à rien car en France ce sont les travailleurs qui deviennes une minorité, les "anormales" en quelque sorte.
Franchement je réponds de mon travail dans l'informatique en 3*8, avec aucune possibilité d'évolution, entouré de vieux cons surpayés à rien foutre (si si, ils ont fait mai 68, où tout devait changer) , qui ont eux le droit à tous les bonheur de la vie ( enfin d'une vie que l'on nous désigne comme normale dans notre société consumériste) alors qu'à nous les jeunes ont demande la lune, pour des prunes.
Et bien je ne te souhaite qu'une chose, profiter au maximun de ta période de chomage pour te découvrir, faire une introspection sur toi même et surtout essayer de t'ouvrir aux autres dans des associations, comme actuchomage que j'ai découvert il y a un moi.
Et longue vie à ce site.
Franchement je réponds de mon travail dans l'informatique en 3*8, avec aucune possibilité d'évolution, entouré de vieux cons surpayés à rien foutre (si si, ils ont fait mai 68, où tout devait changer) , qui ont eux le droit à tous les bonheur de la vie ( enfin d'une vie que l'on nous désigne comme normale dans notre société consumériste) alors qu'à nous les jeunes ont demande la lune, pour des prunes.
Et bien je ne te souhaite qu'une chose, profiter au maximun de ta période de chomage pour te découvrir, faire une introspection sur toi même et surtout essayer de t'ouvrir aux autres dans des associations, comme actuchomage que j'ai découvert il y a un moi.
Et longue vie à ce site.
Surtout que généralement c'est soit pour évoquer des solutions totalement irrealistes soit pour que tu acceptes un boulot qu eux memes refuseraient d effectuer.Puis alors le truc qui a le don de m'enerver, c'est surtout des reacs du genre:" ben pourquoi tu fais pas comme moi? y'a du boulot"
Le but n est pas de t'aider mais de se convaincre qu au cas où ca leur arriverait, ils retrouveraient un emploi sans probleme.
Ca les rassure de penser que si quelqu un ne trouve pas de travail c est que c est de sa faute pour ne pas avoir à regarder la realite en face.
Une realité qu ils pourraient être amenés à connaitre de plus près et plus rapidement qu ils ne l'auraient soupçonnée !