Personne n'est résignée, et tout le monde essaie de survivre. Même si on me "fauche" 50€, je n'en mourrai pas. Et puis APNEE est suffisamment "fauchée" pour ne pas avoir de ça. A la Poste, même si on envoie un mandat, il faut décliner son identité -le flicage est partout. Un système qui laisse sur les carreaux des millions de gens et qui essaie de fliquer le moindre centime qui transite, sous prétexte de lutte contre le terrorisme, la grande escroquerie intellectuelle depuis le 11 Septembre. Il faut que j'essaie d'envoyer un mandat à APNEE sans décliner mon identité -ou en mettant une identité bidon.Yves a écrit :Pour répondre à "ylenorm" (avant-dernier post).
Le don "anonyme" à APNÉE (l'association qui édite Actuchomage et Inter-Emploi) est envisageable… Mais sous quelle forme ?
Chèque ? Il n'est plus "anonyme" ! Espèces ? Il faut faire confiance à celui auquel on adresse un billet… moi en l’occurrence (qui réceptionne les envois).
…/…
Ou l'art et la manière de faire passer la résignation, l'absence d'engagement, le renoncement… pour de la maturité !
Négociations Unedic : la CGT et L'Huma montent au créneau
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Invité
Pour répondre à ylenorm… entre autres
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P.PERRIN
On voudrait nous faire croire que l’Unédic et les patrons sont les responsables de la pauvreté en France. Rappelons pour mémoire que la dégressivité des allocations chômage a été imposée par un gouvernement de gauche AVEC L’ACCORD DES SYNDICATS. La plus formidable régression qu’a connu les chômeurs.
Pourquoi une telle attaque contre le système? Pour équilibrer les comptes en tapant dans la poche des chômeurs afin de préserver le budget de l’état qui venait renflouer les caisses de l’UNEDIC !
Car aujourd’hui comme hier les enjeux sont les mêmes.
Le principal problème de ce pays concerne la représentativité réelle des citoyens dans les structures politiques et syndicales. Des partis et des syndicats qui tirent les ficelles avec les mêmes marionnettistes depuis des décennies. Des organisations complètement discréditées comme le prouve l’abstention massive dans les élections, qu’elles soient politiques ou syndicales.
L’important étant que les permanents puissent continuer à bien vivre. Une belle vie que la vie d’un responsable syndical comme celui que je connais bien. Détaché et payé par son administration, il ne travaille plus depuis une bonne quinzaine d’année et commence tranquillement ses journées à 10 ou 11 heures du matin. A tu et à toi avec le préfet, le sous préfet, le maire, tous côtoyés dans de somptueux cocktails ou dans la salle à manger « privée » de ces messieurs. Bien sûr, il a profité de sa position pour se faire élire dans sa région et quand il parle d’argent public, c’est rarement pour les exclus. Une fâcheuse confusion des rôles et des intérêts qui minent ce pays.
Alors, quand le peuple commence un peu à bouger, on consent à jeter quelques miettes sur un budget de l’état que l’on se réserve. Mais là, visiblement, les miettes ne suffisent plus….
P.PERRIN
Pourquoi une telle attaque contre le système? Pour équilibrer les comptes en tapant dans la poche des chômeurs afin de préserver le budget de l’état qui venait renflouer les caisses de l’UNEDIC !
Car aujourd’hui comme hier les enjeux sont les mêmes.
Le principal problème de ce pays concerne la représentativité réelle des citoyens dans les structures politiques et syndicales. Des partis et des syndicats qui tirent les ficelles avec les mêmes marionnettistes depuis des décennies. Des organisations complètement discréditées comme le prouve l’abstention massive dans les élections, qu’elles soient politiques ou syndicales.
L’important étant que les permanents puissent continuer à bien vivre. Une belle vie que la vie d’un responsable syndical comme celui que je connais bien. Détaché et payé par son administration, il ne travaille plus depuis une bonne quinzaine d’année et commence tranquillement ses journées à 10 ou 11 heures du matin. A tu et à toi avec le préfet, le sous préfet, le maire, tous côtoyés dans de somptueux cocktails ou dans la salle à manger « privée » de ces messieurs. Bien sûr, il a profité de sa position pour se faire élire dans sa région et quand il parle d’argent public, c’est rarement pour les exclus. Une fâcheuse confusion des rôles et des intérêts qui minent ce pays.
Alors, quand le peuple commence un peu à bouger, on consent à jeter quelques miettes sur un budget de l’état que l’on se réserve. Mais là, visiblement, les miettes ne suffisent plus….
P.PERRIN