Particulièrement sur certains marchés particuliers (ex: boucherie hallal, mode ou salon de coiffure ethnique, salons de thé marocains, boites à chicha, services de marabout, domaine de la sécurité, certains petits commerces, et certains domaines artisanaux du bâtiment etc.). Et dans certaines "zones de colonisation prioritaire", seuls les Français de branche peuvent espérer créer une affaire viable (et encore) sans être harcelés/volés par les racailles.
Comme dans beaucoup de domaines, les Français de branche grignotent du terrain MAIS NE LACHENT RIEN. La situation est donc déséquilibrée entre ceux qui prennent, qui s'imposent d'un côté. Et ceux qui donnent, qui reculent de l'autre.
nb: Situation identique pour l'expansion de l'Islam en France et pour la compétition sexuelle avec des femmes voilées/"protégées" par les grands frères d'un côté... Et de l'autre, les Françaises de souche soumises/"libérées" et donc libres de se voiler et de rejoindre le moyen âge. Mais bref...
Ainsi, les Français de souche seront ENCORE UN PEU PLUS exclus de l'emploi. Car ils seront systématiquement les "derniers" choisis puisque les Français de branche ont aussi beaucoup de chômeurs à mettre au travail. Aucune loi anti-discrimination ne changera cet état de fait. Car actuellement, ces lois profitent surtout aux Français de branche puisque les grands groupes embaucheurs sont surtout contrôlés par des Français politiquement corrects et "ouverts" à la diversité... Et les petits artisans (également gros employeurs), lorsqu'ils sont des Français de branche, sont fort susceptibles d'embaucher au faciès. Je subodore que les employeurs FDS sont plus à même de jouer la mixité que les employeurs FDB...
On ne peut donc pas dire que la religion, la race, la culture soient neutres en matière d'emploi, en France. Traditionnellement, l'avantage religieux, racial ou culturel favorisait le catho, blanc de culture européenne et faisait passer les immigrés en second. Immigrés qui ont toujours été relativement peu nombreux, du genre, 5% de la population grand maximum à un moment donné lors de grosses vagues migratoires.
Certaines personnes "politiquement correctes" déplorent sûrement cette préférence ou cette priorité habituelle (au nom de l'antiracisme, de l'universalisme ou du "droitsdelhommisme" etc.).
Mais il me semble tout à fait acceptable et juste que notre peuple multimillénaire soit avantagé et en priorité sur sa terre et dans sa culture, par rapport à des Français de branche. Cela devrait être le cas dans tout pays qui fonctionne selon des valeurs saines de respect de soi et d'intégrité.
"A Rome, soit Romain". C'est un bon principe de modestie du "voyageur" en effet.
Avec une immigration de masse, le phénomène s'inverse et cela me semble être pour le coup une injustice profonde.
"A Paris, impose ta culture d'origine et nie la culture française".

ps: il me semble que les immigrés Italiens, Espagnols, Portugais ou d'Europe centrale (Juifs, Arméniens, Polonais?) et leurs descendants ont su s'intégrer et devenir presque "plus Français" que les Français.
Et participer de façon sublime au génie de la France:
Louis de Funès, Nino Ferrer, Coluche, Aznavour!
Ya du lourd, non? Et encore je ne cite que quelques uns des nombreux illustres français issu des migrations modernes (sans compter les foules anonymes productives, bienfaisantes et bienveillantes).
C'était une autre époque certes sur le plan de la pression à l'intégration, sur le plan économique et sur le plan de rapport de force "ethnique" avec une grande majorité de FDS. Mais cette époque ne mérite-t-elle pas de nous inspirer si l'on souhaite préserver la France? Il est grand temps d'être raisonnable. Les chômeurs, précaires et travailleurs sauront-ils se faire entendre pour faire préserver leur intérêt économique? Sont-ils seulement conscients de cet intérêt?
