A toi, gouvernement que j'aime !
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Invité
Re: A toi, gouvernement que j'aime !
Concrètement qu'est -ce qui, venant du gouvernement, est pour vous, Artho, une incitation à procréer ?
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paulactu
Re: A toi, gouvernement que j'aime !
Yves a écrit : Tes fastidieuses démonstrations ne sont vraiment pas convaincantes. ........... Parce que les généralités (vaseuses), franchement, tout le monde s'en fout.
Yves a écrit :La plupart des utilisatrices et utilisateurs de nos forums se foutent de tes développements. .
Yves a écrit : Revenir tous les 15 jours ici pour relancer d'une façon détournée le sujet, te réjouir que ta voisine renonce à faire des moutards, franchement je crois que TOUT LE MONDE S'EN BAT. D'ailleurs tu le mesureras rapidement au manque de réactions et d'échanges que suscitent tes fixations : système, prédateurs, enfants…
Yves a écrit :Là, on sent le mec qui vient poster son truc, qui revient deux ou trois semaines plus tard en postant un autre truc approchant, puis qui revient encore plus tard avec un sujet dans la même veine… et ainsi de suite.
Yves a écrit :Si j'avais que ça à foutre, je te le démontrerais sans peine, en listant tous les topics que tu as ouverts ces 6 derniers mois : Ils ont tous le même fond, seuls la forme et le titre (souvent confus) changent.
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Invité
Re: A toi, gouvernement que j'aime !
Très bonne question qu'on m'a déjà posée du reste. Si mes souvenirs sont bons, j'avais répondu qu'il y avait pas mal de choses notamment les allocations (dans certains pays dont la France) mais également le silence des Etats sur la nécessité de se pencher sur une démographie raisonnée.serabeth a écrit :Concrètement qu'est -ce qui, venant du gouvernement, est pour vous, Artho, une incitation à procréer ?
L’identification d'un phénomène aggravant mais en présence d'un silence embarrassant quant à celui-ci constitue une incitation.
Re: A toi, gouvernement que j'aime !
Toi y'en as rien compris !
On est dans un échange conceptuel virtuellement fumeux qui porte un éclairage cyclothymique sur la réalité fantasmée d'un monde qui pourrait être mais qui n'advient pas. Lumineux, non ?
Je poursuis donc :
Artho a le don - le talent - de nous projeter dans des sphères d'incompréhensions réciproques qui poussent nos réflexions au-delà des nimbes hiérarchisées d'une pensée admise mais non définitive, aussi vaste qu'un microcosme d'atermoiements délurés jonglant sur la sphère prématurée d'une extension limitée des esprits en suspens. Nous sommes happés par la spirale indécente de mirlitons endiablés flirtant avec la finalité acquise d'une rédemption improbable.
Tout se joue là, dans cette approche rébarbative conduisant à l'inutilité microbienne de propos désabusés fixant l'efficience de notre petitesse élargie. Et je reste sobre !
Il serait improbable de défricher le sens d'une action convergeant sur elle-même, sans renier l'abstraction ratatinée d'un désir inavoué pour je ne sais quelle raison dérisoire.
Nous plongeons dans les profondeurs de poursuites subliminales, arbitrant notre vouloir comprendre l'insondable, tant le chant des sirènes n'imprègnent que les mirages rachitiques de nos perturbations élitistes.
Contre tous et avec tous, nous marchons vers la quête impossible de semblants hallucinés menant à des horizons désordonnés, outrepassant les règles bienséantes d'une colère parcimonieuse.
Nous avons la foi dans cette arbitraire poussif additionnant ce que nous fûmes à ce que vous fûtes en des temps incertains, si contemporains et oubliés. Dommage !
Ainsi va la vie, ainsi trône l'Histoire d'une Humanité sublimée par la gestuelle divine d'une alchimie névrosée.
Si tout n'est pas dit, rien n'écrit. Donnons-nous la main. Marchons en confiance vers des lendemains assagis, pétris d'indices qu'on ne saurait dérider tant il est vrai que l'inconfort collectif galvanise la raréfaction d'une vision unanime.
Nous aurons à faire un jour au souffle d'un vent portant nos illusions graduées vers des rivages fictifs. Là se tient la vérité du mensonge, sur cette plage de neige alambiquée qu'une caresse effleure de sa rose cristalline.
Adieu les odes et les concepts, les dogmes et les loups. Vous n'avez rien perçu et en êtes devenus fous.
Mais encore fallait-il le démontrer. Ce qui est finalisé ici, sur cette terre d'argile, aride et amère comme un baiser perdu sur une âme de pierre.
Tu voulais du concret… en voici !
On est dans un échange conceptuel virtuellement fumeux qui porte un éclairage cyclothymique sur la réalité fantasmée d'un monde qui pourrait être mais qui n'advient pas. Lumineux, non ?
Je poursuis donc :
Artho a le don - le talent - de nous projeter dans des sphères d'incompréhensions réciproques qui poussent nos réflexions au-delà des nimbes hiérarchisées d'une pensée admise mais non définitive, aussi vaste qu'un microcosme d'atermoiements délurés jonglant sur la sphère prématurée d'une extension limitée des esprits en suspens. Nous sommes happés par la spirale indécente de mirlitons endiablés flirtant avec la finalité acquise d'une rédemption improbable.
Tout se joue là, dans cette approche rébarbative conduisant à l'inutilité microbienne de propos désabusés fixant l'efficience de notre petitesse élargie. Et je reste sobre !
Il serait improbable de défricher le sens d'une action convergeant sur elle-même, sans renier l'abstraction ratatinée d'un désir inavoué pour je ne sais quelle raison dérisoire.
Nous plongeons dans les profondeurs de poursuites subliminales, arbitrant notre vouloir comprendre l'insondable, tant le chant des sirènes n'imprègnent que les mirages rachitiques de nos perturbations élitistes.
Contre tous et avec tous, nous marchons vers la quête impossible de semblants hallucinés menant à des horizons désordonnés, outrepassant les règles bienséantes d'une colère parcimonieuse.
Nous avons la foi dans cette arbitraire poussif additionnant ce que nous fûmes à ce que vous fûtes en des temps incertains, si contemporains et oubliés. Dommage !
Ainsi va la vie, ainsi trône l'Histoire d'une Humanité sublimée par la gestuelle divine d'une alchimie névrosée.
Si tout n'est pas dit, rien n'écrit. Donnons-nous la main. Marchons en confiance vers des lendemains assagis, pétris d'indices qu'on ne saurait dérider tant il est vrai que l'inconfort collectif galvanise la raréfaction d'une vision unanime.
Nous aurons à faire un jour au souffle d'un vent portant nos illusions graduées vers des rivages fictifs. Là se tient la vérité du mensonge, sur cette plage de neige alambiquée qu'une caresse effleure de sa rose cristalline.
Adieu les odes et les concepts, les dogmes et les loups. Vous n'avez rien perçu et en êtes devenus fous.
Mais encore fallait-il le démontrer. Ce qui est finalisé ici, sur cette terre d'argile, aride et amère comme un baiser perdu sur une âme de pierre.
Tu voulais du concret… en voici !
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Invité
Re: A toi, gouvernement que j'aime !
Aaaaah, là, franchement, là, on sent l'âme du philosophe !
Je ne sais pas si c'est de toi. Si c'est le cas, chapeau. Mais sincèrement, c'est bien écrit et j'avoue moi-même ne pas être à la hauteur.
Cela dit, en ce qui me concerne, je n'ai pas nécessairement besoin d'aligner des formulations longues pour dire d'un verre qu'il contient de la glace et de l'eau lorsqu'il contient effectivement de la glace et de l'eau, les éléments essentiels à prendre en considération pour me rendre compte : ''PUTAIN ! QUEL EST LE CON QUI, ENCORE UNE FOIS, A FOUTU SON VERRE D'EAU FROIDE SUR MA TABLE EN BOIS ?
''
Et donc, tel le ferait un enquêteur - puisque que le coupable ne se dénoncera pas de lui-même - mon attention va sa porter sur les détails; mais attention, du concret. Ce que bien entendu un philosophe ne fait jamais. Par nature ce dernier aime soulever des questions, beaucoup de questions et, je ne suis pas contre. Toutefois, assez souvent, il laisse chacun sur sa faim l'air de dire: ''Il n'y a ni explication, ni solution. C'est à chacun de donner son explication et de trouver sa solution''.
Mais, encore fois, pour ton écrit : bien, très bien !
Je ne sais pas si c'est de toi. Si c'est le cas, chapeau. Mais sincèrement, c'est bien écrit et j'avoue moi-même ne pas être à la hauteur.
Cela dit, en ce qui me concerne, je n'ai pas nécessairement besoin d'aligner des formulations longues pour dire d'un verre qu'il contient de la glace et de l'eau lorsqu'il contient effectivement de la glace et de l'eau, les éléments essentiels à prendre en considération pour me rendre compte : ''PUTAIN ! QUEL EST LE CON QUI, ENCORE UNE FOIS, A FOUTU SON VERRE D'EAU FROIDE SUR MA TABLE EN BOIS ?
''Et donc, tel le ferait un enquêteur - puisque que le coupable ne se dénoncera pas de lui-même - mon attention va sa porter sur les détails; mais attention, du concret. Ce que bien entendu un philosophe ne fait jamais. Par nature ce dernier aime soulever des questions, beaucoup de questions et, je ne suis pas contre. Toutefois, assez souvent, il laisse chacun sur sa faim l'air de dire: ''Il n'y a ni explication, ni solution. C'est à chacun de donner son explication et de trouver sa solution''.
Mais, encore fois, pour ton écrit : bien, très bien !
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Invité
Re: A toi, gouvernement que j'aime !
Non, bien sûr, sur ce forum on est trop bêtes, surtout Yves.Je ne sais pas si c'est de toi.
Aucun de nous ne peut atteindre les hauteurs himalayesques de votre pensée Artho...
Re: A toi, gouvernement que j'aime !
Ce n'est pas en enquillant les mots qu'on philosophe.
La rédaction de ma saillie a été rapide. Il n'est guère compliqué d'enchaîner des phrases qui ne veulent rien dire, dans un développement sans but et sans fin. Mis à part le "baiser sur une âme de pierre" (belle formule, je m'en félicite).
Une démarche valeureuse est de s'impliquer dans le concret, dans l'action, sur le terrain… pour de bon.
Se répandre en longues phrases est un exercice de fainéant.
Artho, je te remercie pour tes félicitations (que je ne mérite - vraiment - pas). Sache, quand même, que j'y tournais "quelque peu" en dérision ta façon de t'exprimer, tes raisonnements alambiqués, tes conclusions hâtives… qui ne mènent pas plus loin que le délire commis plus haut. Trop de mots tuent le message, l'engagement et, finalement, la vérité.
La rédaction de ma saillie a été rapide. Il n'est guère compliqué d'enchaîner des phrases qui ne veulent rien dire, dans un développement sans but et sans fin. Mis à part le "baiser sur une âme de pierre" (belle formule, je m'en félicite).
Une démarche valeureuse est de s'impliquer dans le concret, dans l'action, sur le terrain… pour de bon.
Se répandre en longues phrases est un exercice de fainéant.
Artho, je te remercie pour tes félicitations (que je ne mérite - vraiment - pas). Sache, quand même, que j'y tournais "quelque peu" en dérision ta façon de t'exprimer, tes raisonnements alambiqués, tes conclusions hâtives… qui ne mènent pas plus loin que le délire commis plus haut. Trop de mots tuent le message, l'engagement et, finalement, la vérité.
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Invité
Re: A toi, gouvernement que j'aime !
Et donc, tu te sens le devoir d'abandonner un temps ton implication d'homme travailleur sur le terrain pour venir contredire mon délire de fainéant.Yves a écrit : tes raisonnements alambiqués, tes conclusions hâtives… qui ne mènent pas plus loin que le délire
Tu te rends compte. Heureusement qu'il n'y en a pas cent comme moi sinon, sur le terrain, tu ne pourrais y être !
Re: A toi, gouvernement que j'aime !
T'as bien raison ! Avec 100 comme toi (même 10), un forum perd tout son intérêt.
Précision : Je ne t'ai pas traité de fainéant. J'ai juste écrit : "Se répandre en longues phrases est un exercice de fainéant." Ce que je fais moi-même… donc ce que je suis moi-même. Tu vois, j'assume !!!
Comme écrit précédemment, tu reviens ici avec la précision de l'horloger (tous les 15 jours/trois semaines en moyenne) nous balancer tes lubies et fixations (toujours les mêmes) qui, indubitablement, engagent les mêmes conversations, les mêmes échanges… improductifs, disons-le. Alors que je t'encourage depuis le début à créer une file de discussions sur les thèmes qui te tiennent à cœur, plutôt que d'ouvrir une multitude de sujets où tu te répètes.
Ce topic en est l'illustration : Son contenu est sans rapport avec son titre original "Gouvernement que j'aime", lui-même étant pour le moins fumeux et évasif, dans le genre "Tous coupables", "La Grande Illusion 2", "L'esprit dans une cage", "En attendant…", "Fais risette à maman"… Toutes tes œuvres sur nos forums.
Dernier conseil : Tu as des choses à dire, des infos à faire passer ? Reste précis, ne te disperse pas.
Et si tu veux développer un thème fort sur lequel tu sais que tu reviendras, crée un VRAI sujet d'échanges et de discussions. Anime-le au gré des informations que tu veux partager.
Sur nos forums, certains thèmes vivent depuis 5 ans, 6 ans ou plus, comme "Site Pôle Emploi quel souk !", créé en 2009 et vu 305.554 fois ! Voilà une approche intéressante. Pas celle consistant à poser son petit délire une fois de temps en temps… comme une envie de pisser.
Mais ça fait jamais que 10 fois que je te le prescris… sans aucun succès. Donc on attend ton prochain topic : "Aïe, aïe, aïe, ça fait mal 3" - "La Grande Pagaille 5" - "Système enfumeur 6 bis - le retour" - "Ma voisine ne veut pas de moutard 8-ter"…
Précision : Je ne t'ai pas traité de fainéant. J'ai juste écrit : "Se répandre en longues phrases est un exercice de fainéant." Ce que je fais moi-même… donc ce que je suis moi-même. Tu vois, j'assume !!!
Comme écrit précédemment, tu reviens ici avec la précision de l'horloger (tous les 15 jours/trois semaines en moyenne) nous balancer tes lubies et fixations (toujours les mêmes) qui, indubitablement, engagent les mêmes conversations, les mêmes échanges… improductifs, disons-le. Alors que je t'encourage depuis le début à créer une file de discussions sur les thèmes qui te tiennent à cœur, plutôt que d'ouvrir une multitude de sujets où tu te répètes.
Ce topic en est l'illustration : Son contenu est sans rapport avec son titre original "Gouvernement que j'aime", lui-même étant pour le moins fumeux et évasif, dans le genre "Tous coupables", "La Grande Illusion 2", "L'esprit dans une cage", "En attendant…", "Fais risette à maman"… Toutes tes œuvres sur nos forums.
Dernier conseil : Tu as des choses à dire, des infos à faire passer ? Reste précis, ne te disperse pas.
Et si tu veux développer un thème fort sur lequel tu sais que tu reviendras, crée un VRAI sujet d'échanges et de discussions. Anime-le au gré des informations que tu veux partager.
Sur nos forums, certains thèmes vivent depuis 5 ans, 6 ans ou plus, comme "Site Pôle Emploi quel souk !", créé en 2009 et vu 305.554 fois ! Voilà une approche intéressante. Pas celle consistant à poser son petit délire une fois de temps en temps… comme une envie de pisser.
Mais ça fait jamais que 10 fois que je te le prescris… sans aucun succès. Donc on attend ton prochain topic : "Aïe, aïe, aïe, ça fait mal 3" - "La Grande Pagaille 5" - "Système enfumeur 6 bis - le retour" - "Ma voisine ne veut pas de moutard 8-ter"…