Un atelier pour changer de regard sur le chômage

[Activ_Action]

Afin que nous puissions améliorer notre site, quels éléments en particulier vous ont déplus ?

Votre vidéo : à quoi ça sert de nous filer ce machin en mauvais anglais mal prononcé, c'est pour montrer que vous êtes allés aux Stai-aitss avec le co-fondateur ?
Votre credo rédigé comme une marque de lessive.
Vos fautes d'orthographe. (c'est peut-être le style du "CV nouvelle génération" ?)
J'ai l'impression de voir une pub pour une session chez Scientologie & Co.

Merci pour les retours et nous allons effectuer le plus rapidement les corrections des fautes d’orthographe.
Pour la vidéo en anglais, c'est tout simplement parce que c'est la seule dont nous disposons à l'heure actuelle mais nous ne sommes pas du tout allés aux Etats-unis mais nous étions bien en France, lors d'un événement où on nous a demandé de présenter notre projet (nous sommes deux dans ce projet, les deux personnes dans la vidéo) et en anglais.

[Yves]

Bonjour,

Les projets visant à "positiver" les périodes de chômage se comptent par centaines depuis des décennies.

En fait, toute personne récemment "licenciée", de tempérament "dynamique" et "enthousiaste" fait ce constat : Mon chômage doit me servir. Et si il me sert, il peut servir aux autres.

Depuis 2004 (même avant), nous avons croisé des dizaines de personnes qui souhaitaient porter un projet "positif" autour du chômage. Elles se sont parfois lancées.

Le problème de fond (comme de forme) est que personne n'aspire à rester "chômeur" longtemps (tant du côté des initiateurs que des participants). Donc, c'est un turn-over continuel de gens qui viennent "se servir" pendant un moment et qui décampent aussitôt leur situation améliorée.

La plupart des projets que nous avons suivis ont capoté au bout de quelques mois.

La "positive attitude" autour du chômage est difficile à conserver à long terme. Travailler sur ces questions impose un gros boulot… pour très peu de retours.

Le chômage même "positivé" est un engagement INGRAT !

Il faut être un-E vrai-E militant-E pour tenir le coup sur la durée. Comme nous ici sur Actuchomage.

Et si on part du principe que d'autres viendront remplacer les départs, ça ne fonctionne jamais comme ça (nous en savons quelque chose). Donc ces projets sont fragiles !

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Pour autant, de grosses structures travaillent sur cette "positive attitude", comme la fondation FACE (Agir contre l'Exclusion) - fondée par Martine Aubry - qui réunit 4.500 entreprises et soutient des milliers de chômeurs par an partout en France.

Le travail de cette fondation consiste notamment à révéler aux demandeurs d'emploi (souvent des chômeurs de longue durée, des personnes très éloignées du travail ou discriminées) leurs savoir-faire et compétences cachés pour tenter de retrouver un job dans des créneaux qu'ils ne soupçonnaient pas. Et ça peut marcher (pas toujours évidemment !).

Pour info, voici un lien vers la présentation vidéo d'une formation assurée par FACE pour devenir "consultant". Cette formation spécifique s'adresse à des cadres. Mais FACE propose des accompagnements à toutes les catégories de chômeurs, de toutes origines, du cadre sup' à l'agent de sécurité.

https://www.youtube.com/watch?v=4e4rsXhrOGA