Y'en a marre des jeunes !!!!!!

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Modérateurs : superuser, Yves

Monolecte

Message par Monolecte »

Nous, on est jsute les enfants de la crise.

La putain de crise, je n'entend que ça depuis que je suis gosse. Mais quand on y regarde d'un peu plus près, ce n'est vraiment pas la crise pour tout le monde.

Ceux qui râlent le plus on une maison qu'ils ont fait construire, changent de caisse tous les ans, quadrillent la planète en voyages de vacances et laissent leurs gosses dans la merde.

"si, si, je comprends tes problèmes, mais tu vois, je dois préparer mon voyage en Egypte et celui en Croatie, alors, j'ai pas le temps. Et puis, quand on veut, on peut. Regarde, moi, ce que j'ai réussi à faire avec un certif, hein? Maintenant, j'en profite. Et toi, tu te démerdes!"
Yves
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Absolument !

Message par Yves »

SuperUser a raison de le préciser (lire page précédente).

Mon père a bénéficié des 30 Glorieuses… Il est né en 1930 et a donc aujourd’hui 75 ans !!!

Il avait 30 ans en 60. 40 ans en 70, 50 ans en 80, 60 ans en 90… décennie où il a pris sa retraite.

…/…

Un quinqua (abusivement appelé "Senior"), c'est une personne qui est née dans les années 50, qui n'a pas "participé" aux événements de 68 (souvent trop jeune), qui est entré dans le monde du travail dans les années 70 (premier choc pétrolier et apparition du chômage de masse) et qui a fait sa carrière entre les années 70 et 2000.

Et ces trente dernières années n'ont pas été particulièrement GLORIEUSES !

Un quinqua au chômage, c'est aussi quelqu'un qui a cotisé 30 ans à la retraite… et qui a peu d'espoirs (comme on l'observe actuellement) de retrouver du travail.

Un quinqua au chômage, c'est une personne qui aura une retraite peau de chagrin, car il devrait officiellement cotiser encore 10 ans et plus aux caisses de retraite.

…/…

Alors, ne confondons pas SVP !!!

La plupart des "bénéficiaires" des 30 Glorieuses sont à la retraite… depuis belle lurette !

Yves - un quadra… au chômage… qui est entré sur le marché du travail dans les années 80… qui a cotisé 20 ans à la retraite… et qui doit encore cotiser pendant… 22 ans !!!
tranquilledeuz

Message par tranquilledeuz »

Je précise donc : parmi les gens qui m'ont servi de parents, l'une des personne a fait sa carrière sur les dites "30" glorieuses, ensuite elle s'est maintenue (tout en promotion lente mais certaine ; elle a aussi pu changer de job sans grand risque ; elle a obtenu le maximum de la sécu vieillesse). Et tous les enfants qu'elle a eu à charge, elle n'en a finalement écouté et aidé qu'un seul, elle a mis du temps à comprendre que le monde avait changé, s'était durci et que ses règles ne fonctionnait plus sans aide très concrète et sans défaillance... Un ami proche avait 17 ans en 68, quasiment ceux de sa génération ont eu le bac à ce moment là et des entrées à la fac de leur choix très facilement. Ensuite, de multiples emplois dans ce qu'il a choisi, aimé et des promos (avec du travail, bien sûr).
je n'ai aucune aigreur contre les cinquantenaires, notamment ceux du site, je ne me trompe pas.
je sais (en gros et parfois en détail) qui a l'argent, qui le conserve, qui le fait fructifier aux dépens des autres, qui n'ouvre pas les yeux, qui a oublié des aspects de solidarité, d'évolution et de prise en compte des impacts sur les générations suivantes.
Je sais que si je ne trouve pas de travail stable, je m'abîmerai encore, que la retraite c'est un avenir bien triste (hospice ou huppé, c'est une catastrophe) ; que les associations voient venir à eux depuis quelques années des sdf vieux (vieillis trop tôt), jeunes (adultes trop tôt - personnes pour qui le mot "devenir" a perdu son sens), des mères avec enfants (qui n'ont plus de lieu où crèché).
Je pense que des personnes d'un certain âge, proches de la retraite refusent le relais, je pense que le gouvernement abuse avec le recul de l'âge de la retraite, et sa politique concentrée sur les jeunes et les disqualifiés (ils oublient les générations - entre) avec -malheureusement- des contrats minables. je pense que les entreprises et les organismes de formation profitent (court-terme) de la situation en excluant de plus en plus de gens, sous couvert de rentabilité immédiate : attention aux boomerangs.
gérard
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C'est bien ce qui me semblait !

Message par gérard »

Il y a une totale confusion entre les "papy-boomers" et leurs parents, véritables bénéficiaires de l'âge d'or des 30 Glorieuses.

J'apporte donc 2 précisions :

La première concerne le sens que nous, sur Actuchomage, donnons à "seniors". Je l'avais présenté ici : http://www.actuchomage.org/modules.php? ... age_id=146

La deuxième est un article extrait de mon livre :

Trente Glorieuses

Alors que les « seniors » sont indiscutablement les victimes d'une situation qu'ils n'ont pas souhaitée, il se trouve (épisodiquement) quelques polémistes pour « tirer sur l'ambulance ». Par une curieuse manipulation des dates, ils présentent les « baby-boomers » comme une génération bénie des dieux, qui aurait profité des Trente Glorieuses. Un peu d'histoire…

Les Trente Glorieuses correspondent, pour le monde occidental, à une période d'économie florissante comme en ont connu beaucoup d’époques d'après-guerre. Cette phase a débuté à la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945 et s'est achevée en 1974 avec le premier choc pétrolier.

La génération du « baby-boom » correspond aux naissances de l'après-guerre. Selon les auteurs, les « baby-boomers » sont nés entre 1945 et 1953, ou entre 1946 et 1965 (voire même entre 1945 et 1969) (1).

A la fin des Trente Glorieuses, les « baby-boomers » étaient donc âgés au plus de 29 ans ; les plus jeunes avaient entre 21 et… 5 ans.

Particulièrement agressif envers cette génération, le sociologue suisse Jean-Pierre Fragnières (2) n'hésite pourtant pas à déclarer « qu'ils ont connu un parcours particulièrement confortable. Ils sont entrés sur le marché du travail dans une situation de plein emploi. (…) Bien sûr, il y a eu le choc pétrolier de 1974, et les baby-boomers ont été chatouillés par quelques "crisettes", comme en 1982. »
Tout cela n'est pas sérieux ! Chacun sait que l'économie française - et singulièrement l'emploi - sont en crise depuis 30 ans. Cette réalité n'est-elle pas perceptible depuis la Suisse ?

En fait de plein emploi, les « seniors » d'aujourd'hui, lorsqu'ils sont entrés sur le marché du travail, se sont plutôt entendu dire quelque chose qui ressemblait à « désolés, jeunes gens, l'âge d'or, c'est fini ! »

De spécieuses, les affirmations de M. Fragnières deviennent franchement inquiétantes lorsqu'il écrit : « aujourd'hui, ce sont eux qui sont aux commandes et n'entendent pas les lâcher », avant de poursuivre : « Les baby-boomers n'accueillent pas vraiment les jeunes générations. Et le problème se complique du fait que, entre guillemets, la mort ne fait plus son travail. » On croit rêver, mais on comprend mieux lorsqu'il ajoute : « Comme leurs propres parents, les baby-boomers sont là, et pour encore longtemps (…) Aujourd'hui, on n'est plus fatalement vieux à 67 ou 80 ans. » Tout s'éclaire ! (si l'on peut dire !) : M. Fragnières s'est « simplement » trompé d'une génération ! Lorsqu'il fustige à tout va une génération selon lui « bénie des dieux », c'est en fait des parents des baby-boomers qu'il parle (pour avoir 67 ans en 2005, il faut être né en 1938…). C'est extrêmement grave, surtout venant d'un citoyen d'un pays aussi réputé pour sa précision horlogère !

Le sociologue Louis Chauvel livre quant à lui une analyse beaucoup plus proche de la réalité arithmétique, lorsqu'il évoque « les générations nées dans les années 1940 (générations entrées dans le monde du travail à la fin des Trente Glorieuses) » (3).

Il note que « le ralentissement économique n’est pas réparti uniformément sur toute la population : les générations nées après 1950 observent une dégradation de leur situation par rapport à leurs aînés, en termes de revenu, de rendement du diplôme, en termes de perspective de mobilité ascendante. (…) les variations du rythme de la croissance (Trente Glorieuses 1945-1975 versus "Croissance ralentie" 1975-aujourd’hui) [ont] donné lieu à une répartition spécifique des ressources entre les différentes générations. »

Toujours selon Louis Chauvel, la situation actuelle des « seniors » est même une conséquence de la conjoncture de crise qu'ils ont connu à leur entrée dans la vie active : « pour une cohorte donnée, la situation à trente ans conditionne les perspectives à tout âge ultérieur. Pour ceux qui n’ont pas fait leur place à trente ans, il est trop tard et les conditions sociales se figent. Les premières générations qui ont subi à plein le ralentissement économique, les générations nées à partir de 1955 et qui ont eu vingt ans alors que le chômage de masse s’étendait sur ceux qui n’étaient pas à l’abri, conservent encore aujourd’hui les séquelles de leur jeunesse difficile, alors qu’ils ne sont plus en rien des "jeunes" en attente d’une place définitive dans la société (4). »

Qu'il soit permis de s'étonner que ces propos aient pu être détournés dans une scandaleuse série d'articles de l'hebdomadaire L'Express, qui prétendaient faire état d'une profonde rancœur des actuels trentenaires à l'égard des papy-boomers (5). Au service de quels intérêts peut-on ainsi rechercher un affrontement des générations ? Certes, tout le poids de l'activité économique repose sur les épaules des travailleurs qui ont aujourd'hui entre 25 et 45 ans. Voudrait-on en rendre responsables les « moins de 25 ans » (qui souvent désespère d'entrer un jour dans la vie active), ou les « plus de 45 ans » (qui en sont eux aussi exclus) ?

Les recruteurs montrent chaque jour combien ils ont pour les trentenaires les yeux de Chimène ; doit-on pour autant accuser ces derniers de l'exclusion de leurs aînés ? Il serait plus urgent de leur faire prendre conscience du mur d'absurdité contre lequel ils vont s'écraser à leur tour, si nul n'y prend garde !

(1) J-F Sirinolli, Les baby-boomers; une génération 1945-1969, Fayard, 2003.
(2) Cité par T. Corbier, « Un peu de provoc’ : les baby-boomers , d'affreux égoïstes ? », www.lemarchedesseniors, 2 janvier 2005.
(3) Louis Chauvel, Le destin des générations : structure sociale et cohortes en France au XXe siècle, Presses Universitaires de France, Paris 1998.
(4) Louis Chauvel, « La responsabilité des générations », Article publié dans la revue Projet n° 266, été 2001.
(5) « Trentenaires et papy-boomers », Anne Vidalie, L'Express, 10 mai 2004.



J'ajoute, à propos de l'article du Monde indiqué par "Monolecte", que le livre qu'il présente ne m'a toujours pas convaincu. En gros, il consiste à dire "non, les trentenaires ne sont pas aussi nuls qu'on le dit, ce sont les baby-boomers qui sont des gros salauds !".

Or 1) Qui traite les trentenaires de nuls ? Je l'ignore ; personne ici en tout cas ;
2) le principe du "c'est c'ui qu'il dit qui y est", ça fait un peu léger quand même...

Au final, que propose ce livre, à part une "image caricaturale et paralysante" ?
tranquilledeuz

Message par tranquilledeuz »

Je n'ai pas lu ce livre (par contre L. Chauvel oui). J'ai donné l'exemple d'une personne depuis 15 ans à la retraite, et d'une autre personne avec encore probablement 15 à 20 ans de vie active... Le recruteur de l'association devait être en fin de "vie active" (55-60 ans). Le baby-boomer de 1945, c'est, le rattrapage de "relations" du juste après-guerre, si j'ai bien compris. Je ne mélange pas tout, il n'y a pas eu de transition de génération suffisante et attendue sur les postes de direction.
Bcp de destruction de postes, pas assez de création (diversification et consolidation), bcp de pressurisation - kleenex - déqualification et d'un autre côté, des secteurs ou des postes hyper-protégés (où des nouveau entrants se retrouvent depuis 10 ans difficilement titularisés). Chacun d'entre-nous a pu entendre les discours "très sympathiques" des anciens (qu'ils soient aujourd'hui à la retraite ou encore en poste), avec leurs solutions insuffisantes ou -à côté de la plaque-. Le fait est que si le transfert de génération s'était effectué correctement, des gens de environ 40 devraient déjà être cadres (et pouvoir assumer une vie de famille, que aujourd'hui certains n'ont même pas pu fonder) et l'entrée des jeunes se faire plus facilement dans des conditions correctes avec projection sur l'avenir.
tranquilledeuz

Message par tranquilledeuz »

Je rajoute que cet concentration des emplois sur certaines catégories de personnes provoque bcp de rejets, avec des justifications économiques, mais aussi culturelles : avoir vécu (de près ou de loin) l'après-guerre, ou même l'Algérie et l'Indochine, n'est pas neutre dans les idéologies et les comportements sociaux. Il faudrait d'ailleurs développer ce point, mais pour le moment, je n'ai pas assez de billes.
informatik

Penurie d'emplois

Message par informatik »

tous égaux devant la pénurie d'emplois et les bas salaires !!!
Il faudra bien trouver les solutions, elles existent mais elles demandent un consensus et surtout une société reellement solidaire. et c'est là que le bas blesse...
en realité notre société est profondemment egoiste, nous !
il ne sert à rien de critiquer la classe politique comme telle en fin de compte car elle est tout à fait à notre image.
nous avons la classe politique que nous meritons.
si la gauche est trop timorée, c'est parce qu'elle n'ose pas.
si la droite devient de plus en plus dure, c'est parce qu'elle profite de cette situation, des peurs, des égoismes.


sociéte solidaire :

- passage aux 32 heures
- resserrement de l'echelle des salaires
- moins d'elitisme

discriminations :

- à compétences égales, chances égales

formation, éducation, chomage des jeunes :

- reprenons les "seniors" et expérimentés pour former les jeunes sur le terrain
gaia

Message par gaia »

Moi ce que je vois aussi c'est des retraités qui vont au resto du coeur parce que leur retraite ne leur suffissent pas pour vivre ... alors je pense que les retraités auxquels vous faites allusion sont des anciens cadres ou fonctionnaires lol parce que combien de gens se plaignent d'avoir des difficultés pour finir le mois qu'ils soient jeunes, vieux, en activité ou pas, et ce n'est pas parce qu'ils sont de mauvais gestionnaires. C'est tout simplement les "nouveaux pauvres" qui viennent remplir les rangs des plus démunis.
poussin006

Message par poussin006 »

bof mes grands parents ont du mal à boucler les fins de mois malgré plus de 40 ans de travail pénible (usine, btp)....
je me dis que je n'aurais pas de retraite, vu qu'actuellement les cotisations servent à payer les intérêts de la dette de la sécu....

je ne suis comme d'autres ni plus trop jeune (33 ans) ni vieux mais j'ai une tare : je suis informaticien, comptable et maçon aussi...
jeune pas jeune ca veut rien dire, je connais des gens qui à 50 ans en ont marre de bosser, d'autres qui à 65 ont envie de transmettre leur savoir, ce qu'on leur refuse par ailleurs...
je connais de jeunes qui sont vieux dans leur tête, et des vieux qui sont jeunes.... question d'esprit.

Et les nouveaux puvres, c'est nous. je parle de ceux qui cumulent petits boulots, intérim, emploi précaires etc.
désolé mais les chômeurs, ca fait un bail qu'ils sont considérés comme des "pauvres"
quand je vois mon voisin avec sa femme chômeuse, lui militaire qui va devoir aller se peler volontairement une campagne de 6/8 mois au bout de monde dans un pays en guerre pour que les primes lui permettent de vivre mieux, je me demande où va t on ???????

allez, le 8/12 je suis là en journée, chômeur que je redeviendrai (sauf si le big boss il veut me garder... mais j'en sais toujours rien, ca craint dans la gestion des "ressources humaines")
gaia

Message par gaia »

Quand je parle des nouveaux pauvres, je parle des personnes qui auparavant s'en sortaient cad retraités, travailleurs ( interimaires ou autres ) alors qu'aujourd'hui ce n'est pas le cas pour certains qui comme je le dis viennent remplir les rangs des pauvres déjà existants cad chomeurs, sdf ...
Danny

c'est quoi ce sujet: y'en a marre des jeunes

Message par Danny »

Oh, çà vole bien bas. Vous avez pas encore compris que dans votre vie, si vous voulez avoir un peu de retraite vous devez cotiser un certain nombre d'années. Alors, si vous devez travailler jusqu'à 65 ans vous avez droit à un travail jusqu'à cet âge là, sans tomber dans les histoires de jeunes ou pas jeunes.
Alors si je vois sur mon parcours, 35 ans de cotisations ou presque, dont 7 périodes de chomage, jeune ou pas jeune. Sauf que la dernière période est à 50 ans passés et là on te fait savoir que tu ne corresponds plus au profil, (avant pour évincer une catégorie de gens, on te détaillait un certain profil...) Maintenant on te dit simplement que tu ne rentres pas dans le profil. En qq sorte, notre esprit s'est tellement appauvri que ces soi-disants experts en recrutement n'ont même plus d'inspiration pour parler, et leur hypocrisie est telle que l'expression "ne rentre pas dans le profil" est devenu leur panacée.
J'ai même été mobile: 10 changements de villes ou de régions ou de pays, à chaque fois pour des causes de boulot.
Alors, s'il me reste 7 ans à cotiser, je prépare aussi pour l'après, et là je me fous de la société qui m'aura exclu dès l'âge de 50 ans.

D'autre part, que ceux qui parlent des "trente glorieuses" comme soi-disant des privilégiés: n'oubliez pas que ceux-là ont vécu aussi les conséquences de deux guerres mondiales, soit en tant qu'enfant, soit en tant que jeune, soit en tant que parent.
tranquilledeuz

Message par tranquilledeuz »

Chaque génération est marqué des difficultés vécues, des idéologies de leur temps, de leur propre façon de surmonter les obstacles, de profiter (et de créer) des opportunités.
Néanmoins, je pense que le ralentissement, très marqué en France, de turn-over, de relais, dans les postes de décision (mais aussi le choix des "intellectuels" et des journalistes sur les médias), révèle des réactions "anciennes" et inadaptées, au situations présentes (nous avons tous pu remarquer les relents du passé avec des pensées simplistes, carrément parfois xénophobes et des réponses-actes "réactionnaires"). On peut justifier du "poids démographiques" mais il y a sûrement de nombreuses autres raisons, dont le poids de pensées culturelles qui n'ont pas évoluées avec le temps. Bien sûr, "l'égoïsme", chacun en a sa part, seulement voilà, le fait de protéger ses intérêts, le fait de l'absence d'ouverture aux générations suivantes (avec évidemment des conflits d'intérêt, mais des recherches de conciliation) ne favorise que certains intérêts, et pas la construction (même l'imagination, l'élaboration) d'avenir plus général. Bon, je crois que je vais m'arrêter là ; peut-être me trompe-je, ou que je m'explique mal...
tranquilledeuz

Message par tranquilledeuz »

Juste une précision.
la partie entre parenthèse "(avec...conciliation)" est à accoler après "avenir plus général".
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