Chômage de masse ,désindustrialisation,perte de repaire,déclassement par les grandes métropoles régionales,on est presque mort !
constat amer pour notre pays.
j'ai beaucoup de respect pour les chômeurs âgées qui survivent dans nos campagnes dans l'indifférence totale.
chapeau bas pour Gilles !
comment survivre avec 500 € par mois ?
Alors qu'un autre citoyen, ancien président vit avec
,Mediapart le révèle. Valéry Giscard d'Estaing est l'ancien chef de l'État qui coûte le plus cher aux Français (environ 2,5 millions d'euros par an), devant Nicolas Sarkozy (2,2 millions) et Jacques Chirac (1,5 million).
on voit bien la collusion de cette France aristocratique qui traite les petites gens comme des parias !
La France profonde d'en bas va mal
Re: La France profonde d'en bas va mal
La France d'en-bas (qui va mal) accepte. Pour 100 qui râlent, un seul agit.
Et quand il arrive à se faire voir et entendre, la France d'en-bas est la première à lui cracher à la…
Nous avons le sort que nous méritons car nous sommes trop peu à nous bouger les fesses ou à vouloir le faire. La preuve ici sur Actuchomage : Le chômage n'a jamais été aussi haut, les injustices aussi criantes et les mobilisations aussi faiblardes.
Les nantis ont gagné la Lutte des Classes en divisant pour mieux régner. Une division qui s'accentue chaque année. C'est perdu !
Et quand il arrive à se faire voir et entendre, la France d'en-bas est la première à lui cracher à la…
Nous avons le sort que nous méritons car nous sommes trop peu à nous bouger les fesses ou à vouloir le faire. La preuve ici sur Actuchomage : Le chômage n'a jamais été aussi haut, les injustices aussi criantes et les mobilisations aussi faiblardes.
Les nantis ont gagné la Lutte des Classes en divisant pour mieux régner. Une division qui s'accentue chaque année. C'est perdu !
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Cafcata
Re: La France profonde d'en bas va mal
constat sévère et fondé, certainement...
qui oublie pourtant de citer les circonstances atténuantes
Préciser qu'etre pauvre,peut être usant au quotidien,et le montagne des injustices est raide à escalader
ensuite pour ce faire,encore faut-il être équipé parce qu'en haut ils écoutent peu et tapent fort...
Il faut de l'énergie.
Il faut avoir des capacités intellectuelles pour démonter le discours dominant pour éviter de se sentir culpabilisé,car ça déclenche immanquablement le "pour vivre heureux,vivons cachés" ou plus prosaïquement tant que ça ne tombe pas sur moi,je me fais tout petit.
Une propension naturelle du pauvre con,il y en a pas mal,à s'en prendre à plus malheureux que lui,bah oui faut le dire.
Une représentation politique,si on peut l'appeler ainsi,éclatée en petits partis où chacun préfère être chef de sa chapelle,plutôt que sous-sous chef dans une plus grande entité
Encore un petit quelque chose à perdre...et comme disait Coluche:"c'est pas que la différence était grande,c'est qu'on était six sur la différence..."
Enfin j'en oublie surement mais voilà un paquet de bonnes et de mauvaise raisons qui font que nous sommes dans la situation que décrit Yves.
qui oublie pourtant de citer les circonstances atténuantes
Préciser qu'etre pauvre,peut être usant au quotidien,et le montagne des injustices est raide à escalader
ensuite pour ce faire,encore faut-il être équipé parce qu'en haut ils écoutent peu et tapent fort...
Il faut de l'énergie.
Il faut avoir des capacités intellectuelles pour démonter le discours dominant pour éviter de se sentir culpabilisé,car ça déclenche immanquablement le "pour vivre heureux,vivons cachés" ou plus prosaïquement tant que ça ne tombe pas sur moi,je me fais tout petit.
Une propension naturelle du pauvre con,il y en a pas mal,à s'en prendre à plus malheureux que lui,bah oui faut le dire.
Une représentation politique,si on peut l'appeler ainsi,éclatée en petits partis où chacun préfère être chef de sa chapelle,plutôt que sous-sous chef dans une plus grande entité
Encore un petit quelque chose à perdre...et comme disait Coluche:"c'est pas que la différence était grande,c'est qu'on était six sur la différence..."
Enfin j'en oublie surement mais voilà un paquet de bonnes et de mauvaise raisons qui font que nous sommes dans la situation que décrit Yves.
Dernière modification par Cafcata le 10 oct. 2016, modifié 1 fois.
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Cafcata
Re: La France profonde d'en bas va mal
quelque chose que je comprends mal et qui me chagrine:
depuis que j'ai découvert ce site en lisant des sujets anciens et d'autres très récents je me suis aperçu qu'il y avait ce que j'ai interprété,peut-être à tort, comme un combat entre "chapelles" censées défendre les mêmes population,ça m'a un peu ébranlée voire déçue,je me suis fait la réflexion qu'on ne déteste rien autant que ses homologues dont les petites différences ou les comportements sont à ce point insupportables que ça empêche bien souvent les rapprochements et les luttes communes
Dans un parti les types détestent bien plus leurs concurrent,censés avoir les mêmes idées,que leur opposant politiques qui menacent finalement moins leur carrière et leur prérogatives.
J'ai aussi vu des attaques contre des nouveaux venus postant ici et là les mêmes demandes,sans bien comprendre si ce qui était reproché était l’attitude consumériste,(je demande à droite ou à gauche pour être servi plus vite) ou autre chose.
Tout ça pour dire que la solidarité tant recherchée semble être difficile à atteindre de le part de tous.
depuis que j'ai découvert ce site en lisant des sujets anciens et d'autres très récents je me suis aperçu qu'il y avait ce que j'ai interprété,peut-être à tort, comme un combat entre "chapelles" censées défendre les mêmes population,ça m'a un peu ébranlée voire déçue,je me suis fait la réflexion qu'on ne déteste rien autant que ses homologues dont les petites différences ou les comportements sont à ce point insupportables que ça empêche bien souvent les rapprochements et les luttes communes
Dans un parti les types détestent bien plus leurs concurrent,censés avoir les mêmes idées,que leur opposant politiques qui menacent finalement moins leur carrière et leur prérogatives.
J'ai aussi vu des attaques contre des nouveaux venus postant ici et là les mêmes demandes,sans bien comprendre si ce qui était reproché était l’attitude consumériste,(je demande à droite ou à gauche pour être servi plus vite) ou autre chose.
Tout ça pour dire que la solidarité tant recherchée semble être difficile à atteindre de le part de tous.
Re: La France profonde d'en bas va mal
Pour compléter :
Si beaucoup de chômeurs et précaires sont dans la galère (ce qui limite considérablement ou totalement leurs capacités d'action), beaucoup sont dans des situations plus favorables à l'engagement. Parce qu'ils ont du temps, encore des sous et souvent des compétences.
Comme l'a démontré récemment Roroc (dans l'affaire "taxation illégale RSA"), pas besoin non plus d'être un cador blindé de thunes et de conseillers juridiques pour se faire entendre et respecter. Il faut avant tout être persévérant, courageux et déterminé.
Depuis 13 ans que nous existons, nous avons constaté que la lutte paie parce qu'elle redonne (souvent) confiance en soi.
++++++
Nous déplorons ici l'atomisation des associations de défense des Droits des Chômeurs et Précaires (que nous connaissons toutes). Un éparpillement qui correspond à celui qui fractionne les mouvances de gauche : NPA, LO, Parti de Gauche, PC… incapables de s'unir pour constituer une vraie force politique.
Actuchomage en est l'illustration. Nous avons mis cet outil (notre site qui était à l'avant-garde en 2004) au service des mouvements militants qui ne s'en sont jamais vraiment servis (alors que nous les fréquentons tous).
Chacun semble préserver son petit pré carré au détriment de l'action collective (qui se manifeste parfois). Depuis 2004, nous avons tout tenté pour agréger ces forces, sans grand succès reconnaissons-le. Nous relayons (et encourageons) toujours les actions des autres qui ne s'intéressent guère à ce que nous entreprenons. Nous nous sommes faits une raison.
++++++++
Enfin, notre association survit avec "3 francs 6 sous" alors que depuis 2004, des milliers de personnes y ont trouvé réponses, conseils, soutiens… sans se poser la question de savoir : Et moi, qu'est-ce que je fais en retour pour cette association ?
Un chèque de 5 euros une fois de temps en temps, même pour un galérien, ce n'est pas la mer à boire et ça participe à la lutte collective.
Ça, on a pu le mesurer en 2003/2004 quand nous avons bataillé (avec d'autres) sur l'affaire des Recalculés de l'Assédic : 800.000 chômeurs étaient concernés. Grâce à notre action, 800.000 chômeurs ont retrouvé leurs droits (2 milliards d'euros débloqués par l'État). Au final, chez nous (comme chez les autres), des caisses vides et l'impossibilité (financière) d'engager d'autres actions, d'autres luttes d'envergure.
La plupart des associations de chômeurs/précaires (toutes !!!) disposent de budgets insignifiants, à peine supérieurs à ceux de petites associations de quartier ou d'un club de boulistes !
Là se situe le grand paradoxe de notre engagement : Des sujets d'intérêt général, dans un contexte de chômage et de sous-emploi massif, mais des moyens financiers (et donc d'action) dérisoires.
Pour établir un parallèle que beaucoup considéreront ici "hasardeux" (je l'assume !!!), les associations d'accueil et d'accompagnement des migrants bénéficient de moyens sans commune mesure avec ceux des associations de défense des droits des chômeurs & précaire. On est sur une échelle de 1 à 1.000. Voilà qui donne la mesure et fixe le cadre de notre… impuissance.
J'arrête de pleurnicher (ce n'est pas dans mon tempérament ni ma préoccupation - depuis le temps j'ai compris !). Mon constat est tout simplement la réalité. Raison pour laquelle j'estime, après 13 ans d'engagement militant, que nous avons le sort que nous méritons et qu'à moins d'un "miracle", la bataille - sur le fond - est PERDUE.
Si beaucoup de chômeurs et précaires sont dans la galère (ce qui limite considérablement ou totalement leurs capacités d'action), beaucoup sont dans des situations plus favorables à l'engagement. Parce qu'ils ont du temps, encore des sous et souvent des compétences.
Comme l'a démontré récemment Roroc (dans l'affaire "taxation illégale RSA"), pas besoin non plus d'être un cador blindé de thunes et de conseillers juridiques pour se faire entendre et respecter. Il faut avant tout être persévérant, courageux et déterminé.
Depuis 13 ans que nous existons, nous avons constaté que la lutte paie parce qu'elle redonne (souvent) confiance en soi.
++++++
Nous déplorons ici l'atomisation des associations de défense des Droits des Chômeurs et Précaires (que nous connaissons toutes). Un éparpillement qui correspond à celui qui fractionne les mouvances de gauche : NPA, LO, Parti de Gauche, PC… incapables de s'unir pour constituer une vraie force politique.
Actuchomage en est l'illustration. Nous avons mis cet outil (notre site qui était à l'avant-garde en 2004) au service des mouvements militants qui ne s'en sont jamais vraiment servis (alors que nous les fréquentons tous).
Chacun semble préserver son petit pré carré au détriment de l'action collective (qui se manifeste parfois). Depuis 2004, nous avons tout tenté pour agréger ces forces, sans grand succès reconnaissons-le. Nous relayons (et encourageons) toujours les actions des autres qui ne s'intéressent guère à ce que nous entreprenons. Nous nous sommes faits une raison.
++++++++
Enfin, notre association survit avec "3 francs 6 sous" alors que depuis 2004, des milliers de personnes y ont trouvé réponses, conseils, soutiens… sans se poser la question de savoir : Et moi, qu'est-ce que je fais en retour pour cette association ?
Un chèque de 5 euros une fois de temps en temps, même pour un galérien, ce n'est pas la mer à boire et ça participe à la lutte collective.
Ça, on a pu le mesurer en 2003/2004 quand nous avons bataillé (avec d'autres) sur l'affaire des Recalculés de l'Assédic : 800.000 chômeurs étaient concernés. Grâce à notre action, 800.000 chômeurs ont retrouvé leurs droits (2 milliards d'euros débloqués par l'État). Au final, chez nous (comme chez les autres), des caisses vides et l'impossibilité (financière) d'engager d'autres actions, d'autres luttes d'envergure.
La plupart des associations de chômeurs/précaires (toutes !!!) disposent de budgets insignifiants, à peine supérieurs à ceux de petites associations de quartier ou d'un club de boulistes !
Là se situe le grand paradoxe de notre engagement : Des sujets d'intérêt général, dans un contexte de chômage et de sous-emploi massif, mais des moyens financiers (et donc d'action) dérisoires.
Pour établir un parallèle que beaucoup considéreront ici "hasardeux" (je l'assume !!!), les associations d'accueil et d'accompagnement des migrants bénéficient de moyens sans commune mesure avec ceux des associations de défense des droits des chômeurs & précaire. On est sur une échelle de 1 à 1.000. Voilà qui donne la mesure et fixe le cadre de notre… impuissance.
J'arrête de pleurnicher (ce n'est pas dans mon tempérament ni ma préoccupation - depuis le temps j'ai compris !). Mon constat est tout simplement la réalité. Raison pour laquelle j'estime, après 13 ans d'engagement militant, que nous avons le sort que nous méritons et qu'à moins d'un "miracle", la bataille - sur le fond - est PERDUE.
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Cafcata
Re: La France profonde d'en bas va mal
je suis assez d'accord sur (presque) tout
c'est perdu entre autre parce que l'air du temps,on le voit en cette période pré-présidentielles,est soit à une gouvernance technocratique "éclairée",en gros les candidats qui feront la politique de Bruxelles,ou le peuple n'a qu'à fermer sa gueule,soit au césarisme,la recherche d'un leader providentiel qui conduira le pays vers sa splendeur..passée...
les partis qui prônent un engagement et une réappropriation de la politique pas le citoyen sont ultra-minoritaires.
Je pense comme le disait très justement un intervenant sur une autre file que si la droite repasse,on s'achemine gentiment vers la suppression du RSA pour qui possédera 4 sous devant de lui...
Perso,tant de connerie ça me fout le bourdon...
c'est perdu entre autre parce que l'air du temps,on le voit en cette période pré-présidentielles,est soit à une gouvernance technocratique "éclairée",en gros les candidats qui feront la politique de Bruxelles,ou le peuple n'a qu'à fermer sa gueule,soit au césarisme,la recherche d'un leader providentiel qui conduira le pays vers sa splendeur..passée...
les partis qui prônent un engagement et une réappropriation de la politique pas le citoyen sont ultra-minoritaires.
Je pense comme le disait très justement un intervenant sur une autre file que si la droite repasse,on s'achemine gentiment vers la suppression du RSA pour qui possédera 4 sous devant de lui...
Perso,tant de connerie ça me fout le bourdon...
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jaoaliber
Re: La France profonde d'en bas va mal
Si le combat se perd, il n'est pas encore perdu puisque ça ne fait que commencer.La force du salariat est encore forte et transforme les chômeurs en demandeurs d'emploi salarié.La première victoire idéologique des chômeurs sera de se débarrasser de cette idéologie de la société dominante.Car dans le jeu du salariat,il y aura toujours du chômage !
Classe salarié et classe chômeuse sont en conflits irréductibles, radicales.La condition d'existence de la première est la condition du retrait de la seconde de la production, sa condamnation à mort économique.En plus, la classe salariée est l'armée de la classe capitaliste dirigée contre la classe chômeuse et précaire.Au point que lorsque le taux de chômage baisse, elle crie victoire; lorsque le taux de chômage est au dessous de 5%, elle fête au "plein emploi".
Voilà donc la réalité,il y a une véritable guerre dissimulée, ininterrompue entre la société capitaliste-salarié et la classe chômeuse -précaire et qui ne trouvera son issue finale que dans une guerre ouverte qui transformera radicalement les structures économiques de la société actuelle.
Actuellement le rapport de force est du côté des salariés, ils sont majoritaires, ils se croient éternels, ils se croient la norme.Mais ce rapport de force s'inversera: la croissance économique est en baisse(sur une longue période) et le taux de chômage est en hausse(1970 2%, aujourd'hui presque 20%).Le fait que les chômeurs soient majoritaires dans l'avenir est inévitable, leur victoire sur le salariat est inéluctable.
C'est pour ces raisons que si le combat se perd, il n'est pas encore perdu puisque ça ne fait que commencer.
Classe salarié et classe chômeuse sont en conflits irréductibles, radicales.La condition d'existence de la première est la condition du retrait de la seconde de la production, sa condamnation à mort économique.En plus, la classe salariée est l'armée de la classe capitaliste dirigée contre la classe chômeuse et précaire.Au point que lorsque le taux de chômage baisse, elle crie victoire; lorsque le taux de chômage est au dessous de 5%, elle fête au "plein emploi".
Voilà donc la réalité,il y a une véritable guerre dissimulée, ininterrompue entre la société capitaliste-salarié et la classe chômeuse -précaire et qui ne trouvera son issue finale que dans une guerre ouverte qui transformera radicalement les structures économiques de la société actuelle.
Actuellement le rapport de force est du côté des salariés, ils sont majoritaires, ils se croient éternels, ils se croient la norme.Mais ce rapport de force s'inversera: la croissance économique est en baisse(sur une longue période) et le taux de chômage est en hausse(1970 2%, aujourd'hui presque 20%).Le fait que les chômeurs soient majoritaires dans l'avenir est inévitable, leur victoire sur le salariat est inéluctable.
C'est pour ces raisons que si le combat se perd, il n'est pas encore perdu puisque ça ne fait que commencer.
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libellule
Re: La France profonde d'en bas va mal
Que se passe-t-il dans les pays à fort chômage, je ne parle pas des pays africains, mais des pays européens grèce espagne ?jaoaliber a écrit :
Actuellement le rapport de force est du côté des salariés, ils sont majoritaires, ils se croient éternels, ils se croient la norme.Mais ce rapport de force s'inversera: la croissance économique est en baisse(sur une longue période) et le taux de chômage est en hausse(1970 2%, aujourd'hui presque 20%).Le fait que les chômeurs soient majoritaires dans l'avenir est inévitable, leur victoire sur le salariat est inéluctable.
C'est pour ces raisons que si le combat se perd, il n'est pas encore perdu puisque ça ne fait que commencer.
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cybernew
Re: La France profonde d'en bas va mal
bonjourQue se passe-t-il dans les pays à fort chômage, je ne parle pas des pays africains, mais des pays européens grèce espagne ?
A mon avis le taux de suicide et de pauvreté a du grimper en fléchè
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Statovore
Re: La France profonde d'en bas va mal
Tant que ça ne tourne pas à l'attentat suicide, nos dirigeants n'ont rien à craindre donc ne changeront rien...cybernew a écrit :A mon avis le taux de suicide et de pauvreté a du grimper en flèche