Le principe, très simple, consiste à proposer que des chômeurs (qui fichent rien de leurs journées hormis déprimer et pleurnicher) d'aller grossir les rangs de travailleurs en colère qui manifesteront à l'occasion.
Promis, disent les syndicats et fédérations, c'est l'histoire de 3 ou 4 heures pas plus; après on (nous, les chômeurs) pourra rentrer et se mettre devant la télé en attendant, l'ARE, l'ASS ou encore le RSA.
Sinon, agriculteurs, taximans, médecins, chauffeurs routiers et bien d'autres ont dit qu'ils verraient si ils soutiennent à leur tour les chômeurs. Faudra juste que ça tombe pas un des nombreux jours de fête, de vacance et de récup qu'il y a tout au long de l'année.

