C'est pour bientôt.
C'est pour bientôt.
Bonjour à tous,
Tout d'abord, excusez moi si je suis dans une partie inappropriée, il m'a semblé que c'était la plus judicieuse.
Etant donné que la finesse, ce n'est pas trop mon truc, allons-y cash : je vais bientôt être au chômage et ça me démoralise complètement. Pour remettre un cadre rapidement, je suis un oenologue débutant en Champagne. On m'a offert un CDI que j'ai accepté l'année dernière. Tout allait bien mais la pression de mon patron était très forte, son exigence très élevée et sous le stress, les petites erreurs se sont accumulées. Au final, ça s'est soldé par un licenciement à l'amiable qui prend effet bientôt. J'avais décidé de ne pas me laisser aller, mais moralement, j'ai énormément de mal à tenir le coup. Je n'ai aucune motivation à travailler les quelques jours qui me restent, et mes premières recherches n'ont même pas abouti sur des entretiens. C'est un vrai coup de massue, et honnêtement, l'empathie familiale et amicale est très difficile à supporter.
Voilà, j'avais besoin d'en parler, et surtout, de faire appel aux gens afin de savoir ce qu'ils font/ont fait lors de cette période...
A une prochaine
Tout d'abord, excusez moi si je suis dans une partie inappropriée, il m'a semblé que c'était la plus judicieuse.
Etant donné que la finesse, ce n'est pas trop mon truc, allons-y cash : je vais bientôt être au chômage et ça me démoralise complètement. Pour remettre un cadre rapidement, je suis un oenologue débutant en Champagne. On m'a offert un CDI que j'ai accepté l'année dernière. Tout allait bien mais la pression de mon patron était très forte, son exigence très élevée et sous le stress, les petites erreurs se sont accumulées. Au final, ça s'est soldé par un licenciement à l'amiable qui prend effet bientôt. J'avais décidé de ne pas me laisser aller, mais moralement, j'ai énormément de mal à tenir le coup. Je n'ai aucune motivation à travailler les quelques jours qui me restent, et mes premières recherches n'ont même pas abouti sur des entretiens. C'est un vrai coup de massue, et honnêtement, l'empathie familiale et amicale est très difficile à supporter.
Voilà, j'avais besoin d'en parler, et surtout, de faire appel aux gens afin de savoir ce qu'ils font/ont fait lors de cette période...
A une prochaine
Re: C'est pour bientôt.
Je n'ai pas vécu de licenciement alors je ne peux en parler. J'ai seulement vécu la fin de CDD longs et j'ai ressenti aussi ce vide, cette impression que tout le travail que j'avais fait le mieux possible n'était finalement pas reconnu puisqu'on ne me gardait pas.
En lisant ce que vous exposez j'ai une remarque : si vous en arrivez à commettre des petites erreurs à force de stress c'est que votre patron n'est pas très fin : quand on a un débutant, si on veut qu'il progresse et donne toute satisfaction, on a plus intérêt à l'encourager, à valoriser ce qu'il y a de bon chez lui.
Retrouver du travail n'est pas forcément facile, mais ne vous arrêtez pas aux premiers échecs, vous avez un métier pas fréquent et un an d'expérience, des entretiens vous en décrocherez.
En lisant ce que vous exposez j'ai une remarque : si vous en arrivez à commettre des petites erreurs à force de stress c'est que votre patron n'est pas très fin : quand on a un débutant, si on veut qu'il progresse et donne toute satisfaction, on a plus intérêt à l'encourager, à valoriser ce qu'il y a de bon chez lui.
Retrouver du travail n'est pas forcément facile, mais ne vous arrêtez pas aux premiers échecs, vous avez un métier pas fréquent et un an d'expérience, des entretiens vous en décrocherez.
Re: C'est pour bientôt.
Bon déjà, on peut me tutoyer si ça ne dérange personne, je préfère ^^
Ensuite, non, mon patron n'était pas vraiment quelqu'un de très fin, et les responsabilités étaient envahissantes pour un débutant. Mais c'était une PME donc pas le choix.
Pour ce qui est de l'emploi, ce n'est pas très fréquent, mais le marché est complètement bouché, d'où mes angoisses actuelles. Car oui, on peut définitivement parler d'angoisses quand on rêve boulot la nuit. Et difficile de se motiver quand on se dit qu'on a déjà fait une journée complète pendant le sommeil ^^
Ensuite, non, mon patron n'était pas vraiment quelqu'un de très fin, et les responsabilités étaient envahissantes pour un débutant. Mais c'était une PME donc pas le choix.
Pour ce qui est de l'emploi, ce n'est pas très fréquent, mais le marché est complètement bouché, d'où mes angoisses actuelles. Car oui, on peut définitivement parler d'angoisses quand on rêve boulot la nuit. Et difficile de se motiver quand on se dit qu'on a déjà fait une journée complète pendant le sommeil ^^
Re: C'est pour bientôt.
Bonjour Lykran
Ce que tu ressens, je l'ai ressenti aussi, surtout la 1ère fois que j'ai été au chômage, c'est la plus terrible
puisque l'on n'a pas encore "expérimenté cette chose". Ensuite, si çà se reproduit, on apprend à relativiser.
La réponse de serabeth semble le confirmer et je la trouve excellente, très juste et intelligente.
Je souhaite juste ajouter qu'il ne faut pas rejeter l'empathie de tes proches et de tes amis. C'est une
attitude négative qui ne va t'aider à garder le moral et garder le moral c'est primordial. Que se passe-t-il quand on perd
le moral ? Eh bien on finit par s'isoler et on s'enfonce. Cà peut aller très loin : as-tu lu sur ce site "hommage à Gilles"
Gilles était un chômeur âgé de longue durée qui s'est totalement démoralisé et isolé, il a fini pas se suicider.
Tu n'est pas sdf et tes proches ou tes amis ne te font pas l'aumône, ils sont sincères et veulent t'aider à passer ce cap difficile,
ne les rejette pas, je me répète, c'est négatif pour toi - et pour eux aussi également. Tu me comprends bien ?
Est-ce que ton agence PE organise des réunions de groupes de parole où chacun peut échanger ses expériences ?
Et si me le permets, c'est bien amicalement et très sincèrement que je te souhaite bonne chance.
Ce que tu ressens, je l'ai ressenti aussi, surtout la 1ère fois que j'ai été au chômage, c'est la plus terrible
puisque l'on n'a pas encore "expérimenté cette chose". Ensuite, si çà se reproduit, on apprend à relativiser.
La réponse de serabeth semble le confirmer et je la trouve excellente, très juste et intelligente.
Je souhaite juste ajouter qu'il ne faut pas rejeter l'empathie de tes proches et de tes amis. C'est une
attitude négative qui ne va t'aider à garder le moral et garder le moral c'est primordial. Que se passe-t-il quand on perd
le moral ? Eh bien on finit par s'isoler et on s'enfonce. Cà peut aller très loin : as-tu lu sur ce site "hommage à Gilles"
Gilles était un chômeur âgé de longue durée qui s'est totalement démoralisé et isolé, il a fini pas se suicider.
Tu n'est pas sdf et tes proches ou tes amis ne te font pas l'aumône, ils sont sincères et veulent t'aider à passer ce cap difficile,
ne les rejette pas, je me répète, c'est négatif pour toi - et pour eux aussi également. Tu me comprends bien ?
Est-ce que ton agence PE organise des réunions de groupes de parole où chacun peut échanger ses expériences ?
Et si me le permets, c'est bien amicalement et très sincèrement que je te souhaite bonne chance.
Re: C'est pour bientôt.
Oui, la pitié, la condescendance, le faux apitoiement sont pénibles à supporter.
Si vous appelez empathie ce que vos amis et votre famille vous témoignent c'est que vous sentez qu'ils ressentent le même désarroi que vous. C'est déjà beaucoup.
Ensuite il faut que vous aussi vous ne soyez pas dur avec vous-même, quand on débute on fait forcément des erreurs, on n'est pas au maximum de ses capacités. Sinon le patron paierait logiquement le même salaire quelle que soit l'ancienneté dans le métier.
J'imagine bien que les débouchés ne sont pas énormes mais les candidats ne sont pas des milliers non plus. Quand on a un vrai métier les embauches se font sûrement plus par les candidatures spontanées, le réseau (les anciens élèves, les Ecoles, l'Université) que par les annonces de Pôle emploi (quelques annonces sérieuses noyées dans un flot d'annonces de merde, en double, fausses, périmées depuis 1 mois etc)
Si vous appelez empathie ce que vos amis et votre famille vous témoignent c'est que vous sentez qu'ils ressentent le même désarroi que vous. C'est déjà beaucoup.
Ensuite il faut que vous aussi vous ne soyez pas dur avec vous-même, quand on débute on fait forcément des erreurs, on n'est pas au maximum de ses capacités. Sinon le patron paierait logiquement le même salaire quelle que soit l'ancienneté dans le métier.

J'imagine bien que les débouchés ne sont pas énormes mais les candidats ne sont pas des milliers non plus. Quand on a un vrai métier les embauches se font sûrement plus par les candidatures spontanées, le réseau (les anciens élèves, les Ecoles, l'Université) que par les annonces de Pôle emploi (quelques annonces sérieuses noyées dans un flot d'annonces de merde, en double, fausses, périmées depuis 1 mois etc)
Re: C'est pour bientôt.
Allez, je l'avoue, le plus dérangeant c'est d'entendre ma mère "prier pour que Dieu m'aide"
Y'a un CDI au paradis ?
Bref, pour le moment, c'est vrai que c'est plutôt l'abattement qui prime, surtout quand on doit aller au boulot dont on sait qu'on a été licencié. En dehors de ça, la famille et les amis étant plutôt loin, je suppose qu'il faut garder des activités en plein air, pour ne pas rester cloîtré chez soi ? Parce que pour le moment Pole Emploi ne veut pas entendre parler de moi tant que je suis en préavis.

Bref, pour le moment, c'est vrai que c'est plutôt l'abattement qui prime, surtout quand on doit aller au boulot dont on sait qu'on a été licencié. En dehors de ça, la famille et les amis étant plutôt loin, je suppose qu'il faut garder des activités en plein air, pour ne pas rester cloîtré chez soi ? Parce que pour le moment Pole Emploi ne veut pas entendre parler de moi tant que je suis en préavis.
Re: C'est pour bientôt.
Comment te répondre de manière assez concise mais précise ?
La première fois que j'ai subi un licenciement, il était économique, et c'était après 10 ans de carrière, dont 5 dans la boîte qui m'a foutu à la porte. C'était en 2010... la crise financière était passée par là. Pendant les quelques mois (un peu avant...un peu après) qui ont entouré ce licenciement j'ai gardé un moral d'acier et la niaque. Mon employeur a commis quelques irrégularités dans la forme. Je ne l'ai pas lâché, me suis plongée dans le Code du travail et lui ai fait craché ce qu'il me devait. C'est bien plus tard que le vide s'est emparé de moi. Quand j'ai pris conscience, vraiment, de ce qui m'arrivait. J'ai eu un sentiment immense d'injustice et de gâchis. J'aimais mon boulot et j'étais douée. J'ai plongé dans la déprime. Ca a duré. Un temps certain. Longtemps en vérité.
En fait, en l'écrivant je me rends compte que mon cas ne colle pas au tien et que mon expérience ne va pas forcément t'éclairer... du moins pas celle-ci...enfin pas à ce moment là.
Ce que je peux te dire c'est qu'une fois sortie de cette déprime qui m'a collé aux basques pendant plusieurs mois, j'ai repris du poil de la bête. J'ai fait quelques petits boulots, par ci, pas là, en CDD, à temps partiel et courts le plus souvent, sur des postes sous-qualifiés par rapport à mon niveau d'expérience et de formation ; et je l'ai fait par choix, parce que j'avais trouvé une nouvelle raison de vivre qui n'était plus mon boulot (avant cette descente aux enfers mon boulot c'était ma vie ou presque, j'y trouvais toute une reconnaissance sociale, moi la fille d'ouvrier, toute une reconnaissance tout court, moi qui avais travaillé dur pour en arriver là). Cette raison de vivre : les livres, la connaissance. Je me suis mise à dévorer. Livres, magazines. Philo, socio, histoire, romans, essais, poésie, théâtre... Tout y passait. Tous les sujets aussi. C'est la philo la première qui m'a aidé à retrouver l'envie de vivre. Elle a été une sorte de psychothérapie. Depuis, le travail n'est plus du tout au centre de mes préoccupations. Il est nécessaire parce que je dois payer le loyer et remplir le frigo. Mais ma réalisation personnelle je l'ai confiée à quelqu'un d'autre qu'à un boulot. Je l'ai confiée à la lecture et la connaissance du monde.
Je ne sais pas si tout ce que je te raconte t'aidera... mais je te souhaite de trouver ta voie, comme j'ai trouvé la mienne.
La première fois que j'ai subi un licenciement, il était économique, et c'était après 10 ans de carrière, dont 5 dans la boîte qui m'a foutu à la porte. C'était en 2010... la crise financière était passée par là. Pendant les quelques mois (un peu avant...un peu après) qui ont entouré ce licenciement j'ai gardé un moral d'acier et la niaque. Mon employeur a commis quelques irrégularités dans la forme. Je ne l'ai pas lâché, me suis plongée dans le Code du travail et lui ai fait craché ce qu'il me devait. C'est bien plus tard que le vide s'est emparé de moi. Quand j'ai pris conscience, vraiment, de ce qui m'arrivait. J'ai eu un sentiment immense d'injustice et de gâchis. J'aimais mon boulot et j'étais douée. J'ai plongé dans la déprime. Ca a duré. Un temps certain. Longtemps en vérité.
En fait, en l'écrivant je me rends compte que mon cas ne colle pas au tien et que mon expérience ne va pas forcément t'éclairer... du moins pas celle-ci...enfin pas à ce moment là.
Ce que je peux te dire c'est qu'une fois sortie de cette déprime qui m'a collé aux basques pendant plusieurs mois, j'ai repris du poil de la bête. J'ai fait quelques petits boulots, par ci, pas là, en CDD, à temps partiel et courts le plus souvent, sur des postes sous-qualifiés par rapport à mon niveau d'expérience et de formation ; et je l'ai fait par choix, parce que j'avais trouvé une nouvelle raison de vivre qui n'était plus mon boulot (avant cette descente aux enfers mon boulot c'était ma vie ou presque, j'y trouvais toute une reconnaissance sociale, moi la fille d'ouvrier, toute une reconnaissance tout court, moi qui avais travaillé dur pour en arriver là). Cette raison de vivre : les livres, la connaissance. Je me suis mise à dévorer. Livres, magazines. Philo, socio, histoire, romans, essais, poésie, théâtre... Tout y passait. Tous les sujets aussi. C'est la philo la première qui m'a aidé à retrouver l'envie de vivre. Elle a été une sorte de psychothérapie. Depuis, le travail n'est plus du tout au centre de mes préoccupations. Il est nécessaire parce que je dois payer le loyer et remplir le frigo. Mais ma réalisation personnelle je l'ai confiée à quelqu'un d'autre qu'à un boulot. Je l'ai confiée à la lecture et la connaissance du monde.
Je ne sais pas si tout ce que je te raconte t'aidera... mais je te souhaite de trouver ta voie, comme j'ai trouvé la mienne.
Re: C'est pour bientôt.
Je suis assez remontée contre Pôle emploi, l'institution, pas les conseillers qui font ce qu'ils peuvent avec pas de moyens.
Aussi je vous le dis n'attendez rien de Pôle emploi à part le calcul de vos allocations de chômage.
Pour ce qui est du cv il y a plein de conseils partout sur le net,
Pas la peine d'attendre d'être inscrit, ni qu'on vous colle dans une prestation nulle, où l'intervenant ne saura rien de votre secteur ni de votre métier et vous fera faire un CV de démarcheur en aspirateurs.
Et, si les moocs vous branchent, PE a créé des moocs : par ex un mooc avec PE qui prend un mois à raison de 2 à 3 heures par semaine pour apprendre à faire un CV et une lettre de motivation. Mais faut pas être pressé : le prochain c'est...en mai 2015...
premier contact avec la réactivité, la simplicité, l'actualité de Pôle emploi...
Ne perdez pas votre temps, ça vous pompe l'énergie, faites des candidatures spontanées, recontactez vos collègues.
Et, oui, allez vous balader, faites des rencontres autour des vignes, faites-vous connaître.
Il paraît qu'on cherche des œnologues avec des qualités de communication et de commerce.
Aussi je vous le dis n'attendez rien de Pôle emploi à part le calcul de vos allocations de chômage.
Pour ce qui est du cv il y a plein de conseils partout sur le net,
Pas la peine d'attendre d'être inscrit, ni qu'on vous colle dans une prestation nulle, où l'intervenant ne saura rien de votre secteur ni de votre métier et vous fera faire un CV de démarcheur en aspirateurs.
Et, si les moocs vous branchent, PE a créé des moocs : par ex un mooc avec PE qui prend un mois à raison de 2 à 3 heures par semaine pour apprendre à faire un CV et une lettre de motivation. Mais faut pas être pressé : le prochain c'est...en mai 2015...


Ne perdez pas votre temps, ça vous pompe l'énergie, faites des candidatures spontanées, recontactez vos collègues.
Et, oui, allez vous balader, faites des rencontres autour des vignes, faites-vous connaître.
Il paraît qu'on cherche des œnologues avec des qualités de communication et de commerce.
Re: C'est pour bientôt.
+1 Serabeth. Je me reconnais dans ce que tu dis:
certains conseillers largués qui se contredisent
certains conseillers vulgaires, qui utilisent des mots grossiers à ton encontre (et passibles de dépôt de plainte: A BON ENTENDEUR).
les méthodes infantilisantes (refaire son C.V avec des agences de bras cassés déconnectés de la réalité du marché, avoir un consultant neuneu dont tu t'amuses à dénoncer les contradictions, rencontrer des agences qui BAFFOUENT les Lois notamment le salaire de référence: sauf que quand tu signes leur torche******, tu renonces à tes droits..
Quand je raconte les anecdotes de la recherche d'emploi autour de moi, beaucoup sont effrayés: mon témoignage basé sur des FAITS montre le VRAI VISAGE de ces marques, de ces enseignes qui trustent les spots télé sans parler de pire emploi.
c'est la merdia réalité
la vrai vie est ailleurs: ce système est absurde et broie les individus qui n'ont rien fait, commis aucun crime et qu'on exclue d'une société vantant la "démocratie"
Belle démocratie qui consiste à re-balancer les mêmes poli-tocards maintes fois condamnés. Eux leur casier c'est leur C.V: plus il est long, plus ils sont payés à rien foutre.
A contrario un demandeur d'emploi sans casier est suspect.
Encore plus s'il est vierge de tout reproche.
Et si vous avez attaqué votre employeur comme dans le précédent message, même innocent vous êtes coupable.
quand une société vante le mal, la triche, le détournement de fonds, le cumul d'intérêts, l'abus de biens sociaux: elle se casse la gueule.
Bref pensez à vous, et défendez vos droits: battez vous.
certains conseillers largués qui se contredisent
certains conseillers vulgaires, qui utilisent des mots grossiers à ton encontre (et passibles de dépôt de plainte: A BON ENTENDEUR).
les méthodes infantilisantes (refaire son C.V avec des agences de bras cassés déconnectés de la réalité du marché, avoir un consultant neuneu dont tu t'amuses à dénoncer les contradictions, rencontrer des agences qui BAFFOUENT les Lois notamment le salaire de référence: sauf que quand tu signes leur torche******, tu renonces à tes droits..
Quand je raconte les anecdotes de la recherche d'emploi autour de moi, beaucoup sont effrayés: mon témoignage basé sur des FAITS montre le VRAI VISAGE de ces marques, de ces enseignes qui trustent les spots télé sans parler de pire emploi.
c'est la merdia réalité
la vrai vie est ailleurs: ce système est absurde et broie les individus qui n'ont rien fait, commis aucun crime et qu'on exclue d'une société vantant la "démocratie"

Belle démocratie qui consiste à re-balancer les mêmes poli-tocards maintes fois condamnés. Eux leur casier c'est leur C.V: plus il est long, plus ils sont payés à rien foutre.
A contrario un demandeur d'emploi sans casier est suspect.

Encore plus s'il est vierge de tout reproche.

Et si vous avez attaqué votre employeur comme dans le précédent message, même innocent vous êtes coupable.

quand une société vante le mal, la triche, le détournement de fonds, le cumul d'intérêts, l'abus de biens sociaux: elle se casse la gueule.
Bref pensez à vous, et défendez vos droits: battez vous.

Re: C'est pour bientôt.
dernière chose les MOOCS ne servent pas à grand chose, il vaut mieux éviter d'empiler des formations sans lien sous peine d'avoir un inventaire à la Prévert///
et les CVs les boites ne les lisent pas.
Faites ce test: candidatez en modifiant votre prénom avec une GROSS FOTE.
Et vous verrez dans qq mois arriver dans votre boite aux lettres de prospectus avec cette GROSS FOTE à votre prénom.
Chez le chômeur, c'est comme le snipper seule l'adresse compte !!

et les CVs les boites ne les lisent pas.
Faites ce test: candidatez en modifiant votre prénom avec une GROSS FOTE.
Et vous verrez dans qq mois arriver dans votre boite aux lettres de prospectus avec cette GROSS FOTE à votre prénom.
Chez le chômeur, c'est comme le snipper seule l'adresse compte !!

Re: C'est pour bientôt.
Ou en Lozère ?libellule a écrit :Peut-être que tu pourrais trouver du travail en Asie ?

Tu as un métier peu courant, demande-toi déjà si ce métier correspond à une passion pour toi et si tu es sûr d'être un bon dans ton job... Sinon tu es jeune, tu peux en profiter pour faire autre chose.
Le chômage n'est pas une maladie honteuse, on peut très bien vivre avec.
Re: C'est pour bientôt.
Lykran a écrit : je vais bientôt être au chômage et ça me démoralise complètement.
Le plus démoralisant, risque d'être quand tu chercheras , et que tu ne trouveras rien au fil des mois ...si ça devenait le cas...
Il faut t'accrocher, et tout tenter, mais si tu vois que les rochers ne sont pas suffisamment solides et que tu te casses la gueule à chaque fois, il faut se laisser emporter et relativiser autrement sachant que la chance peut tomber à tout moment ! Ca sert à rien de culpabiliser et de se dire que tout est fichu. Ce qui est fichu c'est notre économie générale dont on dépend et dont on y est pour rien... le temps finira bien par arranger les choses.
Re: C'est pour bientôt.
J'espère que tu es déjà en train de chercher des offres parce qu'il est plus facile de trouver un travail lorsque l'on est en poste. On peut toujours jouer sur le fait que l'on cherche un travail plus proche de chez soi ou un autre motif qui ne ferais pas peur à l'employeur ...
Lorsque tu es au chômage, les employeurs ont tendance à croire qu'on t'a éjecté et vu que l'on jette seulement les moins utiles/performant et si cela dure trop longtemps, tu deviens inemployable.
Lorsque tu es au chômage, les employeurs ont tendance à croire qu'on t'a éjecté et vu que l'on jette seulement les moins utiles/performant et si cela dure trop longtemps, tu deviens inemployable.
Dernière modification par Statovore le 05 oct. 2015, modifié 1 fois.
Re: C'est pour bientôt.
Je lis beaucoup d'expériences différentes, mais je vois surtout que ce qui ressort c'est "Le travail ce n'est pas la vie"". C'est sûrement ma première erreur d'ailleurs, j'ai beaucoup (beaucoup) travaillé pour un salaire d'ouvrier. Je faisais des horaires et du travail de cadre. Pas forcément pour des clopinettes mais sans reconnaissance. Du coup, oui, je cherche (j'ai envoyé un paquet de candidatures). Je rebondis sur certaines petites choses :
L'Asie ne m'intéresse pas plus que ça, je serais plutôt Nouvelle Zélande et Australie... Anglais oblige.
Le métier qui me plait c'est vraiment oenologue. Au sens strict. C'est à dire que m'occuper du vin me fait vraiment plaisir, c'est réellement une passion.
Et enfin, je n'attendais rien de PE mais vu vos réactions je crois que j'ai raison
L'Asie ne m'intéresse pas plus que ça, je serais plutôt Nouvelle Zélande et Australie... Anglais oblige.
Le métier qui me plait c'est vraiment oenologue. Au sens strict. C'est à dire que m'occuper du vin me fait vraiment plaisir, c'est réellement une passion.
Et enfin, je n'attendais rien de PE mais vu vos réactions je crois que j'ai raison
