Marylise Lebranchu a éteint le début d'incendie provoqué par Emmanuel Macron. Le statut des fonctionnaires, on n'y touche pas. Emmanuel Macron a joué les incendiaires en affirmant que le statut des fonctionnaires devait être réformé. Tout de suite, François Hollande et Manuel Valls l'ont repris. Marylise Lebranchu a confié avoir échangé des SMS avec Emmanuel Macron qui a affirmé que nul ne lui avait demandé de lancer ce ballon.
moi je suis chômeur à vie ! mon statut ne changera pas dans les prochaines années, quelle misère !
il n'y a personne pour que en ASS j'ai 100 € de plus pour vivre on est tout seul !
Emploi à vie
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Invité
Re: Emploi à vie
On sait le statut de fonctionnaire appréciable en effet parce qu'il assure que l'employé garde son emploi ou, un emploi. Dans un contexte social et économique violent et dur, qui ne peut pas souhaiter qu'un individu jouisse d'une telle garantie quand on constate les traitements inhumains qui sont fait aux travailleurs dans le privé ainsi que l’acharnement du Système contre les populations. On pourrait voire, on devrait être content que des hommes et des femmes de la fonction publique, disposent d'un salaire assuré. Toutefois, autant nous autres (non-fonctionnaires) pouvons nous montrer de la sorte ''solidaires'' quant à cette disposition très avantageuse octroyée à ces travailleurs ''privilégiés''; autant eux, en retour, si on ne peut pas dire qu'ils se fichent qu'on subisse, au moins par lâcheté et une forme d'aveu sous-jacente (qu'ils n'ont sont pas être défendeurs de notre cause à nos côtés), démontrent parfaitement qu'on ne peut pas compter sur eux pour le combat contre les injustices. Très clairement, si vous ne l'aviez pas encore compris, voici ce vous disent les fonctionnaires : ''Démerdez-vous tous seuls mes braves !''. Et c'est à ce point que je prends le pari, si demain devait se produire en France la plus vaste campagne de protestation des chômeurs et des travailleurs du privé, las d'être des victimes et appelant ceux de la fonction publique (dons ses milliers de petites mains) à les rejoindre, rares seraient ces travailleurs appelés aussi des planqués qui oseraient effectivement venir en soutien pour forcer le passage; misérables et hypocrites.
Aussi, et je sais que tantôt, en effet, le gouvernement en viendra forcément à rogner sur de plus en plus d'avantages des fonctionnaires, en particulier ceux des étages inférieurs de la grosse fusée. Pas tellement parce qu'il n'y a plus d'argent dans la caisse ou encore, soi-disant, parce que l'Etat veut réduire les emprunts bancaires; vrais faux prétextes qui ne trompent plus grand monde à présent. Mais parce que justement, ces vrais faux prétextes se voient tellement comme le nez au milieu de la figure, notamment grâce aux nombreuses révélations portant sur les connivences entre les Etats et les banques, qu'en fin de compte, pour donner un semblant de vérité à ces mensonges, notre ''bon'' Président, nos ''chers'' ministres ainsi que les ''louables'' députés et sénateurs n'auront d'autre choix que commencer à attaquer celles et ceux qui sont à leur service.
Pour tout vous dire, j'attends avec impatience ce moment là et croyez moi que je saurai me rappeler aux bons souvenirs des fonctionnaires qui, encore à ce jour, nous regardent avec distance. Ils sauront ce que signifie : ''Démerdez-vous tous seuls mes braves !''.
Aussi, et je sais que tantôt, en effet, le gouvernement en viendra forcément à rogner sur de plus en plus d'avantages des fonctionnaires, en particulier ceux des étages inférieurs de la grosse fusée. Pas tellement parce qu'il n'y a plus d'argent dans la caisse ou encore, soi-disant, parce que l'Etat veut réduire les emprunts bancaires; vrais faux prétextes qui ne trompent plus grand monde à présent. Mais parce que justement, ces vrais faux prétextes se voient tellement comme le nez au milieu de la figure, notamment grâce aux nombreuses révélations portant sur les connivences entre les Etats et les banques, qu'en fin de compte, pour donner un semblant de vérité à ces mensonges, notre ''bon'' Président, nos ''chers'' ministres ainsi que les ''louables'' députés et sénateurs n'auront d'autre choix que commencer à attaquer celles et ceux qui sont à leur service.
Pour tout vous dire, j'attends avec impatience ce moment là et croyez moi que je saurai me rappeler aux bons souvenirs des fonctionnaires qui, encore à ce jour, nous regardent avec distance. Ils sauront ce que signifie : ''Démerdez-vous tous seuls mes braves !''.
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Invité
Re: Emploi à vie
Tenez, regardez et écoutez !
http://www.francetvinfo.fr/replay-magaz ... 53767.html
Dit la voix off (10' 25'' - 10' 35'')
''...la dette française c'est une réserve disponible tout de suite en cas de coups durs car Paris rembourse toujours ses dettes et sait lever des impôts très vite si les caisses sont vides.''
Dit ce M. Kit JUCKES de la Société Générale (10' 36'' - 11' 03'')
''...c'est une dette sûre...les problèmes de crédit, les problèmes de risques de défauts,...c'est pas quelque chose qui inquiète l'investisseur...''
Et pour cause, notamment grâce aux nouvelles technologies (l'informatique, le langage binaire, les microprocesseurs et les puces-mémoires surpuissants, les data center etc...) c'est tellement plus facile de pianoter sur le clavier numérique d'un ordinateur n'importe quelle somme et d'en créditer n'importe quel compte, n'importe où dans le monde.
Pourtant, précise encore la voix off, M. DELAMARCHE, financier, n'achète plus de la dette française. Donc de lui qui ne fait pas confiance et de M. JUCKES qui au contraire n'a pas l'air inquiet, lequel a raison ?
D'où sort l'argent qui sert à l'Etat français à rembourser sa dette ? Ah mais oui, c'est vrai, j'oubliais ! Outre tous ces investisseurs étrangers, il y a tellement de l'argent de milliers de Mme et de M.BIGOT, charcutiers en France qui prêtent à l'Etat.
Voilà la forêt (de l'argent sorti de nulle part) qu'on essayera de dissimuler derrière l'arbre (la possible programmation du remodelage du statut du fonctionnaire) puisque ça devient tellement de plus en plus évident qu'on ne peut plus croire que les impôts, taxes etc..., soi-disant, arrivent à tout financer. Qu'il faudra, pour que la chose ne fasse pas grand bruit et scandale surtout, qu'on prétende la nécessité pour l'Etat de réduire encore ses dépenses et à présent, peut-être, qu'il doive licencier à son tour.
http://www.francetvinfo.fr/replay-magaz ... 53767.html
Dit la voix off (10' 25'' - 10' 35'')
''...la dette française c'est une réserve disponible tout de suite en cas de coups durs car Paris rembourse toujours ses dettes et sait lever des impôts très vite si les caisses sont vides.''
Dit ce M. Kit JUCKES de la Société Générale (10' 36'' - 11' 03'')
''...c'est une dette sûre...les problèmes de crédit, les problèmes de risques de défauts,...c'est pas quelque chose qui inquiète l'investisseur...''
Et pour cause, notamment grâce aux nouvelles technologies (l'informatique, le langage binaire, les microprocesseurs et les puces-mémoires surpuissants, les data center etc...) c'est tellement plus facile de pianoter sur le clavier numérique d'un ordinateur n'importe quelle somme et d'en créditer n'importe quel compte, n'importe où dans le monde.
Pourtant, précise encore la voix off, M. DELAMARCHE, financier, n'achète plus de la dette française. Donc de lui qui ne fait pas confiance et de M. JUCKES qui au contraire n'a pas l'air inquiet, lequel a raison ?
D'où sort l'argent qui sert à l'Etat français à rembourser sa dette ? Ah mais oui, c'est vrai, j'oubliais ! Outre tous ces investisseurs étrangers, il y a tellement de l'argent de milliers de Mme et de M.BIGOT, charcutiers en France qui prêtent à l'Etat.
Voilà la forêt (de l'argent sorti de nulle part) qu'on essayera de dissimuler derrière l'arbre (la possible programmation du remodelage du statut du fonctionnaire) puisque ça devient tellement de plus en plus évident qu'on ne peut plus croire que les impôts, taxes etc..., soi-disant, arrivent à tout financer. Qu'il faudra, pour que la chose ne fasse pas grand bruit et scandale surtout, qu'on prétende la nécessité pour l'Etat de réduire encore ses dépenses et à présent, peut-être, qu'il doive licencier à son tour.
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cestpasvrai
Re: Emploi à vie
C'est une violation du principe républicain d'égalité, pas au sens égalitariste, mais à celui d'une inégalité trop forte entre un emploi à vie et un emploi à l'heure (voire pas d'emploi), et ce que ça implique en terme de vie personnelle, familiale et sociale, de projets, de retraite, de psychisme, de santé, de liberté (que vaut-elle sans aucuns moyens ?), de dignité.Artho a écrit :On sait le statut de fonctionnaire appréciable en effet parce qu'il assure que l'employé garde son emploi ou, un emploi. Dans un contexte social et économique violent et dur, qui ne peut pas souhaiter qu'un individu jouisse d'une telle garantie quand on constate les traitements inhumains qui sont fait aux travailleurs dans le privé ainsi que l’acharnement du Système contre les populations.
C'est ce qui contribue à rendre, AMA, les discours politiques officiels invoquant l'égalité comme non crédibles.
Cela ressemble à un discours de façade à destination des masses, probablement pas à celui des milieux d'affaires qui anticipent avant que les ennuis ne soient rendus publics. Peut-on (encore) faire confiance à un banquier ?Artho a écrit :Dit ce M. Kit JUCKES de la Société Générale (10' 36'' - 11' 03'')
''...c'est une dette sûre...les problèmes de crédit, les problèmes de risques de défauts,...c'est pas quelque chose qui inquiète l'investisseur...''
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Invité
Re: Emploi à vie
D'où l'intérêt pour nous autres (sans emploi ou en ayant un mais sans garantie aucun de le conserver) de prendre nos distances :cestpasvrai a écrit :C'est une violation du principe républicain d'égalité, pas au sens égalitariste, mais à celui d'une inégalité...
- avec cette inégalité, cette tromperie en commençant à la contester de plus en plus,
- et avec les fonctionnaires eux-mêmes.
Quant aux financiers, en effet, il semble qu'ils disposent d'assez de supports mais de relations également et, complices de d'abjections qui plus est, qui leur apportent la bonne information au bon moment et, même si cela n'était pas fait, quand même, par la grâce du Saint Etat, s'en sortir tout juste avec quelques égratignures.