Sarko hospitalisé
Sarko hospitalisé
N'oubliez pas le masque anti-virus, c'est "le Figaro" :
http://www.lefigaro.fr/actualite-france ... laise-.php
http://www.lefigaro.fr/actualite-france ... laise-.php
Re: il était déjà "malade"
Si la grippe A est contagieuse, que dire du syndrome de Sarkozy ?
Je préfère que ce soit ce fou furieux qui aille en premier à l'hôpital à cause des conneries qu'il fait depuis deux ans (et que ça le calme ?) plutôt qu'il ne rende tous les Français malades et fous à cause de lui...

Quelle élégance, mon cher !
Je préfère que ce soit ce fou furieux qui aille en premier à l'hôpital à cause des conneries qu'il fait depuis deux ans (et que ça le calme ?) plutôt qu'il ne rende tous les Français malades et fous à cause de lui...

Quelle élégance, mon cher !

Re: Sarko hospitalisé
Si on inonde les premières pages quand il a un pet de travers une bouffée d'andropause, on n'a pas fini...
Je doute qu'il s'acquitte de sa poche des 16€/jour de pension. D'ailleurs, saviez-vous que lorsque vous retournez chez vous le WE entre deux séries d'examens, il faut tout de même les payer
Ensuite, l'entreprise hôpital vous laisse trainer s'il y a de la place, plusieurs jours entre deux examens. Vous avez à peine le temps de retirer votre manteau que le caissier arrive, alors qu'il est recommandé de ne pas avoir de chéquier sur soi et un minimum d'espèces.
Le tout est véridique
Je doute qu'il s'acquitte de sa poche des 16€/jour de pension. D'ailleurs, saviez-vous que lorsque vous retournez chez vous le WE entre deux séries d'examens, il faut tout de même les payer

Ensuite, l'entreprise hôpital vous laisse trainer s'il y a de la place, plusieurs jours entre deux examens. Vous avez à peine le temps de retirer votre manteau que le caissier arrive, alors qu'il est recommandé de ne pas avoir de chéquier sur soi et un minimum d'espèces.
Le tout est véridique

Re: Sarko hospitalisé
Un article rigolo sur Brave Patrie
http://bravepatrie.com/+Malaise-du-President-de-la,674+Depuis l’annonce d’une légère défaillance du chef de l’Etat, la plus grande confusion règne dans la capitale. Au moins une vingtaine de militants Bayroutistes auraient été vus aux abords du Palais Bourbon criant « Révolution orange » tandis que des affrontements sévères avaient lieu dans la rue de Solferino.
Apparemment c’est la décision sur l’itinéraire du cortège, devant se rendre au Val de Grace, qui oppose les militants socialistes : les Aubrystes proposant la ligne 83 tandis que les Vallais préféraient la ligne 10 (avec correspondance, certes mais c’est plus fiable que le bus).
Les invectives et les noms d’oiseaux fusent mais aucun mouvement ne semble s’amorcer.
Dans les quartiers de la Capitale, les touristes regagnent leur hôtel en baissant la tête, les serveurs deviennent aimables : c’est mauvais signe.
D’un coup l’atmosphère de la flamboyante ville lumière mue, comme si une chape de plomb recouvrait ses toits centenaires, un vide semble se créer.
Les courageux commerces ouverts en ce dimanche baissent peu à peu leurs rideaux, comme un dernier rempart vers le mal qui s’annonce.
Les forces de l’ordre sont désemparées, des contrôles ont lieu au hasard, à la tête du client, c’est inédit et déstabilisant tant le citoyen français est habitué à la courtoisie, l’amabilité et même le tact de ses représentant de la loi.
Apparemment, les larmes dans leurs yeux ne proviennent pas d’une erreur de manipulation de lacrymo, mais c’est bien la peine d’avoir un parent au seuil du grand Pardon qui provoque chez eux tant de tristesse. Et si un coup de tonfa s’en va te briser une cheville, sache que ce n’est rien face à la douleur de voir partir celui qui t’a vu grandir.
Nous avons peu d’éléments factuels à transmettre actuellement tant la situation est chaotique.
La mairie de Paris est injoignable, une barricade de vélib’ en interdit l’accès. Paris Plage est fermée, le site sera incendié demain.
Le Parlement doit se réunir en urgence (attention le slip de bain n’est pas autorisé).
Sinon Gérard Larcher à eu une érection monstrueuse.
C’est tous ce que nous pouvons vous dire actuellement.
Re: ils sont trop forts, chez Brave patrie




Je ne sais pas comment ils font pour inventer tout ça. Quel talent !
Re: Sarko hospitalisé
De toute façon, faire un jogging quand il fait pleine chaleur, c'est quand même un peu idiot...
Re: Sarko hospitalisé
Ouais
De plus, sa boite switch pour commuter au cerveau numéro deux devait être "off"
Un commentaire ce matin sur CSP "qu'il Clèves... aux frais de la Princesse"
Ca m'a fait rire, mais tu peux effacer Sophie.

De plus, sa boite switch pour commuter au cerveau numéro deux devait être "off"

Un commentaire ce matin sur CSP "qu'il Clèves... aux frais de la Princesse"
Ca m'a fait rire, mais tu peux effacer Sophie.
Re: c'est ça, les surhommes !
C'est comme Michel Berger en août 92 : il a fait du tennis en plein soleil et ça lui a fichu une crise cardiaque (45 balais). Pas très malin.
Re: Sarko hospitalisé
Extrait ...
Sociologue des médias et spécialiste de la communication politique, Denis Muzet, président de l'institut Médiascopie, revient sur le malaise présidentiel et le déferlement médiatique qu'il a suscité.
Pourquoi un tel déferlement médiatique
pour un simple malaise ?
L'hyperprésidence n'existe pas en soi, elle est le pendant de l'hypermédiatisation. Et ce qui est frappant, dans la façon dont les médias ont couvert l'accident de santé du Président, c'est qu'ils ont fondu sur l'événement comme la proie sur l'ombre. On peut parler, dans ce cas précis, d'emballement médiatique, au sens où, à un moment donné, la machine médiatique est victime d'une embardée, elle tourne sur elle-même comme une toupie qui n'arrive plus à s'arrêter. Le contexte bien sûr y est favorable : le ralentissement de l'actualité en ce début d'été, pas d'événement politique, mais un événement personnel, le malaise d'un homme, et pas n'importe lequel, le chef de l'Etat.
Ce qu'il s'est passé est autant révélateur de l'évolution de nos mœurs médiatiques que de nos mœurs politiques : la tentation qu'ont les médias de couvrir systématiquement tout fait qui touche à la vie de Nicolas Sarkozy et d'en faire un feuilleton, d'en faire trop, alors qu'il s'agit, probablement, d'un accident bénin et sans conséquence - l'avenir le dira.
Cette affaire a certes révélé l'état de santé du Président, mais aussi l'état de santé de notre système médiatique hypersollicité, qui fonctionne tous les jours en flux tendu dans un univers de compétition exacerbée, et qui peut être à tout moment victime, lui aussi, d'une syncope. Une syncope vagale médiatique en quelque sorte…
Sociologue des médias et spécialiste de la communication politique, Denis Muzet, président de l'institut Médiascopie, revient sur le malaise présidentiel et le déferlement médiatique qu'il a suscité.
Pourquoi un tel déferlement médiatique

L'hyperprésidence n'existe pas en soi, elle est le pendant de l'hypermédiatisation. Et ce qui est frappant, dans la façon dont les médias ont couvert l'accident de santé du Président, c'est qu'ils ont fondu sur l'événement comme la proie sur l'ombre. On peut parler, dans ce cas précis, d'emballement médiatique, au sens où, à un moment donné, la machine médiatique est victime d'une embardée, elle tourne sur elle-même comme une toupie qui n'arrive plus à s'arrêter. Le contexte bien sûr y est favorable : le ralentissement de l'actualité en ce début d'été, pas d'événement politique, mais un événement personnel, le malaise d'un homme, et pas n'importe lequel, le chef de l'Etat.
Ce qu'il s'est passé est autant révélateur de l'évolution de nos mœurs médiatiques que de nos mœurs politiques : la tentation qu'ont les médias de couvrir systématiquement tout fait qui touche à la vie de Nicolas Sarkozy et d'en faire un feuilleton, d'en faire trop, alors qu'il s'agit, probablement, d'un accident bénin et sans conséquence - l'avenir le dira.
Cette affaire a certes révélé l'état de santé du Président, mais aussi l'état de santé de notre système médiatique hypersollicité, qui fonctionne tous les jours en flux tendu dans un univers de compétition exacerbée, et qui peut être à tout moment victime, lui aussi, d'une syncope. Une syncope vagale médiatique en quelque sorte…
Re: Sarko hospitalisé
Bon, on résume : il a glissé sur une merde de chien, il a fallu un hélico pour le sortir de là, et il a réussi à niquer la première au tour de france.
Ca va, jai bon ???
Ca va, jai bon ???
Re: Sarko hospitalisé
GOOOOOOOOD 

Re: Sarko hospitalisé
Autre point de vue chez Drôle d'En-Droit :
Malaise dans la Constitution : l’empêchement du président de la République
..... la question essentielle, dans un Etat de droit et dans un système juridique qui privilégie la sécurité et la continuité juridiques : celle de l’empêchement du président de la République française.
Re: Sarko hospitalisé
Oui, ce brave homme, après être descendu du train sans emprunter la porte avait conscience de son état dépressif et avait démissionné quelques mois après son arrivée.Il s’agissait bien sûr de... Paul Deschanel qui, lui, eut la lucidité de démissionner. C’était en 1920 : autres temps, autres moeurs ?
La soupe devait être moins bonne...
Pourtant la dépression peut aussi en transcander d'autres comme Churchill (il l'appelait son chien noir) qui l'a poursuivi jusqu'à la fin de sa vie.
Bon, n'est pas Winston qui veut, même avec cigare
