Concerne les postes non pourvus
Publié : 31 déc. 2014
Je dis souvent que si les postes sont non pourvus, c'est la faute des employeurs qui ne connaissent pas leur métier de recruteur (je pense que le salaire est motivant, et un petit salaire démotivant, c'est le B.A. BA.).
En effet, un jeune va se former dans un métier en fonction de son envie, mais aussi des rémunérations mensuelles habituellement obtenues par ceux qui sont en poste, donc AUCUN JEUNE de 12 ans ne rêvera de faire une formation pour être serveuse de bar, plongeur ou aide ménagère, hôtesse de caisse pour avoir 600 euros par mois.
Je ne suis pas le seul à penser cela, ADECCO aussi.
Autre constat : les entreprises pleurent en chœur de ne pas trouver le profil correspondant à leur fiche de poste. Or l’étude cocktail Molotov du Lab’Ho révèle que 59 % des entreprises abandonnent la recherche du candidat idéal, un ou deux mois seulement après le début du recrutement ! « Une tendance néfaste, qui consiste à fantasmer le recrutement idéal plutôt que de se demander comment améliorer les compétences que l’on recrutera », commente Guillemette de Larquier, économiste et maître de conférences à Paris Ouest Nanterre La Défense qui a participé à l’étude.
lien http://actualites.cadremploi.fr/editori ... ombat.html
Je ne connais pas de poste bien payé, sans candidat en face. Et vous ?
En effet, un jeune va se former dans un métier en fonction de son envie, mais aussi des rémunérations mensuelles habituellement obtenues par ceux qui sont en poste, donc AUCUN JEUNE de 12 ans ne rêvera de faire une formation pour être serveuse de bar, plongeur ou aide ménagère, hôtesse de caisse pour avoir 600 euros par mois.
Je ne suis pas le seul à penser cela, ADECCO aussi.
Autre constat : les entreprises pleurent en chœur de ne pas trouver le profil correspondant à leur fiche de poste. Or l’étude cocktail Molotov du Lab’Ho révèle que 59 % des entreprises abandonnent la recherche du candidat idéal, un ou deux mois seulement après le début du recrutement ! « Une tendance néfaste, qui consiste à fantasmer le recrutement idéal plutôt que de se demander comment améliorer les compétences que l’on recrutera », commente Guillemette de Larquier, économiste et maître de conférences à Paris Ouest Nanterre La Défense qui a participé à l’étude.
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Je ne connais pas de poste bien payé, sans candidat en face. Et vous ?