http://www.01net.com/editorial/616322/i ... n-devoile/
Baxter, le robot qui voulait sauver les emplois made in USAL’objectif est de concevoir un robot capable d’aider au quotidien une personne en perte d’autonomie et de lui permettre de vivre chez elle le plus longtemps possible. « Romeo pourra tenir compagnie à la personne, surveiller son état, lui rappeler ses rendez-vous ou de prendre ses médicaments. Mais l'objectif est qu'il réussisse à apprendre ses habitudes pour anticiper ses besoins. Et lui proposer, par exemple, ses lunettes quand il verra s’installer devant le poste de télé », résume Rodolphe Gelin.
http://www.france24.com/fr/20120919-bax ... ation-pme/
Un robot de 18.000 euros signe l'arrêt de mort de l'ouvrierLa promesse de ce robot : permettre aux entreprises américaines de devenir plus compétitives face à leurs concurrentes basées dans des pays à faible coût de main d’œuvre. Elles n’auraient ainsi pas besoin de s’installer en Chine ou en Thaïlande et sauvegarderaient des emplois aux États-Unis.
...Baxter est censée dégager du temps aux ouvriers qu'ils se concentrent sur des tâches plus complexes et encore hors de portée du robot. Ce qui permettrait, au final, d’améliorer la qualité du produit.
Qui plus est, selon un rapport de février 2011 publié par l’International Federation of Robotics en Allemagne, le recours aux robots industriels pourraient créer plus d’un million de nouveaux emplois dans le monde d'ici à 2016. "L’idée est qu’en sauvant des entreprises de la faillite ou de la délocalisation, ces robots contribuent à l’activité économique générale"...
http://m.express.be/business/fr/technol ... 203063.htm
Les technologies de l’automatisation et de l’internet sont en train de créer une société où tout sera gratuit, mais dans laquelle l’emploi sera très limité« En premier lieu, le Baxter sera peut-être incorporé sur des lieux de stockage pour manipuler des marchandises ou pour charger les véhicules de transport », indique Jerry Kaplan. « Sur ce genre de lieu de travail, les travailleurs n'utilisent en effet plus que leurs mains et leurs yeux, ce qui peut être pourra être parfaitement assuré par Baxter. Ces travailleurs seront alors peut-être rapidement remplacés par des robots. Par contre, il faudra sans doute encore des décennies avant que les voitures automatiques de Google puissent fournir un service tout à fait autonome de taxis, mais la technologie a déjà démontré qu'il est possible d'organiser un transport sans conducteur en toute sécurité sur des autoroutes ».
Selon Kaplan, il n'est pas non plus impensable que le trafic cargo transcontinental soit assuré par des camions-drones et que la présence d'un chauffeur ne soit nécessaire que dans les derniers kilomètres avant l'arrivée à destination. « De cette manière, beaucoup de tâches peuvent peut-être restructurées ce qui rendrait un bon nombre de professions inutiles en grande partie ». Rodney Brooks signale que des trusts importants comme Amazon et Google se sont mis au rachat d'entreprises de robotique. Cela peut, selon lui, conduire à de nouvelles évolutions grâce auxquelles, entre autres, des compétences mécaniques plus précises pourraient être attribuées aux mains des robots, ce qui entraînerait de nouvelles possibilités.
http://m.express.be/business/fr/economy ... 203661.htm
L’infrastructure de l’internet des choses favorise la collaboration, l’accès universel et l’inclusion, ce qui développe le capital social. Dans cette économie, l’automatisation et internet ont supprimé les emplois traditionnels dans les usines, les bureaux, les commerces et la logistique. Ce sont les secteurs collaboratifs qui créent des emplois, souvent à but non lucratif: la santé, l'éducation, l’aide aux défavorisés, la sauvegarde de l’environnement, les soins aux enfants et aux personnes âgées, la promotion des arts et les loisirs.
Rifkin pense que cette économie ne supprimera pas pour autant le capitalisme, mais qu’il sera cantonné à un rôle plus restreint, pour agir comme un « aggrégateur de solutions et de services de réseaux». «Nous entrons dans un nouveau monde, pour partie hors des limites du marché, où nous allons apprendre à vivre ensemble dans un bien commun mondial de plus en plus interdépendant et collaboratif », conclut-il.