La Société générale n'est pas la seule à prévoir d'importantes retraites surcomplémentaires pour ses dirigeants (33 millions d'euros pour six mandataires sociaux). BNP-Paribas a ainsi provisionné en 2008 28,6 millions d'euros pour les retraites "supplémentaires à prestations définies" du président, Michel Pébereau, du directeur général, Beaudoin Prot, et du directeur général délégué, Georges Chodron de Courcel
Ce qui laisse un gout amère c'est qu'on a l'impression de "découvrir" la goinfrerie des puissants, or elle existe depuis très très longtemps.
Et ce n'est pas seulement injuste maintenant parce qu'il y a des licenciements de masse.
Ce qui laisse un gout amère c'est qu'on a l'impression de "découvrir" la goinfrerie des puissants, or elle existe depuis très très longtemps.
Aujourd'hui, les miettes qui sont laissées au peuple sont moins grosses, voire minuscules. C'est cela qui change tout
Dès qu'elles vont redevenir plus grosses, parce qu'elles vont le redevenir pour un certain nombre, le cirque continuera sans changement notable: course aux profits, accélération de la destruction de l'environnement. La barbarie habituelle en somme.