Selon Nicolas Sarkozy, « l'assurance-maladie n'a pas vocation à tout prendre en charge, sans rien contrôler et sans rien réguler » Et de s'interroger : « Qu'est ce qui doit être financé par la solidarité nationale, qu'est ce qui doit relever de la responsabilité individuelle à travers une couverture complémentaire ? ». Ce débat, rappelle-t-il, « a eu lieu chez tous nos voisins ». Le gouvernement sera donc chargé de s'y mettre à son tour. À noter que le chef de l'État a également indiqué qu'il « voulait offrir une aide à l'acquisition de la couverture complémentaire beaucoup plus généreuse et étendue qu'elle ne l'est actuellement ».
S'assurer contre la dépendance. Concernant la dépendance des personnes âgées, Nicolas Sarkozy veut également aboutir avant juillet 2008. Pour lui, ce « risque dépendance » peut être « en partie » couvert par « l'assurance individuelle », recommandant aux investisseurs privés d'investir davantage dans ce secteur, « non pas en substitution de la solidarité nationale, mais en complément ». Ces produits d'épargne longue « pourront être fiscalement avantagés ».
Il a également rappelé avoir demandé au gouvernement de « mettre en oeuvre une réponse « adaptée et structurée » au « cinquième risque » (dépendance) aux côtés des risques liés à la vieillesse, à la maladie et aux accidents du travail-maladies professionnelles, à la famille. Les enfants qui se déchargent du soin de leurs aînés sur la collectivité pourraient voir, d'autre part, leur patrimoine mis à contribution.
extrait du site ouest france
bientot on va accuser les malades d'être malades
et puis cette idée de développer l'assurance individuelle pour ses vieux jours hummm