Médias censurés? Medias sous surveillance?
Publié : 01 nov. 2011
Suite à l'article en première page d'Actuchômage, voici ce que j'ai pu trouverLa censure est la limitation arbitraire ou doctrinale de la liberté d'expression de chacun. Elle passe par l'examen du détenteur d'un pouvoir (étatique ou religieux par exemple) sur des livres, journaux, bulletins d'informations, pièces de théâtre et films, etc. -- et ce -- avant d'en permettre la diffusion au public. Par extension, la censure désigne différentes formes d'atteintes à la liberté d'expression, avant et/ou après leur diffusion (censure a priori et a posteriori). On distingue la censure politique (limitation par le gouvernement de la liberté d'expression) de la censure indirecte, non officielle, mais sous forme de pression, en particulier une forme de censure économique (due notamment à la concentration des médias, etc.) ; on peut aussi ajouter les phénomènes d'autocensure.
La censure peut aussi être institutionnelle ou sociale par la privation de l'information disponible à des particuliers ou à un groupe. Cette forme de censure peut se justifier dans certains cas pour des raisons médicales (voir psychiatrie)[réf. nécessaire] mais elle prend majoritairement une forme négative. La censure positive peut prendre aussi la forme de censure liée à l'âge. Un tel type de censure positive comporte par exemple la classification de film selon la thématique. (voir pornographie et violence
http://fr.wikipedia.org/wiki/Censure
Très peu d'infos dans la presse parait
http://fr.finance.yahoo.com/actualites/ ... 1.html?x=0Vers une liquidation de "Paru Vendu"
L'hebdomadaire d'annonces gratuites n'a trouvé aucun repreneur.
Selon les Echos , le tribunal de commerce de Lyon devrait prononcer le 3 novembre la liquidation judiciaire de Comareg (éditeur de Paru Vendu ) et de l'imprimerie Hebdoprint, qui composent le pôle de presse gratuite du Groupe Hersant Media (GHM). La liquidation pourrait être assortie d'une poursuite de l'activité. Aucune offre ne reprise n'aurait été acceptée. Notamment, le fondateur Michel Moulin, soutenu selon l'Express par un fonds d'investissement proche de la famille Benetton, aurait retiré la sienne.
Comareg emploie encore 1.150 salariés et Hebdoprint 500, soit au total 1.650 personnes. Lors du dernier PSE, 573 salariés ont été licenciés chez Comareg et 117 chez Hebdoprint.
Il y a un an, Comareg s'était placé en redressement judiciaire, et Hebdoprint en procédure de sauvegarde. C'est un premier pas vers le redressement puis la relance de Comareg et d'Hebdoprint , avait alors déclaré GHM.
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