La censure est la limitation arbitraire ou doctrinale de la liberté d'expression de chacun. Elle passe par l'examen du détenteur d'un pouvoir (étatique ou religieux par exemple) sur des livres, journaux, bulletins d'informations, pièces de théâtre et films, etc. -- et ce -- avant d'en permettre la diffusion au public. Par extension, la censure désigne différentes formes d'atteintes à la liberté d'expression, avant et/ou après leur diffusion (censure a priori et a posteriori). On distingue la censure politique (limitation par le gouvernement de la liberté d'expression) de la censure indirecte, non officielle, mais sous forme de pression, en particulier une forme de censure économique (due notamment à la concentration des médias, etc.) ; on peut aussi ajouter les phénomènes d'autocensure.
La censure peut aussi être institutionnelle ou sociale par la privation de l'information disponible à des particuliers ou à un groupe. Cette forme de censure peut se justifier dans certains cas pour des raisons médicales (voir psychiatrie)[réf. nécessaire] mais elle prend majoritairement une forme négative. La censure positive peut prendre aussi la forme de censure liée à l'âge. Un tel type de censure positive comporte par exemple la classification de film selon la thématique. (voir pornographie et violence http://fr.wikipedia.org/wiki/Censure
Suite à l'article en première page d'Actuchômage, voici ce que j'ai pu trouver
Très peu d'infos dans la presse parait
Vers une liquidation de "Paru Vendu"
L'hebdomadaire d'annonces gratuites n'a trouvé aucun repreneur.
Selon les Echos , le tribunal de commerce de Lyon devrait prononcer le 3 novembre la liquidation judiciaire de Comareg (éditeur de Paru Vendu ) et de l'imprimerie Hebdoprint, qui composent le pôle de presse gratuite du Groupe Hersant Media (GHM). La liquidation pourrait être assortie d'une poursuite de l'activité. Aucune offre ne reprise n'aurait été acceptée. Notamment, le fondateur Michel Moulin, soutenu selon l'Express par un fonds d'investissement proche de la famille Benetton, aurait retiré la sienne.
Comareg emploie encore 1.150 salariés et Hebdoprint 500, soit au total 1.650 personnes. Lors du dernier PSE, 573 salariés ont été licenciés chez Comareg et 117 chez Hebdoprint.
Il y a un an, Comareg s'était placé en redressement judiciaire, et Hebdoprint en procédure de sauvegarde. C'est un premier pas vers le redressement puis la relance de Comareg et d'Hebdoprint , avait alors déclaré GHM.
Le fait est assez rare pour être souligné. Dans le dernier journal municipal de Crest, paru il y a quelques jours, l’article de l’opposition municipale n’a pas été publié, suite à un refus du maire Hervé Mariton (UMP), qui est aussi, de droit, le directeur de publication de “Crest Info”. L‘article non-publié revient sur un débat lancé début septembre en conseil municipal, et portant sur le montant et la trop grande utilisation – selon l’opposition – de la réserve parlementaire du député Mariton dans l’action municipale crestoise.
« À moins d’un an de l’élection législative, les règles régissant ce type de publication ne permettent pas de publier cet article à connotation pré-électorale », estime M. Mariton. « Il est donc impossible de le publier, et d’y répondre, car cela reviendrait à dire du bien du député ».
Le tribunal administratif bientôt saisi ?
« Avec une réserve parlementaire utilisée à hauteur de 697 000 € en 2011 pour la commune, il s’agit bien là d’un sujet municipal, et aucune législation ne permet d’interdire l’opposition de s’exprimer sur ce sujet », juge pour sa part Alain Bâtie (DVG), qui parle de « censure » et « d’abus de pouvoir ». L’opposition municipale pourrait, dans les prochains jours, saisir le tribunal administratif sur cette question.
Lancement aux Etats-Unis d’un site Internet pour surveiller les journalistes
Un site Internet participatif a été lancé lundi avec pour objectif de fournir des informations sur les carrières et biographies de plusieurs centaines de journalistes, pour la plupart américains.
Sur sa page d'accueil, News Transparency explique à ses futurs utilisateurs son objectif : "fournir plus d'informations sur les journalistes qui écrivent l'actualité" et les rendre ainsi redevables au même titre que les institutions sur lesquelles ils enquêtent,"en publiant des critiques et en partageant des informations".
Le site présente ainsi une liste alphabétique de centaines de journalistes et invite les utilisateurs à réviser les profils qui incluent des éléments biographiques comme l'âge, la formation, le parcours professionnel ou encore l'employeur.
On peut également y consulter les pages personnelles et professionnelles des journalistes dans les médias sociaux, les articles les concernant, leur préférence politique et les dons qu'ils ont pu faire.
L’État traque les hackers...mais qui contrôle l’État, quand il se fait lui-même pirate ?
La police allemande aurait utilisé un "cheval de Troie" pour enregistrer les communications et contrôler à distance des ordinateurs. Un dispositif que les enquêteurs français ont déjà mis sur pied dans un cadre légal plutôt flou.
a LOPPSI 2 (loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure) a introduit le 14 mars 2011 la possibilité pour les services d'enquête judiciaire d'opérer la captation des données électroniques "à la source", c'est-à-dire directement sur l’ordinateur d’un utilisateur.
L'utilisation légale d'un « cheval de Troie »
Ce dispositif hybride, qui peut s’apparenter à de l’écoute en temps réel, couplée à une perquisition numérique à distance, consiste en l'installation d'un programme espion à l'insu de la personne visée (ou "cheval de Troie", d'après l'imagerie homérique).