Marche européenne des Indignés
Marche européenne des Indignés
Voir mon article :
http://www.actuchomage.org/201108181689 ... rance.html
Appel à rejoindre en France les marches populaires indignées vers Bruxelles
Face à la crise mondiale, depuis quelques mois, le mouvement des Indignés s’est développé dans différents pays pour demander une démocratie réelle maintenant.
Aujourd’hui, les Indignés de Madrid marchent vers Bruxelles, le cœur du pouvoir dans l’Union européenne. Cette marche entrera en France le 17 août, elle passera par l’ouest de la France puis par Paris le 17 septembre, et elle arrivera à Bruxelles le 8 octobre pour préparer la mobilisation mondiale du 15 octobre.
Une marche est aussi partie de Toulouse le 23 juillet, et d’autres sont en projet : marche de Barcelone (passant par Lyon), marche de Zaragoza (passant par le Rodez), marches partant d’Italie, aux Etats-Unis…
Nous appelons tous les citoyens indignés et concernés à s’informer sur ces marches, à les accueillir, à les soutenir et à les rejoindre.
Nous devons construire ensemble ce mouvement et le développer, pour arriver à une mobilisation internationale d’ampleur, globale et pacifique, dont les marches et le rendez-vous mondial du 15 octobre ne seront qu’un début !
Les sites web :
http://www.marche-paris.fr/de.html (pour la coordination des marches vers Paris)
http://paris.reelledemocratie.fr (site officiel des Indignés de paris)
Mail de contact (information) : walktoparis17s@lists.takethesquare.net
http://www.actuchomage.org/201108181689 ... rance.html
Appel à rejoindre en France les marches populaires indignées vers Bruxelles
Face à la crise mondiale, depuis quelques mois, le mouvement des Indignés s’est développé dans différents pays pour demander une démocratie réelle maintenant.
Aujourd’hui, les Indignés de Madrid marchent vers Bruxelles, le cœur du pouvoir dans l’Union européenne. Cette marche entrera en France le 17 août, elle passera par l’ouest de la France puis par Paris le 17 septembre, et elle arrivera à Bruxelles le 8 octobre pour préparer la mobilisation mondiale du 15 octobre.
Une marche est aussi partie de Toulouse le 23 juillet, et d’autres sont en projet : marche de Barcelone (passant par Lyon), marche de Zaragoza (passant par le Rodez), marches partant d’Italie, aux Etats-Unis…
Nous appelons tous les citoyens indignés et concernés à s’informer sur ces marches, à les accueillir, à les soutenir et à les rejoindre.
Nous devons construire ensemble ce mouvement et le développer, pour arriver à une mobilisation internationale d’ampleur, globale et pacifique, dont les marches et le rendez-vous mondial du 15 octobre ne seront qu’un début !
Les sites web :
http://www.marche-paris.fr/de.html (pour la coordination des marches vers Paris)
http://paris.reelledemocratie.fr (site officiel des Indignés de paris)
Mail de contact (information) : walktoparis17s@lists.takethesquare.net
L’indignation virtuelle : une exception française ?
La France, avec Stéphane Hessel, a trouvé la formule : indignez-vous ! Mais chez nous, l’indignation est restée plus virtuelle ou abstraite que réelle. Faute de s’être à ce jour transformée en action, elle est demeurée un cri. Ailleurs, l’idée et parfois le mot même d’«indignés» sont repris par des acteurs qui s’engagent concrètement. En Espagne, avec les indignados, en Italie avec le popoloviola, apparu quelques mois plus tôt, la mobilisation rejette la tentation de la violence, elle est fondamentalement démocratique. Elle en appelle à la justice sociale sur fond de rejet des partis et des pouvoirs politiques, et de mépris vis-à-vis de Silvio Berlusconi et de José Luis Zapatero. En Israël, le puissant mouvement qui vient de se déclarer charrie des significations relativement proches : un vif sentiment d’injustice sociale, une critique du pouvoir, de la politique libérale de Benyamin Netanyahou, et de la corruption, de fortes attentes vis-à-vis d’un Etat dont on voudrait qu’il redevienne un Etat providence. En Grèce, une large partie de la population s’est mobilisée en opposition aux mesures économiques drastiques imposées par le FMI et l’Union européenne pour éviter au pays le défaut de paiement. ... la suite ICI
Pour ceux qui veulent directement la conclusion :
En France, on veut encore croire à la politique, on est comme suspendu à ce qui se jouera en 2012, lors de l’élection présidentielle. Aux deux extrémités du spectre politique, des forces populistes et, s’il s’agit de l’extrême droite, nationalistes, semblent capables de canaliser vers le vote une partie de l’exaspération et des craintes populaires. La droite classique n’est pas totalement discréditée et son chef de file s’efforce de donner l’image d’un homme apaisé avec lui-même et capable d’une certaine hauteur de vue, même si les années Sarkozy laisseront surtout le souvenir du bouclier fiscal, de la période «bling-bling» puis de celle des «affaires» - du fils du chef de l’Etat briguant la présidence de la Défense à sa ministre des Affaires étrangères voyageant de manière scabreuse en Tunisie au moment où débutait la révolution du jasmin, en passant par Eric Woerth et tuttiquanti.
Enfin, et surtout, la gauche, socialistes et écologistes unis, est capable de remporter la prochaine élection présidentielle sur la base d’orientations ouvertes au futur. Elle en porte en tout cas l’espoir. Du coup, l’indignation sociale, qu’il s’agisse des plus démunis, des jeunes, des retraités ou quasi retraités, des couches moyennes en mobilité descendante, des fonctionnaires, etc., ne se transcrit pas, pour l’instant du moins, en critique soupçonneuse et en pur rejet des partis et des responsables politiques. Elle le fera si l’espoir est déçu, si le traitement des attentes que porte la société civile s’avère décevant, si l’Etat et les institutions sont débordés par la crise économique, si la gauche n’est pas à la hauteur. Mais, pour l’instant, les indignés français restent dans le virtuel, ils accordent encore leur confiance à la politique, à l’instar de Stéphane Hessel qui a fait savoir, récemment, qu’il soutient Martine Aubry.
Source : Libération Par MICHEL WIEVIORKA sociologue
Pour ceux qui veulent directement la conclusion :

En France, on veut encore croire à la politique, on est comme suspendu à ce qui se jouera en 2012, lors de l’élection présidentielle. Aux deux extrémités du spectre politique, des forces populistes et, s’il s’agit de l’extrême droite, nationalistes, semblent capables de canaliser vers le vote une partie de l’exaspération et des craintes populaires. La droite classique n’est pas totalement discréditée et son chef de file s’efforce de donner l’image d’un homme apaisé avec lui-même et capable d’une certaine hauteur de vue, même si les années Sarkozy laisseront surtout le souvenir du bouclier fiscal, de la période «bling-bling» puis de celle des «affaires» - du fils du chef de l’Etat briguant la présidence de la Défense à sa ministre des Affaires étrangères voyageant de manière scabreuse en Tunisie au moment où débutait la révolution du jasmin, en passant par Eric Woerth et tuttiquanti.
Enfin, et surtout, la gauche, socialistes et écologistes unis, est capable de remporter la prochaine élection présidentielle sur la base d’orientations ouvertes au futur. Elle en porte en tout cas l’espoir. Du coup, l’indignation sociale, qu’il s’agisse des plus démunis, des jeunes, des retraités ou quasi retraités, des couches moyennes en mobilité descendante, des fonctionnaires, etc., ne se transcrit pas, pour l’instant du moins, en critique soupçonneuse et en pur rejet des partis et des responsables politiques. Elle le fera si l’espoir est déçu, si le traitement des attentes que porte la société civile s’avère décevant, si l’Etat et les institutions sont débordés par la crise économique, si la gauche n’est pas à la hauteur. Mais, pour l’instant, les indignés français restent dans le virtuel, ils accordent encore leur confiance à la politique, à l’instar de Stéphane Hessel qui a fait savoir, récemment, qu’il soutient Martine Aubry.
Source : Libération Par MICHEL WIEVIORKA sociologue
"A chacun de faire sa part..."
Re: Marche européenne des Indignés
Tu m'en diras tant. De la langue de bois politicienne coutumière.Enfin, et surtout, la gauche, socialistes et écologistes unis, est capable de remporter la prochaine élection présidentielle sur la base d’orientations ouvertes au futur.
Re: Marche européenne des Indignés
Il me semblait qu'il soutenait royal ?Stéphane Hessel qui a fait savoir, récemment, qu’il soutient Martine Aubry.

Vraiment ?ils accordent encore leur confiance à la politique
Ils ne font plus confiance aux politiques de toutes façons et moi la première. Qui aura le courage de présenter un programme de gauche ? Augmenter les impôts des gros revenus, renationaliser les banques principales, la poste, le rail etc, taxer les transactions financières ?
Je n'oublie pas février 2008, où ces politiques, quelle que soit leur couleur ont voté contre l'avis du peuple, belle leçon de démocratie

Re: Marche européenne des Indignés
Ce que ça peut me gonfler quand j'en vois encore qui osent appeler le PS et les écolos "la gauche"... Quand aux orientations ouvertes au futur, permettez-moi d'être sceptique... Enfin, tout dépend le futur de qui...Enfin, et surtout, la gauche, socialistes et écologistes unis, est capable de remporter la prochaine élection présidentielle sur la base d’orientations ouvertes au futur.
P.S. : Merci Maguy... Maintenant je sais faire...

Les Indignés arrivent à Paris !
Tout le week-end, des rassemblements et débats sont prévus pour les accueillir.
Ça commence dès ce soir à Bastille avec Etienne Chouard, et ça se poursuit samedi et dimanche avec des gens comme Frédéric Lordon :
http://www.demosphere.eu/node/25470
Ça commence dès ce soir à Bastille avec Etienne Chouard, et ça se poursuit samedi et dimanche avec des gens comme Frédéric Lordon :
http://www.demosphere.eu/node/25470
Les Indignés de Wall Street (selon Le Figaro)
À New-York, un mouvement populaire contre la «cupidité» des banques manifeste depuis samedi en plein cœur du quartier de la finance.
Trinity Place n'est pas exactement la place Tahrir, mais l'état d'esprit n'y est pas très différent : les manifestants veulent y exprimer leur ras-le-bol contre ceux qui détiennent le pouvoir. Aux États-Unis, c'est contre les banquiers et les financiers de Wall Street que la grogne monte. Un mouvement populaire se faisant appeler «Occupez Wall Street » manifeste depuis samedi en plein cœur du quartier de la finance après avoir pris forme sur les réseaux sociaux.
Les manifestants entendent protester jusqu'en décembre contre ce qu'ils dénoncent comme la culture du «fric», la «cupidité» et la «corruption» de Wall Street, et demandent à Barack Obama d'établir une commission mettant «un terme à l'influence de Wall Street sur la politique à Washington».
Samedi, ceux qui comptaient transformer la capitale mondiale de la finance en place Tahrir américaine étaient à peine un peu plus d'un millier. Dimanche, ils n'étaient plus que la moitié et lundi, quelques centaines d'«Indignés», surtout des jeunes, continuaient à protester sous haute surveillance policière. Certains, parmi lesquels des chômeurs de longue durée - un phénomène nouveau aux Etats-Unis - avaient même dormi la nuit sur des bancs. On est loin de l'ambition affichée du mouvement : «Réunir 20.000 personnes, envahir tout le sud de Manhattan, installer tentes, cuisines mobiles, barricades pacifiques et occuper Wall Street pendant des mois», et les revendications sont pour le moins diverses - de l'impôt sur les riches (entendue par Barack Obama) à une meilleure éducation et un plus grand respect de l'environnement en passant par le soutien à la Palestine.
Malaise social
Mais le mouvement traduit un véritable malaise social dans un pays où les inégalités sociales aggravées par la crise, sont de plus en plus criantes alors que Washington est incapable de faire retomber le taux chômage en dessous de 9%. Ironiquement, New York n'est pas Le Caire et on voit mal comment le mouvement pourrait prendre de l'ampleur face au dispositif policier des autorités. Le maire de New York Michael Bloomberg, réputé pour sa patience limitée envers les expressions publiques de mécontentement, a résumé ainsi ses limites : «S'ils veulent manifester, ils en ont le droit, nous serons contents de les autoriser à le faire dans des endroits précis, (…) ils peuvent manifester à condition de ne respecter le droits de ceux qui ne manifestent pas».
Lundi, pour le troisième jour consécutif, la police contrôlait strictement l'entrée de Wall Street aux financiers sur présentation de leur carte professionnelle, pour le plus grand bonheur de certains employés de sociétés comme Deutsche Bank et Bank of New York. Pendant le week-end, la police avait habilement divisé les passages piétons de Wall Street de sorte à ce que les manifestants ne puissent jamais y pénétrer. Toutes les banques ne sont pas installées à Wall Street : JP Morgan, Morgan Stanley, Citigroup et Bank Of America, qui vient d'annoncer le licenciement de 30.000 personnes dans les prochaines années, ont leurs quartiers généraux plus haut dans Manhattan. A New York, le dispositif policier est renforcé cette semaine en raison de l'arrivée attendue de chefs d'État de plus de 120 pays, y compris celle de Barack Obama lundi.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011 ... street.php
Trinity Place n'est pas exactement la place Tahrir, mais l'état d'esprit n'y est pas très différent : les manifestants veulent y exprimer leur ras-le-bol contre ceux qui détiennent le pouvoir. Aux États-Unis, c'est contre les banquiers et les financiers de Wall Street que la grogne monte. Un mouvement populaire se faisant appeler «Occupez Wall Street » manifeste depuis samedi en plein cœur du quartier de la finance après avoir pris forme sur les réseaux sociaux.
Les manifestants entendent protester jusqu'en décembre contre ce qu'ils dénoncent comme la culture du «fric», la «cupidité» et la «corruption» de Wall Street, et demandent à Barack Obama d'établir une commission mettant «un terme à l'influence de Wall Street sur la politique à Washington».
Samedi, ceux qui comptaient transformer la capitale mondiale de la finance en place Tahrir américaine étaient à peine un peu plus d'un millier. Dimanche, ils n'étaient plus que la moitié et lundi, quelques centaines d'«Indignés», surtout des jeunes, continuaient à protester sous haute surveillance policière. Certains, parmi lesquels des chômeurs de longue durée - un phénomène nouveau aux Etats-Unis - avaient même dormi la nuit sur des bancs. On est loin de l'ambition affichée du mouvement : «Réunir 20.000 personnes, envahir tout le sud de Manhattan, installer tentes, cuisines mobiles, barricades pacifiques et occuper Wall Street pendant des mois», et les revendications sont pour le moins diverses - de l'impôt sur les riches (entendue par Barack Obama) à une meilleure éducation et un plus grand respect de l'environnement en passant par le soutien à la Palestine.
Malaise social
Mais le mouvement traduit un véritable malaise social dans un pays où les inégalités sociales aggravées par la crise, sont de plus en plus criantes alors que Washington est incapable de faire retomber le taux chômage en dessous de 9%. Ironiquement, New York n'est pas Le Caire et on voit mal comment le mouvement pourrait prendre de l'ampleur face au dispositif policier des autorités. Le maire de New York Michael Bloomberg, réputé pour sa patience limitée envers les expressions publiques de mécontentement, a résumé ainsi ses limites : «S'ils veulent manifester, ils en ont le droit, nous serons contents de les autoriser à le faire dans des endroits précis, (…) ils peuvent manifester à condition de ne respecter le droits de ceux qui ne manifestent pas».
Lundi, pour le troisième jour consécutif, la police contrôlait strictement l'entrée de Wall Street aux financiers sur présentation de leur carte professionnelle, pour le plus grand bonheur de certains employés de sociétés comme Deutsche Bank et Bank of New York. Pendant le week-end, la police avait habilement divisé les passages piétons de Wall Street de sorte à ce que les manifestants ne puissent jamais y pénétrer. Toutes les banques ne sont pas installées à Wall Street : JP Morgan, Morgan Stanley, Citigroup et Bank Of America, qui vient d'annoncer le licenciement de 30.000 personnes dans les prochaines années, ont leurs quartiers généraux plus haut dans Manhattan. A New York, le dispositif policier est renforcé cette semaine en raison de l'arrivée attendue de chefs d'État de plus de 120 pays, y compris celle de Barack Obama lundi.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011 ... street.php
Les Indignés de Wall Street (selon L'Humanité)
Lire ici => http://www.humanite.fr/monde/des-centai ... eet-479806
J'ai repris cet article dans les actus du site (rubrique "mobilisations").
J'ai repris cet article dans les actus du site (rubrique "mobilisations").
Débat sur la dette Intervention de F.Lordon
Salut
Extrait de l'intervention de Frédéric Lordon, dimanche 18 septembre, lors du débat à la bastille sur La dette et l'austérité
http://www.dailymotion.com/video/xl6ssi ... -2011_news
Il y avait à peu près 300 personnes pour soutenir les centaines de marcheurs indignés !
Extrait de l'intervention de Frédéric Lordon, dimanche 18 septembre, lors du débat à la bastille sur La dette et l'austérité
http://www.dailymotion.com/video/xl6ssi ... -2011_news
Il y avait à peu près 300 personnes pour soutenir les centaines de marcheurs indignés !
Re: Marche européenne des Indignés
Apparemment, les indignés ne sont pas les bienvenus à Paris
http://tianplus.blogs.nouvelobs.com/arc ... -deux.html
http://tianplus.blogs.nouvelobs.com/arc ... -deux.html
Re: Marche européenne des Indignés
Eh oui : à Paris, toute manifestation doit avoir reçu une autorisation préalable de la part de la préfecture de police.
60 Indignés ont ainsi été conduits dans des commissariats.
60 Indignés ont ainsi été conduits dans des commissariats.
Re: Marche européenne des Indignés
Ben oui, c'etait comme ça dejà avant Notre Despote 1er! Fallait presque telephoner aux RG pour leur dire si tu prenais le café avec eux, avant ou après la manif! Les pressions n'iront qu'en empirant! Il y a dejà peu de volontaires pour la grève du 27 dans l'education nationale, parce qu'avec le service minimun, c'est très compliqué à organiser et du boulot, notamment administratif à rattraper!superuser a écrit :Eh oui : à Paris, toute manifestation doit avoir reçu une autorisation préalable de la part de la préfecture de police.
60 Indignés ont ainsi été conduits dans des commissariats.
Comme quoi, on peut faire taire les revendications!
Occupy Wall Street, ça continue !
L’occupation activiste et pacifique de Wall Street contre la spéculation boursière et l’exonération fiscale des profits financiers, pour la santé et contre le chômage, dure depuis 7 jours et 7 nuits sans qu’aucune information n'ait filtré dans les principaux médias français.
Elle a été violemment réprimée le 23 septembre, mais se poursuit :
http://www.larevuedesressources.org/spi ... rticle2131
Elle a été violemment réprimée le 23 septembre, mais se poursuit :
http://www.larevuedesressources.org/spi ... rticle2131