Et la santé des salariés ? c'est encore pire !
Et la santé des salariés ? c'est encore pire !
Le travail c’est pas la santé !
Selon une étude du Bureau international du travail, le stress professionnel est en augmentation constante. Et les dépressions seraient également de plus en plus courantes. Alors, vaut-il mieux être oisif aujourd’hui ?
Pour vous, les dangers liés à l’exercice professionnel se limitaient aux éventuels accidents de travail ? Détrompez-vous, votre activité pourrait également vous miner le moral. C’est en tout cas ce que révèle une étude du Bureau international du travail (BIT).
Pertes de revenus, chômage…
Cette étude a porté sur cinq pays : Allemagne, Etats-Unis, Finlande, Royaume-Uni et Pologne. Premier constat : les troubles psychiques sont de plus en plus fréquents : un travailleur sur dix souffre de dépression, d’anxiété, de stress ou de surmenage.
Selon cet organisme, l’anticipation du départ à la retraite pour cause de troubles mentaux est de plus en plus courante.
Pour Phyllis Gabriel, principal auteur du rapport, ces troubles peuvent avoir de graves conséquences : "Les salariés sont déprimés, surmenés, angoissés, stressés ; ils perdent leurs revenus, voire se retrouvent au chômage, victimes du discrédit qu'engendre inévitablement la maladie mentale".
Une situation différente selon les pays
Le BIT a examiné de manière plus fine la situation dans les différents pays étudiés. Les principales constatations sont les suivantes :
* Au Etats-Unis, la dépression touche plus d’un adulte sur dix en âge de travailler.
* En Finlande, 50 % de la population active présentent des symptômes de stress. La majorité des pensions d’invalidité versées ont pour origine des troubles mentaux.
* En Allemagne, près de 7 % des départs en retraite anticipée sont dus à des dépressions.
* Au Royaume-Uni, près de trois salariés sur dix ont chaque année des problèmes de santé mentale. A tout moment, un travailleur britannique sur 20 souffre de dépression.
* En Pologne, les statistiques révèleraient une augmentation des problèmes de dépression liés à la croissance du chômage et la baisse du niveau de vie.
Combien ça coûte ?
Bien sûr, le Bureau international du travail souligne le coût de ces troubles mentaux des travailleurs. "Les employeurs subissent la baisse de la productivité et des profits, doivent renouveler plus souvent leur personnel, avec les frais de recrutement et de formation que cela comporte. Pour les gouvernements, ce coût est celui des soins de santé et des prestations d'assurance, sans parler du manque à gagner pour la nation", souligne l’organisme international. Ainsi, en Allemagne, la perte annuelle de production causée par les arrêts de travail est estimée à plus de 5 milliards de Deutsch Mark. Aux Etats-Unis, cette perte due aux troubles psychiques est estimée à 200 millions de journées de travail par an.
Les différents employeurs commencent à prendre en compte ce problème, comme le souligne le BIT : "aux États-Unis, les dirigeants d'entreprises de toutes tailles commencent à admettre que les maladies dépressives représentent le gros des dépenses occasionnées par les problèmes (médicaux) de santé mentale et d'invalidité. Beaucoup d'employeurs, conscients du rapport qui existe entre santé et productivité, enrichissent leurs stratégies de gestion de programmes qui aident les travailleurs à résoudre leurs problèmes professionnels, familiaux et existentiels. […] En Allemagne, il existe depuis longtemps des programmes efficaces de lutte contre le stress, qui comportent des techniques de relaxation, des jeux de rôles et une formation de type comportemental destinée à développer la confiance en soi et à améliorer les relations interpersonnelles". Si l’on ne peut qu’applaudir ces initiatives pour améliorer la santé des employés, on peut regretter que cela soit uniquement lié à des soucis de productivité…
Une tendance mondiale
Si les situations sont différentes selon les pays, toutes les remarques du BIT traduisent une augmentation des problèmes de santé mentale. Cet organisme propose une explication à cette tendance planétaire : "Certains traits communs semblent relier la forte prévalence du stress, du surmenage et de la dépression aux changements qui se produisent sur le marché du travail et qui sont en partie la conséquence de la mondialisation de l'économie". Sont notamment mis en cause la précarisation de l’emploi et l’apparition de contraintes de délais. Pour le BIT, tout n’est pas noir : "Certes, cette évolution a eu des effets positifs en ce sens qu'elle a réduit la monotonie et favorisé l'autonomie et la participation des travailleurs à la prise de décisions, mais elle a aussi engendré le stress résultant de l'accélération du rythme de travail, des contraintes de délai et des exigences nouvelles concernant la qualité et la quantité de la production".
Verrons-nous bientôt, dans les manifestations anti-mondialisation, les victimes du stress professionnel côtoyer les détracteurs de la malbouffe ?
Alain Sousa
Doctissimo
Selon une étude du Bureau international du travail, le stress professionnel est en augmentation constante. Et les dépressions seraient également de plus en plus courantes. Alors, vaut-il mieux être oisif aujourd’hui ?
Pour vous, les dangers liés à l’exercice professionnel se limitaient aux éventuels accidents de travail ? Détrompez-vous, votre activité pourrait également vous miner le moral. C’est en tout cas ce que révèle une étude du Bureau international du travail (BIT).
Pertes de revenus, chômage…
Cette étude a porté sur cinq pays : Allemagne, Etats-Unis, Finlande, Royaume-Uni et Pologne. Premier constat : les troubles psychiques sont de plus en plus fréquents : un travailleur sur dix souffre de dépression, d’anxiété, de stress ou de surmenage.
Selon cet organisme, l’anticipation du départ à la retraite pour cause de troubles mentaux est de plus en plus courante.
Pour Phyllis Gabriel, principal auteur du rapport, ces troubles peuvent avoir de graves conséquences : "Les salariés sont déprimés, surmenés, angoissés, stressés ; ils perdent leurs revenus, voire se retrouvent au chômage, victimes du discrédit qu'engendre inévitablement la maladie mentale".
Une situation différente selon les pays
Le BIT a examiné de manière plus fine la situation dans les différents pays étudiés. Les principales constatations sont les suivantes :
* Au Etats-Unis, la dépression touche plus d’un adulte sur dix en âge de travailler.
* En Finlande, 50 % de la population active présentent des symptômes de stress. La majorité des pensions d’invalidité versées ont pour origine des troubles mentaux.
* En Allemagne, près de 7 % des départs en retraite anticipée sont dus à des dépressions.
* Au Royaume-Uni, près de trois salariés sur dix ont chaque année des problèmes de santé mentale. A tout moment, un travailleur britannique sur 20 souffre de dépression.
* En Pologne, les statistiques révèleraient une augmentation des problèmes de dépression liés à la croissance du chômage et la baisse du niveau de vie.
Combien ça coûte ?
Bien sûr, le Bureau international du travail souligne le coût de ces troubles mentaux des travailleurs. "Les employeurs subissent la baisse de la productivité et des profits, doivent renouveler plus souvent leur personnel, avec les frais de recrutement et de formation que cela comporte. Pour les gouvernements, ce coût est celui des soins de santé et des prestations d'assurance, sans parler du manque à gagner pour la nation", souligne l’organisme international. Ainsi, en Allemagne, la perte annuelle de production causée par les arrêts de travail est estimée à plus de 5 milliards de Deutsch Mark. Aux Etats-Unis, cette perte due aux troubles psychiques est estimée à 200 millions de journées de travail par an.
Les différents employeurs commencent à prendre en compte ce problème, comme le souligne le BIT : "aux États-Unis, les dirigeants d'entreprises de toutes tailles commencent à admettre que les maladies dépressives représentent le gros des dépenses occasionnées par les problèmes (médicaux) de santé mentale et d'invalidité. Beaucoup d'employeurs, conscients du rapport qui existe entre santé et productivité, enrichissent leurs stratégies de gestion de programmes qui aident les travailleurs à résoudre leurs problèmes professionnels, familiaux et existentiels. […] En Allemagne, il existe depuis longtemps des programmes efficaces de lutte contre le stress, qui comportent des techniques de relaxation, des jeux de rôles et une formation de type comportemental destinée à développer la confiance en soi et à améliorer les relations interpersonnelles". Si l’on ne peut qu’applaudir ces initiatives pour améliorer la santé des employés, on peut regretter que cela soit uniquement lié à des soucis de productivité…
Une tendance mondiale
Si les situations sont différentes selon les pays, toutes les remarques du BIT traduisent une augmentation des problèmes de santé mentale. Cet organisme propose une explication à cette tendance planétaire : "Certains traits communs semblent relier la forte prévalence du stress, du surmenage et de la dépression aux changements qui se produisent sur le marché du travail et qui sont en partie la conséquence de la mondialisation de l'économie". Sont notamment mis en cause la précarisation de l’emploi et l’apparition de contraintes de délais. Pour le BIT, tout n’est pas noir : "Certes, cette évolution a eu des effets positifs en ce sens qu'elle a réduit la monotonie et favorisé l'autonomie et la participation des travailleurs à la prise de décisions, mais elle a aussi engendré le stress résultant de l'accélération du rythme de travail, des contraintes de délai et des exigences nouvelles concernant la qualité et la quantité de la production".
Verrons-nous bientôt, dans les manifestations anti-mondialisation, les victimes du stress professionnel côtoyer les détracteurs de la malbouffe ?
Alain Sousa
Doctissimo
La pénibilité du travail reste forte en France
La Tribune - 4 janvier 2007La dernière enquête du ministère de l'Emploi sur les conditions de travail en France, intitulée "Une pause dans l'intensification du travail", met en évidence la baisse de la polyvalence mais l'augmentation de contraintes de temps. Les horaires atypiques sont en progression pour toutes les catégories socio-professionnelles.
C'est une enquête sur les conditions de travail en demi-teinte qu'a rendu publique ce mercredi la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) du ministère de l'Emploi. Réalisée en 2005, elle indique "une pause dans l'intensification du travail" des salariés en France par rapport à 1998.
Ainsi, ils sont moins nombreux à déclarer devoir se dépêcher "toujours ou souvent" : 48% des salariés en 2005 contre 52% en 1998. De même, la polyvalence est en recul de cinq point (18% contre 23%). Ces améliorations concernent l'ensemble des catégories socio-professionnelles.
Pour autant, l'enquête met en évidence la dégradation d'un certain nombre d'indicateurs. En particulier, certaines contraintes de temps augmentent, comme "devoir abandonner une tâche pour une autre plus urgente" (59% des salariés en 2005 contre 55% en 1998). Aux contraintes de production s'ajoutent celles liées au client : plus d'un salarié sur deux (53%) déclarent "avoir un rythme de travail imposé par une demande extérieure à satisfaire immédiatement".
Parallèlement, les marges de manoeuvre des salariés tendent à se réduire, les indications précises concernant davantage de salariés, qui sont moins nombreux à pouvoir régler eux-mêmes les incidents survenant dans leur travail. Dans le même temps, les horaires atypiques progressent et tendent à devenir la norme pour un nombre croissant de salariés. Ainsi, la proportion de salariés travaillant la nuit augmente, parfois fortement : la part des ouvrières qualifiées soumis à des horaires de nuit a presque doublé (10% en 2005 contre 6% en 1998).
Le travail du dimanche est également de plus en plus fréquent. En outre, les salariés sont de plus en plus nombreux à travailler habituellement le samedi, le dimanche ou la nuit, toutes catégories socio-professionnnelles confondues, et non plus de manière occasionnelle.
Les pénibilités physiques tendent à se stabiliser pour l'ensemble des salariés, sauf une : les charges lourdes, qu'elles soient à soulever ou à déplacer, concernent désormais près d'un salarié sur quatre. Surtout, une part croissante d'employés du commerce et des services (57%) et d'ouvriers (64%) sont confrontés à une telle pénibilité.
La progression la plus forte entre 1998 et 2005 concerne les ouvriers, pour lesquels les expositions au bruit et aux secousses ou vibrations sont en progression, tout comme le travail à la chaîne. Ils sont également plus nombreux à être pendant longtemps dans une posture pénible (plus d'un sur deux) ou, comme les employés des services, debout (près de 8 sur 10 pour les deux catégories).
vous enlever ne serait-ce que le telephone portable et "ho magie" : ca ralenti, ou plutot, ca redevient normal/vivable/decent...
un ami à moi, vendeur de meuble, au debut de sa carriere, puis ensuite travaillant plus physiquement à du arretter à cause de son dos (lui aussi). aujourd'hui ne pouvant plus soulever de charge lourde et ayant même du mal a faire ses lacets, il se remet à chercher un poste de vendeur, seulement voilà, tout les entretiens qu'il fait aujourd'hui lui demande en + du boulot de vendeur de decharger les camions et de mettre en rayon les meubles, souvent lourds (et en costard avec cà). Avant, cela n'existait pas.
un ami à moi, vendeur de meuble, au debut de sa carriere, puis ensuite travaillant plus physiquement à du arretter à cause de son dos (lui aussi). aujourd'hui ne pouvant plus soulever de charge lourde et ayant même du mal a faire ses lacets, il se remet à chercher un poste de vendeur, seulement voilà, tout les entretiens qu'il fait aujourd'hui lui demande en + du boulot de vendeur de decharger les camions et de mettre en rayon les meubles, souvent lourds (et en costard avec cà). Avant, cela n'existait pas.
Toujours la facilité du gros cliché.vous enlever ne serait-ce que le telephone portable et "ho magie" : ca ralenti, ou plutot, ca redevient normal/vivable/decent...
Tu n'as sans doute pas l'occasion d'observer les gens dans les transports en commun. Mais beaucoup de gens ont leur téléphone en main, même s'ils ne telephonent pas.
Cet objet a aussi des vertus destressante, il est le prolongement, dans l'age adulte, des objets qui ne quittent jamais les petits enfants et qui les rassurent.
Le téléphone portable est bien une sorte de "doudou" rassurant.
Bien sûr, le prendre en main, devient comme une sorte de TOC même s'il y a du plaisir à l'avoir en main.
Edwin: je me demande pourquoi gardes tu un ordinateur, un outil qui peut être une source d'addictions et de stress.
Un truc hautement polluant par ailleurs

pour celle-là j'ai une réponse presque "type", posté des centaines de fois et même quelques-unes ici : le rapport militant de mon ordinateur* est tellement important qu'il n'est pas temps de s'en debarrasser, sans compter le benevolat que je ne pourrais faire autrement qu'en ligne, c'est un choix calculé.Edwin: je me demande pourquoi gardes tu un ordinateur, un outil qui peut être une source d'addictions et de stress.
Un truc hautement polluant par ailleurs
le tel. portable lui est un outil negligeable, un gadget qui pousse au mauvais côté de la consommation ; le superflu.
mais non voyons, faudrait être vraiment de mauvaise fois pour ne pas avouer que cet chose est le principal facteur d'accroissement de la vitesse, et majoritairement dans le travail ! et c'est pour ca qu'on en demande de plus en plus, de plus en plus vite ! ce machin à boosté les echanges commerciaux sans ce soucier du rythme humain...Toujours la facilité du gros cliché.
c'est sur, y'a quelque bons côté, les cas d'urgence par ex... mais elle ne pese pas dans ma decision, puisque même côté santé, je suis prudent, au vu des résultats de certains scientifiques (pas ceux mandatés par les pros de la téléphonie bien sûr)
*un cadeau, vieux de + de 10 ans, win millenium et linux" avec un ecran à tube repeint par les enfants (une vieille bestiole quoi, mais qui fonctionne ce qui est le principal) (j'ai toujours mon vieille atari et un mac se30 d'origine aussi !)
ps : je preferre rien dire sur les "adultes" qui auraient besoin d'un doudou rassurant.
Superflu ? Pas pour moi, il est un utilitaire.le tel. portable lui est un outil negligeable, un gadget qui pousse au mauvais côté de la consommation ; le superflu.
Donc seul le militantisme justifie les moyens moderne de communication.le rapport militant de mon ordinateur
Le portable est aussi un outil de lien social que je ne veux pas négliger.
A chacun, ses priorités... c'est aussi ça la liberté !
Non, ce n'est pas le portable qu'il faut incriminer à ce niveau mais plus logiquement internet dont tu es aussi utilisateur.mais non voyons, faudrait être vraiment de mauvaise fois pour ne pas avouer que cet chose est le principal facteur d'accroissement de la vitesse, et majoritairement dans le travail !
Tu participes donc aussi à ce système que tu dénonces avec tant de véhémence !

Bonjour,
Ce qu'il y a de bien avec le portable, c'est qu'on reçoit des sms de l'ANPE à 8h25 du matin....j'étais levé je précise....alors qu'on est chez nous et que le même message est laissé sur le site dans la rubrique Télécandidatures.
Ce qu'il y a de bien aussi avec le portable, c'est quand l'un de vos contacts qui a pour habitude de changer 10 fois par an de numéro de téléphone, vous appelle le soir tard pour vous prévenir qu'il a changé de numéros....on sait jamais des fois qu'on ait envie de l'appeler dans la nuit ?!
Ce qu'il y a de bien aussi avec le portable, c'est qu'ils ont inclu une messagerie dans la boite avec une belle voix mais qu'elle ne sert à rien parce que les gens préfèrent rappeler 10 fois.
Alors qu'au départ, le portable je l'avais pris pour ne pas râter un appel du temps ou je ne faisais que de l'intérim, histoire de ne pas rester bloqué chez moi et continuer à vivre sans craindre de manquer un job.
Au final, le portable, après avoir vu une émission sur les tumeurs liées à une utilisation intense à proximité (un rayon de 30 cm peu importe l'endroit du corps), ba je préfère le regarder et sonner et m'en passer un maximum.
D'ailleurs je dis à tous mes proches qu'ils ont plus de chances de me choper sur le net que de m'appeler.
Mais c'est bien le portable, ça fait appareil photo, agenda, télévision, lecteur MP3 aussi.....
David
Ce qu'il y a de bien avec le portable, c'est qu'on reçoit des sms de l'ANPE à 8h25 du matin....j'étais levé je précise....alors qu'on est chez nous et que le même message est laissé sur le site dans la rubrique Télécandidatures.
Ce qu'il y a de bien aussi avec le portable, c'est quand l'un de vos contacts qui a pour habitude de changer 10 fois par an de numéro de téléphone, vous appelle le soir tard pour vous prévenir qu'il a changé de numéros....on sait jamais des fois qu'on ait envie de l'appeler dans la nuit ?!
Ce qu'il y a de bien aussi avec le portable, c'est qu'ils ont inclu une messagerie dans la boite avec une belle voix mais qu'elle ne sert à rien parce que les gens préfèrent rappeler 10 fois.
Alors qu'au départ, le portable je l'avais pris pour ne pas râter un appel du temps ou je ne faisais que de l'intérim, histoire de ne pas rester bloqué chez moi et continuer à vivre sans craindre de manquer un job.
Au final, le portable, après avoir vu une émission sur les tumeurs liées à une utilisation intense à proximité (un rayon de 30 cm peu importe l'endroit du corps), ba je préfère le regarder et sonner et m'en passer un maximum.
D'ailleurs je dis à tous mes proches qu'ils ont plus de chances de me choper sur le net que de m'appeler.
Mais c'est bien le portable, ça fait appareil photo, agenda, télévision, lecteur MP3 aussi.....
David
exactement, mais il y a aussi des tas de trucs qui passerons pas de ci tôt par nos medias, comme la disparition des moineaux, si vous savez, ces petits trucs (inutiles pour la majorité) qui volent, et bien à londres par ex y'en a plus, et certains specialistes (specialistes quand même) n'hesite pas à mettre ca sur le compte des ondes electromagnetiques. même par chez moi, apres observation, on se rend compte qu'effectivement ca a grandement diminué. etrange aussi le ballet des mouettes lors du travail des champs, elles suivent le tracteur partout sauf, au milieu du champs ou il y a un pilone... y'a bien une raison... et puis les antennes qui ont été suprimées pour cause de proximité avec une école, et les proces en cour au usa pour des tumeurs bien reelle et directement liées à l'utilisation. etc...dblosse a écrit :Bonjour,
Ce qu'il y a de bien avec le portable, c'est qu'on reçoit des sms de l'ANPE à 8h25 du matin....j'étais levé je précise....alors qu'on est chez nous et que le même message est laissé sur le site dans la rubrique Télécandidatures.
Ce qu'il y a de bien aussi avec le portable, c'est quand l'un de vos contacts qui a pour habitude de changer 10 fois par an de numéro de téléphone, vous appelle le soir tard pour vous prévenir qu'il a changé de numéros....on sait jamais des fois qu'on ait envie de l'appeler dans la nuit ?!
Ce qu'il y a de bien aussi avec le portable, c'est qu'ils ont inclu une messagerie dans la boite avec une belle voix mais qu'elle ne sert à rien parce que les gens préfèrent rappeler 10 fois.
Alors qu'au départ, le portable je l'avais pris pour ne pas râter un appel du temps ou je ne faisais que de l'intérim, histoire de ne pas rester bloqué chez moi et continuer à vivre sans craindre de manquer un job.
Au final, le portable, après avoir vu une émission sur les tumeurs liées à une utilisation intense à proximité (un rayon de 30 cm peu importe l'endroit du corps), ba je préfère le regarder et sonner et m'en passer un maximum.
D'ailleurs je dis à tous mes proches qu'ils ont plus de chances de me choper sur le net que de m'appeler.
Mais c'est bien le portable, ça fait appareil photo, agenda, télévision, lecteur MP3 aussi.....
David
en tout cas, pour moi c'est un risque de moins, d'autant + pour mes gamins, et ils le comprennent bien. faut pas toujours mettre le principe de precaution sur le dos des fabriquants, les consommateurs sont grands et bien informés aujourd'hui (surtout avec internet) ils pourront pas dirent ensuite qu'ils ne savaient pas.
j'espere quand même me tromper.
http://robindestoits.org/