On ne va pas radoter à chaque fois !!! Chaque fois que quelqu'un vient poster une question sur ce sujet, c'est le même débat !!!!!
FRITESMERGUEZ, désolée mais tu es dans l'erreur ! Je ne sais pas ce qu'il s'est passé pour toi en 2004, mais tu t'es fait avoir.
Il me serait agréable de ne pas me faire assaisonner, car dans cette affaire, je n'agis pas retrouver des droits, puisque le jour du refus de prise en charge j'avais entamé un intérim et de ce fait je ne pourrais prétendre à remboursement d'un préjudice financier inexistant dans les faits.
J'ai bénéficié de la prise en charge après quatre mois d'activité ( réglementaire)
J'entends agir pour tirer cette affaire au clair et éviter la même mésaventure à d'autres qui n'ont peut-être pas les mêmes facilités que moi pour travailler en intérim.
Au surplus, je précise qu'à cette époque en 2005 ( c'était en 2005, errare humanum est ) je partais en déplacement hebomadaire et en l'absence de préjudice démontrable ( autre que moral ) je n'avais pas de raison ( ni le temps) de monter un dossier en recours pour excès de pouvoir.
Donc, je le dit haut et fort : l'interruption de la période d'essai n'entraîne pas une rupture de ses droits.
Et moi je l'écris simplement en le lisant puisque je l'ai sous les yeux :
ASSEDIC à xxxxxxxxxx
" Après une étude attentive de votre demande, je suis au regret de ne pouvoir y réserver une suite favorable.
Aux termes de l'article 4 e du réglement de l'assurance chômage , seuls les salariés se trouvant en situation de chômage involontaire sont susceptibles de bénéficier de l'allocation chômage, le chômage résultant d'une démission ou
d'un départ du salarié au cours ou au terme de la période d'essai ne pouvant être considéré comme tel souligné par moi.
Précisant toutefois que par principe j'avais contesté par courrier motivé, la décison ayant été maintenue, je n'avais pas jugé utile de persister pour les raisons déjà évoquées.
Naturellement les pièces sont à votre disposition si vous m'indiquez le moyen de joindre des pièces.
Je crois avoir déjà démontré sur ce site que je n'étais du genre à me laisser faire ni à laisser faire quand il s'agit d'autres
Dernière précision, ce n'est pas difficile (
pour ceux qui savent, ce qui n'est pas la majorité ) de monter un recours, mais en attendant une décision de justice et en l'absence de revenus la situation devient vite intenable voire dramatique, alors mes interventions sur ce sujet avaient pour but de prévenir plutôt que guérir.
Donner uniquement à l'employeur la possibilité de décider, c'est du fascisme
Réductio ad hitlérum
