Faisant suite au com' "Dites au Crédit Lyonnais tout le bien que vous en pensez"... je vous narre rapidement le scandale qui secoue la côte basque depuis quelques jours.
La police espagnole a il y a quelques mois contactée la police française concernant de forts soupçons d' un trafic conséquent de blanchiment de l' argent de la drogue provenant des caraïbes via l' espagne et finissant d' après les soupçons de la police et des institutions spécialisée contre le trafique de stupéfiants sur des comptes domiciliés dans des banques françaises proches de la frontière
Ainsi, la brigade des stupéfiants épaulée par la police judiciaire française avec l' aide et la logistique de la police espagnole ont diligenté une enquête discrète et rapide sur ces faits, résultats :
Ils ont mis au jour les preuves matérielles effectives de dépôt extrêmement conséquents d' argent liquide sur des comptes courants numérotés dans plusieurs banques sur Bayonne et Hendaye... la Société Générale, la Banque Populaire, la Banque Inchauspé (banque espagnole), la BNP Paribas.
Depuis 1995, ces comptes avaient été crédités de quelques 6 millions d' euros

Pour tous ces bons offices, 3 chargés de comptes des établissements en cause ainsi que 6 cadres dont l' ancien directeur de la banque Inchauspé aujourd' hui à la retraite et quelques autres directeurs sont en examen au frais à Bordeaux.
Quelques jours plus tard on pouvait voir un représentant de la CGT Banques venir plaider la cause de ces très hônnétes citoyens qui ne savaient pas bien entendu que les virements en question pouvaient être d' origine frauduleuse : "... nous ne pouvons contrôler tous les virements sur les comptes !"
Quant on pense que lorsque des personnes dépassent de 10 euros leur découvert autorisé elles reçoivent le surlendemain un courrier incendiaire à leur domicile les enjoignant de combler ce débit bien trop excessif...
Belle preuve d' hypocrisie.
Bien entendu aucun nom n' a transpiré, ni avec certitude qui a fait quoi, et il faut penser avec une quasi-certitude que les sièges sociaux des banques en question vont faire pression pour qu' après les incarcérations et un éventuel procès, aucune information trop compromettante ne transpire...
Serenity.