Ecole : Sarkozy veut tout changer
Ecole : Sarkozy veut tout changer
Plus que jamais, le petit Nicolas a les dents qui raient le parquet : maintenant il se croit président, premier ministre, et ministre de l'éducation nationale à la fois !!!!!!
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Nicolas Sarkozy veut modifier en profondeur le système éducatif français, de la carte scolaire, qui empêche les élèves de s'inscrire où ils veulent, aux salaires des professeurs, qu'il voudrait au mérite.
Le président de l'UMP, qui a proposé mercredi toute une série de réformes lors d'une convention UMP sur l'école, semble ainsi mettre de côté la loi Fillon sur l'école, voulue par Jacques Chirac.
Quinze mois avant l'élection présidentielle, il prend aussi le risque de heurter profondement le corps enseignant. Les organisations syndicales ont d'ailleurs réagi tout de suite en dénonçant une dérive libérale.
"C'est une erreur de penser que pour changer l'Ecole, il faut une grande loi", a déclaré Nicolas Sarkozy en clôture de la journée, devant les quatre anciens ministres de l'Education de cette législature présents à la convention. "Je veux que les parents aient le libre choix de l'école pour leurs enfants, le libre choix crée une émulation saine dans les établissements", a ainsi préconisé Nicolas Sarkozy, répétant que la carte scolaire constituait "aujourd'hui un privilège pour les uns, une fatalité pour les autres".
Quant aux Zones d'éducation prioritaires (ZEP) qui font actuellement l'objet d'une réforme initiée par Gilles de Robien, actuel occupant de la rue de Grenelle et qui a ouvert la convention, elles "accroissent les inégalités sociales au lieu de les réduire parce qu'elle aggravent la ségrégation urbaine en raison des stratégies de fuite qu'elles provoquent", a encore dit Nicolas Sarkozy.
Le futur candidat à la présidentielle de 2007 a également souhaité "améliorer la rémunération et le pouvoir d'achat des enseignants volontaires", confrontés aux publics les plus difficiles et qui souhaitent travailler davantage.
Le président de l'UMP a par ailleurs corrigé la loi de François Fillon sur plusieurs points.
Ainsi a-t-il défendu l'apprentissage d'une langue étrangère dès le CP, alors que le Parlement a voté il y a moins d'un an l'obligation d'enseigner une langue vivante dès le CE1. De même, il a longuement plaidé pour "développer le sport à l'Ecole", discipline complètement absente du socle commun de connaissances à maîtriser en fin de 3e tel que François Fillon l'entendait.
Ce dernier, congédié du gouvernement juste après le vote de sa loi et aujourd'hui conseiller de Nicolas Sarkozy, a réclamé pour sa part que "le courage politique ne fasse pas défaut au milieu du gué". "Toutes celles et tous ceux qui s'engagent pour faire évoluer l'Ecole doivent avoir l'assurance de ne pas être abandonné en rase campagne", a-t-il insité.
De son côté, Luc Ferry, autre ancien ministre de l'Education de Jacques Chirac, a longuement critiqué l'"inconstance" qui a permis la succession de quatre ministres en quatre ans, leur laissant, selon ses termes, "le temps nécessaire pour ne rien faire".
Invité à une des tables-rondes, le secrétaire général de la FSU, Gérard Aschieri, a peiné à marquer son opposition à ces propositions, hué par la salle à plusieurs reprises. "Ce n'est pas en libéralisant la carte scolaire qu'on parviendra à progresser vers la mixité sociale et à sortir de la ghettoïsation de certains établissements", a-t-il expliqué. A l'issue de cette intervention, il a en outre déclaré à l'AFP qu'il était "opposé" à une rémunération des enseignants au mérite, parce que "ça se substitue à une revalorisation de tous et que ça va à l'encontre du collectif".
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Nicolas Sarkozy veut modifier en profondeur le système éducatif français, de la carte scolaire, qui empêche les élèves de s'inscrire où ils veulent, aux salaires des professeurs, qu'il voudrait au mérite.
Le président de l'UMP, qui a proposé mercredi toute une série de réformes lors d'une convention UMP sur l'école, semble ainsi mettre de côté la loi Fillon sur l'école, voulue par Jacques Chirac.
Quinze mois avant l'élection présidentielle, il prend aussi le risque de heurter profondement le corps enseignant. Les organisations syndicales ont d'ailleurs réagi tout de suite en dénonçant une dérive libérale.
"C'est une erreur de penser que pour changer l'Ecole, il faut une grande loi", a déclaré Nicolas Sarkozy en clôture de la journée, devant les quatre anciens ministres de l'Education de cette législature présents à la convention. "Je veux que les parents aient le libre choix de l'école pour leurs enfants, le libre choix crée une émulation saine dans les établissements", a ainsi préconisé Nicolas Sarkozy, répétant que la carte scolaire constituait "aujourd'hui un privilège pour les uns, une fatalité pour les autres".
Quant aux Zones d'éducation prioritaires (ZEP) qui font actuellement l'objet d'une réforme initiée par Gilles de Robien, actuel occupant de la rue de Grenelle et qui a ouvert la convention, elles "accroissent les inégalités sociales au lieu de les réduire parce qu'elle aggravent la ségrégation urbaine en raison des stratégies de fuite qu'elles provoquent", a encore dit Nicolas Sarkozy.
Le futur candidat à la présidentielle de 2007 a également souhaité "améliorer la rémunération et le pouvoir d'achat des enseignants volontaires", confrontés aux publics les plus difficiles et qui souhaitent travailler davantage.
Le président de l'UMP a par ailleurs corrigé la loi de François Fillon sur plusieurs points.
Ainsi a-t-il défendu l'apprentissage d'une langue étrangère dès le CP, alors que le Parlement a voté il y a moins d'un an l'obligation d'enseigner une langue vivante dès le CE1. De même, il a longuement plaidé pour "développer le sport à l'Ecole", discipline complètement absente du socle commun de connaissances à maîtriser en fin de 3e tel que François Fillon l'entendait.
Ce dernier, congédié du gouvernement juste après le vote de sa loi et aujourd'hui conseiller de Nicolas Sarkozy, a réclamé pour sa part que "le courage politique ne fasse pas défaut au milieu du gué". "Toutes celles et tous ceux qui s'engagent pour faire évoluer l'Ecole doivent avoir l'assurance de ne pas être abandonné en rase campagne", a-t-il insité.
De son côté, Luc Ferry, autre ancien ministre de l'Education de Jacques Chirac, a longuement critiqué l'"inconstance" qui a permis la succession de quatre ministres en quatre ans, leur laissant, selon ses termes, "le temps nécessaire pour ne rien faire".
Invité à une des tables-rondes, le secrétaire général de la FSU, Gérard Aschieri, a peiné à marquer son opposition à ces propositions, hué par la salle à plusieurs reprises. "Ce n'est pas en libéralisant la carte scolaire qu'on parviendra à progresser vers la mixité sociale et à sortir de la ghettoïsation de certains établissements", a-t-il expliqué. A l'issue de cette intervention, il a en outre déclaré à l'AFP qu'il était "opposé" à une rémunération des enseignants au mérite, parce que "ça se substitue à une revalorisation de tous et que ça va à l'encontre du collectif".
D'un cote on apprend:
Supprimer la carte scolaire (l obligation d envoyer ses gosses dans l'etablissement le plus pres de son domicile), deja largement contournee par ceux qui ont de l argent en louant un studio à leur rejeton pour qu'ils habitent dans la zone de l etablissement que l on vise, c'est le moyen le plus sûr de creer des lycees/colleges ghettos.
Et si le dispositif ZEP (qui est une forme de discrimination positive) est supprime, ces ghettos seront des etablissements poubelles et si de plus une certaine souplesse est ajoutee dans la gestion du personnel enseignant alors ca sera vraiment des etablissements poubelles avec concentration de mauvais enseignants ou enseignants punis/sanctionnes.
L ecole à deux vitesses instutionnalisee, vous en reviez? Karcher I le fera pour vous !
et on apprend aussi:"accroissent les inégalités sociales au lieu de les réduire parce qu'elle aggravent la ségrégation urbaine en raison des stratégies de fuite qu'elles provoquent"
Chercher l erreur?"Je veux que les parents aient le libre choix de l'école pour leurs enfants, le libre choix crée une émulation saine dans les établissements"
Supprimer la carte scolaire (l obligation d envoyer ses gosses dans l'etablissement le plus pres de son domicile), deja largement contournee par ceux qui ont de l argent en louant un studio à leur rejeton pour qu'ils habitent dans la zone de l etablissement que l on vise, c'est le moyen le plus sûr de creer des lycees/colleges ghettos.
Et si le dispositif ZEP (qui est une forme de discrimination positive) est supprime, ces ghettos seront des etablissements poubelles et si de plus une certaine souplesse est ajoutee dans la gestion du personnel enseignant alors ca sera vraiment des etablissements poubelles avec concentration de mauvais enseignants ou enseignants punis/sanctionnes.
L ecole à deux vitesses instutionnalisee, vous en reviez? Karcher I le fera pour vous !
Les grandes déclarations n'engagent que ceux qui les écoutent!
Dans la réalité, sur le terrain, le nombre d'enseignant diminue alors que la population scolaire augmente depuis 2000.
Pendant que machin se la joue, on a réduit d'un tiers les recrutements sur concours à l'IUFM alors qu'un prof sur deux sera à la retraite d'ici 2010.
Pendant qu'on se la pète avec l'égalité des chances machin, on arrête de comptabiliser les enfants de 2 ans dans les effectifs de maternelle pour pallier au manque de prof et dans les zone défavorisée, on a cessé de compter les enfants de 3 ans!
http://www.ethologie.info/monolecte/?20 ... s-mon-bled
Dans la réalité, sur le terrain, le nombre d'enseignant diminue alors que la population scolaire augmente depuis 2000.
Pendant que machin se la joue, on a réduit d'un tiers les recrutements sur concours à l'IUFM alors qu'un prof sur deux sera à la retraite d'ici 2010.
Pendant qu'on se la pète avec l'égalité des chances machin, on arrête de comptabiliser les enfants de 2 ans dans les effectifs de maternelle pour pallier au manque de prof et dans les zone défavorisée, on a cessé de compter les enfants de 3 ans!
http://www.ethologie.info/monolecte/?20 ... s-mon-bled
extrait d une interwiew de Lilian Thuram au journal l'equipe sur sa convocation chez le ministre de l'interieur .une question sur l'impression qu'il a retirée de son entrevue avec le ministre, Thuram répond: "Ce qui m'a marqué, c'est son assurance. L'assurance de quelqu'un qui ne doute pas. Voilà, cette absence de doutes. Moi, je pense que le doute est fondamental pour avancer. Il vous permet une réflexion sur vous-même, une remise en question qui, elle-même, vous permet d'avancer".
sarko n'a pas que les dents qui raient le parquet ,il n'a aussi aucun doutes mais que des certitudes !
alors sur l'ecole ausi

L'égalité des chance n'existait déjà pas, mais appliquer une compétition entre établissement risque de dégrader le niveau scolaire général. Ce sera la loi de l'offre et de la demande : là ou les demandes d'inscriptions sont forte, la sélection pourra se faire sur le dossier scolaire.
Mais si un jeune est refusé par les établissements qu'il demande à cause de ses notes ou des revenus de se parents, trouvera-t-il un ESU (Etablissement Scolaire Universel) ?
Mais si un jeune est refusé par les établissements qu'il demande à cause de ses notes ou des revenus de se parents, trouvera-t-il un ESU (Etablissement Scolaire Universel) ?
Bonjour,
Ce qui fait plaisir c'est que sur le terrain ça râle aussi.
Le point de vue trés intéressant de l'ANAS (Association Nationale des Assistants Sociaux) appelle ses adhérents à ne pas appliquer le contrat de Responsabilité Parentale. (qui est la forme exacerbée de l'inégalié des chances.
Ce qui fait plaisir c'est que sur le terrain ça râle aussi.
Le point de vue trés intéressant de l'ANAS (Association Nationale des Assistants Sociaux) appelle ses adhérents à ne pas appliquer le contrat de Responsabilité Parentale. (qui est la forme exacerbée de l'inégalié des chances.
C'est pourquoi si le Contrat de Responsabilité Parentale est mis en place dans des Départements, nous appellerons les travailleurs sociaux à refuser de le mettre en œuvre tant qu'un volet répressif et de sanction à l'égard des familles restera prévu dans les textes.
La FCPE, principale fédération de parents d'élèves, a fustigé vendredi l'expérimentation décidée par Nicolas Sarkozy d'un "policier référent" présent une demi-journée ou une journée par semaine dans les établissements scolaires des Hauts-de-Seine.
"Les Hauts de Seine connaissent-ils une hausse alarmante de la délinquance au sein des collèges ? S'est-on assuré d'abord que les collèges y disposent de personnels éducatifs en nombre suffisant pour pallier les difficultés ordinaires avant de faire appel à des mesures extraordinaires ?", a interrogé la fédération dans un communiqué.
Elle a mis en doute l'efficacité du "message" ainsi adressé aux jeunes : "Sont-ils des délinquants en puissance que la police doit surveiller jusque dans l'Ecole parce que ceux chargés de les y encadrer ne sont pas à la hauteur ?".
"De qui, du policier ou de l'infirmière, de l'assistante sociale, de l'adulte tuteur, les adolescents recherchent-ils l'écoute et la compréhension ? Le ministre a-t-il donné de la police une image telle que le policier puisse être l'adulte auquel le jeune ira naturellement se confier ?", a-t-elle poursuivi.
"La quasi totalité des manifestations de violence auront disparu quand chaque élève aura le sentiment d'y être accueilli pour réussir", a affirmé la FCPE, en estimant que "le reste n'est qu'agitation et démagogie".
Le ministre de l'Intérieur et président du Conseil général des Hauts-de-Seine, Nicolas Sarkozy, a signé vendredi à Nanterre "un protocole départemental expérimental visant à renforcer la sécurité" dans les collèges. Il prévoit la désignation d'un policier référent, c'est-à-dire connu des familles, des élèves et des enseignants", qui "pourra passer une demi-journée ou une journée par semaine dans un collège pour que ce ne soit pas aux familles ou enseignants d'aller au commissariat", a déclaré le président de l'UMP.
"Les Hauts de Seine connaissent-ils une hausse alarmante de la délinquance au sein des collèges ? S'est-on assuré d'abord que les collèges y disposent de personnels éducatifs en nombre suffisant pour pallier les difficultés ordinaires avant de faire appel à des mesures extraordinaires ?", a interrogé la fédération dans un communiqué.
Elle a mis en doute l'efficacité du "message" ainsi adressé aux jeunes : "Sont-ils des délinquants en puissance que la police doit surveiller jusque dans l'Ecole parce que ceux chargés de les y encadrer ne sont pas à la hauteur ?".
"De qui, du policier ou de l'infirmière, de l'assistante sociale, de l'adulte tuteur, les adolescents recherchent-ils l'écoute et la compréhension ? Le ministre a-t-il donné de la police une image telle que le policier puisse être l'adulte auquel le jeune ira naturellement se confier ?", a-t-elle poursuivi.
"La quasi totalité des manifestations de violence auront disparu quand chaque élève aura le sentiment d'y être accueilli pour réussir", a affirmé la FCPE, en estimant que "le reste n'est qu'agitation et démagogie".
Le ministre de l'Intérieur et président du Conseil général des Hauts-de-Seine, Nicolas Sarkozy, a signé vendredi à Nanterre "un protocole départemental expérimental visant à renforcer la sécurité" dans les collèges. Il prévoit la désignation d'un policier référent, c'est-à-dire connu des familles, des élèves et des enseignants", qui "pourra passer une demi-journée ou une journée par semaine dans un collège pour que ce ne soit pas aux familles ou enseignants d'aller au commissariat", a déclaré le président de l'UMP.
Il ira dans un <<etablissement poubelle>>Mais si un jeune est refusé par les établissements qu'il demande à cause de ses notes ou des revenus de se parents, trouvera-t-il un ESU (Etablissement Scolaire Universel) ?
Etablissement qui concentrera toute la misere sociale et sans doute aussi les enseignants qui ne peuvent aller ailleurs.
Dans les faits, ce sera tous les etablissements des ZEP, et des endroits où se concentrent la misere sociale.
En paralelle, il y'aura surement admission sur dossier des eleves dans certains etablissement d "elite"
Ainsi, les parents les plus pauvres (et qui sont imposables) qui ne pourront acceder aux etablissements <<bien cotes>> paieront indirectement pour que les enfants des classes moyennes puissent etudier dans des etablissements d'"elite".
Bonjour,
C’est comme notre bon chichi,
Qui nous promet des mesures d’accompagnement pour les enfants handicapés qui veulent suivre une scolarité normale.
(Au passage, cet accès à la scolarité est la seule alternative au parcours prédéfini de IME ou IEM, IMP, IMPro, CAT, Foyer Occupationnel, MAS, Cimetière (3000€ mini le cimetière))
Donc, il a promis 300 places d’accompagnateurs divers pour favoriser l’accès à l’école normale (petit N à normale).
Dans un beau discours que tu l’écoute tu pleure tellement c’est beau
Donc pour résumer, le cadeau de l’accompagnement des enfants handicapés, est payé sur le dos des adultes handicapés.
Merci chichi.
C’est comme notre bon chichi,
Qui nous promet des mesures d’accompagnement pour les enfants handicapés qui veulent suivre une scolarité normale.
(Au passage, cet accès à la scolarité est la seule alternative au parcours prédéfini de IME ou IEM, IMP, IMPro, CAT, Foyer Occupationnel, MAS, Cimetière (3000€ mini le cimetière))
Donc, il a promis 300 places d’accompagnateurs divers pour favoriser l’accès à l’école normale (petit N à normale).
Dans un beau discours que tu l’écoute tu pleure tellement c’est beau
C’est gentil mais en même temps la loi de finance 2006 (page 175 article 137) permet de déduire les rémunération de ces personnes (personnel d'accueil et d'accompagnement)sur les sommes versées par les employeurs qui ne satisfont pas au quota de personnel handicapé.Il faut enfin aider les familles à prendre en charge un enfant handicapé. Elles doivent aujourd'hui soulever des montagnes à chaque étape. Scolariser leur enfant. Avoir des structures adaptées pour l'accueillir quand le handicap est lourd. Organiser son avenir et notamment sa vie adulte : autant de soucis obsédants. Pour répondre à ces problèmes, la nation doit reconnaître le droit à la compensation du handicap. Il faut définir pour chaque personne handicapée un projet de vie, et d'abord, pour chaque enfant handicapé, un parcours de scolarité. Trop d'enfants handicapés demeurent en effet exclus de l'enseignement.
C'est ainsi, par une politique volontariste, menée sur tous les fronts, que notre société donnera toute sa place à la famille, jouant avec générosité la carte de l'avenir.
Donc pour résumer, le cadeau de l’accompagnement des enfants handicapés, est payé sur le dos des adultes handicapés.
Merci chichi.