Alors que j'entends de partout que la formation est la clé de la réinsertion professionnelle, quand on s'adresse au Pôle Emploi, on se demande si c'est vraiment leur objectif...
Etant sans diplome, je décides de faire une formation pour avoir quelque chose. Donc j'en parles avec mon conseiller ANPE qui me redirige vers la mission locale (eh oui, si vous avez moins de 26 ans vous n'êtes pas leur problème!). Ne sachant pas dans quoi me réorienter, on me propose un stage non qualifiant à l'IFRA pour faire un mélange de remise à niveau et d'orientation durant lequel j'ai choisi mon métier: secrétaire médico-sociale. Sauf que les formations sont payantes et que l'ANPE ne finances que les formations de l'AFPA. Je retournes à l'ANPE (entre temps devenu pôle emploi et ayant changé d'adresse) pour demander un RDV avec un conseiller (seul eux peuvent nous inscrire).
Petite anecdote marrante: je reçois un coup de fil de la conseillère qui me dit, sur mon répondeur, de la recontacter pour choisir la date (2 créneaux possibles) alors que j'étais en chemin pour le pôle emploi. J'arrives donc à l'accueil et leur explique que madame X m'a appelé... Sauf qu'elle est inconnue au bataillon! Je répètes donc ma demande et vais sur un ordi pour consulter les annonces lorsque cette fameuse madame X viens me parler! Ils sont trop forts: ils ne se connaissent même pas entre eux!
Donc elle me demande la raison du RDV, je lui expliques et elle me dis de voir avec la mission locale pour faire un stage avant (pas de chance je l'ai déjà fait!) et que c'était un métier avec peu de débouchés. Maintenant j'attends la convocation de l'AFPA pour faire ma formation qui, je suis de la région lyonnaise, n'a lieu qu'à Marseille ou Paris (et après on dit que les chômeurs sont des faineants).
Ce que ça m'a appris:
-Jeune de moins de 26 ans, l'ANPE n'en a rien à faire de toi
-l'ANPE ne donne pas n'importe quel formation (n'ayant aucun droit, je leur ai demander) car il faut que le métier te plaise
-Si un métier te plait, il faut qu'il y ai des débouchés sinon on te conseille d'en trouver un autre (déjà que j'ai galéré à trouver celui la) ou tu as le droit au regard réprobateur.
PS:si quelqu'un a déjà du être hébergé par un centre AFPA j'aimerais beaucoup savoir comment ça marche?
La galère des formations
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LILAS91
Re: La galère des formations
de kipsy » 06 Avr 2010
Ce que ça m'a appris:
-Jeune de moins de 26 ans, l'ANPE n'en a rien à faire de toi
-l'ANPE ne donne pas n'importe quel formation (n'ayant aucun droit, je leur ai demander) car il faut que le métier te plaise
-Si un métier te plait, il faut qu'il y ai des débouchés sinon on te conseille d'en trouver un autre (déjà que j'ai galéré à trouver celui la) ou tu as le droit au regard réprobateur.
POLE EMPLOI se fiche de ses "membres-adhérents : jeunes, moins jeunes, plus âgés....
Il faut choisir les "métiers sous tension. Souvent la formation est validée à partir d'un bilan de compétence, objectif emploi ou toutes ces formules identiques....
Que le métier vous plaise ou non, c'est dans ces métiers sous tension qu'ils veulent que l'on se dirige.... POINT.
Pourquoi ces métiers sont perpétuellement sous tension. Là c'est intéressant de se poser la question.
Avez-vous ou non le profit pour effectuer ce travail ? ON S'EN CONTRE FOU.... le problème est d'occuper un emploi que plus personne ne veut parce que c'est INTOLERABLE, et que l'on ne tient guère longtemps.... Pour toutes les raisons que l'on sait ouvertement.
C'est la philosophie du gouvernement : il y a des postes à pouvoir par milliers.... regardez tout ces forums pour l'emploi... 19 000 postes à Ste Geneviève, 24 000 à EVRY, 18 000 aux ULIS, etc.... et nous disons qu'il n'y a rien.... C'est franchement scandaleux, non !
Ce que ça m'a appris:
-Jeune de moins de 26 ans, l'ANPE n'en a rien à faire de toi
-l'ANPE ne donne pas n'importe quel formation (n'ayant aucun droit, je leur ai demander) car il faut que le métier te plaise
-Si un métier te plait, il faut qu'il y ai des débouchés sinon on te conseille d'en trouver un autre (déjà que j'ai galéré à trouver celui la) ou tu as le droit au regard réprobateur.
POLE EMPLOI se fiche de ses "membres-adhérents : jeunes, moins jeunes, plus âgés....
Il faut choisir les "métiers sous tension. Souvent la formation est validée à partir d'un bilan de compétence, objectif emploi ou toutes ces formules identiques....
Que le métier vous plaise ou non, c'est dans ces métiers sous tension qu'ils veulent que l'on se dirige.... POINT.
Pourquoi ces métiers sont perpétuellement sous tension. Là c'est intéressant de se poser la question.
Avez-vous ou non le profit pour effectuer ce travail ? ON S'EN CONTRE FOU.... le problème est d'occuper un emploi que plus personne ne veut parce que c'est INTOLERABLE, et que l'on ne tient guère longtemps.... Pour toutes les raisons que l'on sait ouvertement.
C'est la philosophie du gouvernement : il y a des postes à pouvoir par milliers.... regardez tout ces forums pour l'emploi... 19 000 postes à Ste Geneviève, 24 000 à EVRY, 18 000 aux ULIS, etc.... et nous disons qu'il n'y a rien.... C'est franchement scandaleux, non !
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romain23
Re: La galère des formations
Que le métier vous plaise ou non, c'est dans ces métiers sous tension qu'ils veulent que l'on se dirige.... POINT. (quote)
A condition que l'employeur soit d'accord!
J'ai eu un appel cette semaine, d'un type qui cherchait quelqu'un pour faire des heures dans la restauration. Il me demande ma formation . Dès que j'ai répondu éducatrice spécialisé, le type a raccroché , sans meme savoir si cela m'intéressait.
Bon, d'accord, ça semblait plus du boulot au noir qu'autre chose, peut etre a t-il eu peur...
Quand on veut changer de métier c'est difficile aussi, les employeurs s'en tiennent à notre CV et à notre passé!Pas le droit de changer! ( du moins passé 50 balais)
A condition que l'employeur soit d'accord!
J'ai eu un appel cette semaine, d'un type qui cherchait quelqu'un pour faire des heures dans la restauration. Il me demande ma formation . Dès que j'ai répondu éducatrice spécialisé, le type a raccroché , sans meme savoir si cela m'intéressait.
Bon, d'accord, ça semblait plus du boulot au noir qu'autre chose, peut etre a t-il eu peur...
Quand on veut changer de métier c'est difficile aussi, les employeurs s'en tiennent à notre CV et à notre passé!Pas le droit de changer! ( du moins passé 50 balais)
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LILAS91
Re: La galère des formations
[u]de romain23 » 07 Avr 2010 [/u]
Que le métier vous plaise ou non, c'est dans ces métiers sous tension qu'ils veulent que l'on se dirige.... POINT. (quote)
A condition que l'employeur soit d'accord!
J'ai eu un appel cette semaine, d'un type qui cherchait quelqu'un pour faire des heures dans la restauration. Il me demande ma formation . Dès que j'ai répondu éducatrice spécialisé, le type a raccroché , sans meme savoir si cela m'intéressait.
Bon, d'accord, ça semblait plus du boulot au noir qu'autre chose, peut etre a t-il eu peur...
Quand on veut changer de métier c'est difficile aussi, les employeurs s'en tiennent à notre CV et à notre passé!Pas le droit de changer! ( du moins passé 50 balais)
Vous constatez la REALITE (ce que nous vivons). Le passé et nos expériences antérieures nous poursuivent....
Mais le CONSEILLER REFERENT PE lui, vous bassine que ce n'est pas ainsi. Il y a des postes à pouvoir dans des secteurs sous tension. POINT. IL faut se diriger là.
Je me souviens avoir fait les petits boulots pour le compte de l'ANPE (à l'époque : 2000 - 2001, 2003). et donc, je m'étais retrouvé à devoir me convertir en "raconteuse de bêtises" (comme le référent PE), mais comme je ne me suis pas prêtée à ce jeu.... J'étais dans le laisser-faire.... que chacun fasse ce qu'il lui plaise...
Quand la petite dame de la DDTEFP est venue en mi-parcours de cette "formation : bilan transfert de compétences), le but était que chacun se bouge. Or, les offres en cette saison là n'étaient guère plus florissante qu'aujourd'hui. Et oui, déjà dans le Sud 91, l'écatombe sévissait. Donc la petite dame disait "nous ne pouvons pas sortir les offres de notre chapeau, il faut aller là où on nous demande" (La petite rusée était rattachée à l'Education Nationale (enseignante) et avait fait basculer son dossier à la DDTEFP !). Simple pour certains.... Très compliqués pour d'autres.... Et en plus, son salaire avait grimpé (petite promo déguisée, en plus)... C'est toujours plus facile de faire le contrôleur des travaux finis !
Et, De toute manière pour le prix.... j'allais tout de même pas me casser la tête, en plus des ennuis en prime (le prestataire ne payait pas, ni salaire, ni frais de déplacement, ni RIEN...)... donc mon avenir dans cette reconversion à été court. (Le sale boulot n'est pas rémunéré, lui !).
On ne peut pas s'improviser autre chose que l'on est. J'en suis convaincue.
Mais, le "joujou" du CONSEILLER PE c'est de s'amuser avec "on peut tout faire", parce que lui vous dit qu'il accepte tout pour survivre, même se livrer à des joujoux pervers !
Que le métier vous plaise ou non, c'est dans ces métiers sous tension qu'ils veulent que l'on se dirige.... POINT. (quote)
A condition que l'employeur soit d'accord!
J'ai eu un appel cette semaine, d'un type qui cherchait quelqu'un pour faire des heures dans la restauration. Il me demande ma formation . Dès que j'ai répondu éducatrice spécialisé, le type a raccroché , sans meme savoir si cela m'intéressait.
Bon, d'accord, ça semblait plus du boulot au noir qu'autre chose, peut etre a t-il eu peur...
Quand on veut changer de métier c'est difficile aussi, les employeurs s'en tiennent à notre CV et à notre passé!Pas le droit de changer! ( du moins passé 50 balais)
Vous constatez la REALITE (ce que nous vivons). Le passé et nos expériences antérieures nous poursuivent....
Mais le CONSEILLER REFERENT PE lui, vous bassine que ce n'est pas ainsi. Il y a des postes à pouvoir dans des secteurs sous tension. POINT. IL faut se diriger là.
Je me souviens avoir fait les petits boulots pour le compte de l'ANPE (à l'époque : 2000 - 2001, 2003). et donc, je m'étais retrouvé à devoir me convertir en "raconteuse de bêtises" (comme le référent PE), mais comme je ne me suis pas prêtée à ce jeu.... J'étais dans le laisser-faire.... que chacun fasse ce qu'il lui plaise...
Quand la petite dame de la DDTEFP est venue en mi-parcours de cette "formation : bilan transfert de compétences), le but était que chacun se bouge. Or, les offres en cette saison là n'étaient guère plus florissante qu'aujourd'hui. Et oui, déjà dans le Sud 91, l'écatombe sévissait. Donc la petite dame disait "nous ne pouvons pas sortir les offres de notre chapeau, il faut aller là où on nous demande" (La petite rusée était rattachée à l'Education Nationale (enseignante) et avait fait basculer son dossier à la DDTEFP !). Simple pour certains.... Très compliqués pour d'autres.... Et en plus, son salaire avait grimpé (petite promo déguisée, en plus)... C'est toujours plus facile de faire le contrôleur des travaux finis !
Et, De toute manière pour le prix.... j'allais tout de même pas me casser la tête, en plus des ennuis en prime (le prestataire ne payait pas, ni salaire, ni frais de déplacement, ni RIEN...)... donc mon avenir dans cette reconversion à été court. (Le sale boulot n'est pas rémunéré, lui !).
On ne peut pas s'improviser autre chose que l'on est. J'en suis convaincue.
Mais, le "joujou" du CONSEILLER PE c'est de s'amuser avec "on peut tout faire", parce que lui vous dit qu'il accepte tout pour survivre, même se livrer à des joujoux pervers !
Re: La galère des formations
Je dirais même 40...romain23 a écrit :Quand on veut changer de métier c'est difficile aussi, les employeurs s'en tiennent à notre CV et à notre passé!Pas le droit de changer! (du moins passé 50 balais)
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steph60
Re: La galère des formations
Bonsoir,
Pour l'hébergement AFPA, les centres disposent d'internat, certains en chambres individuelles, d'autres en chambres pour deux à quatre personnes ; et il y a bien sur un restaurant qui assure les repas matin, midi et soir. Généralement les cours commencent le lundi après midi et finissent le vendredi midi afin que les stagiaires puissent rentrer chez eux le weekend ; quand vous aurez déterminé votre formation et le lieu associé, le mieux est encore de passer un petit coup de fil au centre pour connaître leurs modalités car cela peut varier un peu d'un centre à l'autre.
Je vous souhaite de trouver une formation débouchant sur un métier où vous avez une chance de décrocher un emploi derrière ! parce que faire une formation pour se retrouver à la case chômage après, cela ne sert malheureusement pas à grand chose si ce n'est fiche l'argent des contribuables en l'air ; sans compter que pour les stagiaires c'est particulièrement démoralisant.
Bon courage et bonne soirée.
++
Pour l'hébergement AFPA, les centres disposent d'internat, certains en chambres individuelles, d'autres en chambres pour deux à quatre personnes ; et il y a bien sur un restaurant qui assure les repas matin, midi et soir. Généralement les cours commencent le lundi après midi et finissent le vendredi midi afin que les stagiaires puissent rentrer chez eux le weekend ; quand vous aurez déterminé votre formation et le lieu associé, le mieux est encore de passer un petit coup de fil au centre pour connaître leurs modalités car cela peut varier un peu d'un centre à l'autre.
Je vous souhaite de trouver une formation débouchant sur un métier où vous avez une chance de décrocher un emploi derrière ! parce que faire une formation pour se retrouver à la case chômage après, cela ne sert malheureusement pas à grand chose si ce n'est fiche l'argent des contribuables en l'air ; sans compter que pour les stagiaires c'est particulièrement démoralisant.
Bon courage et bonne soirée.
++
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lupita83
Re: La galère des formations
Kipsy, je ne sais pas pour chez toi mais dans ma région (je bosse comme conseiller en mission locale) les entrées en formation AFPA se sont singulièrement compliquées pour les jeunes et moins jeunes : En cause, le déplacement des psychologues AFPA chargés de l'orientation vers Pôle Emploi depuis février 2010 ! Après une période d'incertitude complète de plus d'un mois, il semble qu'ils reçoivent à nouveau les jeunes candidats à une formation...Mais comment se traduit ce changement, concrètement ??..Mystère !
Autrefois, le service de l'AFPA chargé de recevoir les personnes et valider -ou non- leur entrée en formation se nommait le SOP (Service d'Orientation Professionnelle). Les jeunes qui s'y présentaient avaient intérêt à avoir un projet de formation qui tienne la route c'est à dire à être au minimum capable de parler des fonctions exercées dans le cadre de leur futur métier, l'idéal étant alors de l'avoir testé concrètement au préalable par le biais d'un stage de découverte de quelques jours.
Malheur à celui qui arrivait en disant "Je veux être maçon car j'aime bien ça..." pour tout argument.On le voyait revenir avec une fiche annotée "Doit valider le projet". Et retour à la case départ. Décourageant. Du coup, je validais à deux fois le projet : Stage + documentation complète sur le métier, histoire de pas se louper au moment de l'entretien au SOP.
Mais maintenant que les psychologues sont chez Popole, il faut voir ce qui va changer...
Mabulle pourra peut-être nous en dire plus si elle passe par là ??
Autre chose, chez nous, la mission locale positionne directement les jeunes sur le SOP AFPA par le biais d'une fiche, pas besoin de les envoyer chez popole pour ça. La seule obligation pour le jeune c'est de s'inscrire (ou se réinscrire) chez Pole Emploi au plus tard le jour de l'entretien SOP.
PS : Pole Emploi est déjà largement débordé par le nombre de demandeurs d'emploi adultes à suivre et accueillir, donc quand un jeune se présente, ils l'orientent presque systématiquement sur la mission locale. Mais normalement, ce doit être avec l'accord du jeune !..
Autrefois, le service de l'AFPA chargé de recevoir les personnes et valider -ou non- leur entrée en formation se nommait le SOP (Service d'Orientation Professionnelle). Les jeunes qui s'y présentaient avaient intérêt à avoir un projet de formation qui tienne la route c'est à dire à être au minimum capable de parler des fonctions exercées dans le cadre de leur futur métier, l'idéal étant alors de l'avoir testé concrètement au préalable par le biais d'un stage de découverte de quelques jours.
Malheur à celui qui arrivait en disant "Je veux être maçon car j'aime bien ça..." pour tout argument.On le voyait revenir avec une fiche annotée "Doit valider le projet". Et retour à la case départ. Décourageant. Du coup, je validais à deux fois le projet : Stage + documentation complète sur le métier, histoire de pas se louper au moment de l'entretien au SOP.
Mais maintenant que les psychologues sont chez Popole, il faut voir ce qui va changer...
Mabulle pourra peut-être nous en dire plus si elle passe par là ??
Autre chose, chez nous, la mission locale positionne directement les jeunes sur le SOP AFPA par le biais d'une fiche, pas besoin de les envoyer chez popole pour ça. La seule obligation pour le jeune c'est de s'inscrire (ou se réinscrire) chez Pole Emploi au plus tard le jour de l'entretien SOP.
PS : Pole Emploi est déjà largement débordé par le nombre de demandeurs d'emploi adultes à suivre et accueillir, donc quand un jeune se présente, ils l'orientent presque systématiquement sur la mission locale. Mais normalement, ce doit être avec l'accord du jeune !..
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RaoulPiconBière
Re: La galère des formations
Le DE :les psychologues sont chez Popole
- "Bonjour, depuis l'adolescence, je rêve de devenir branleur de dindon."
Le Psy :
- "c'est celâââ, ouiiii ....
Vous habitez chez vos parents ? "