FIN DE DROITS
-
Invité
FIN DE DROITS
LE GOUVERNEMENT ACTUEL AVAIT PROMIS AVANT FIN MARS 2010 DE RESOUDRE LES PROBLEMES DES FINS DE DROITS IL N'EN EST RIEN, AVEZ VOUS DES INFOS A CE SUJET.QUE FONT LES SYNDICATS QUI GERENT AVEC LES EMPLOYEURS POLE EMPLOI ?
-
maguy
Re: FIN DE DROITS
Désolée je suis obligée de sourireLE GOUVERNEMENT ACTUEL AVAIT PROMIS
Les promesses (pièges à gogos) n'engagent que ceux qui y croient, surtout en période électorale.Merci de ne pas écrire en majuscules
Re: FIN DE DROITS
De nouvelles "négociations" entre les "partenaires sociaux" et le cabinet du ministre délégué à l'Emploi doivent avoir lieu cet après-midi à Bercy :
http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches ... re_le.html
Des deux côtés, on précise que cette rencontre ne sera pas la dernière.... Bref, ça va traîner un moment et à la clé, aucune illusion à se faire.
http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches ... re_le.html
Des deux côtés, on précise que cette rencontre ne sera pas la dernière.... Bref, ça va traîner un moment et à la clé, aucune illusion à se faire.
-
LILAS91
Re: FIN DE DROITS
Comment peut-on encore faire confiance au gouvernement en place ?
Le traitement du chômage n'est pas la priorité première de ce chef d'ETAT.
D'années en années, les gens en fin de droit sont venus grossir les chiffres des gens "non inscrits" puisque non indemnisés. Ainsi, hors comptabilisé "chômeurs"..... Ce qui fait que le nombre de chômeurs déclarés actuellement n'est pas conforme à la réalité.
C'est bien pratique. On ne démoralise pas les autres. On cache, camoufle pour bien des raisons.
Les gens qui ne peuvent plus se loger, se nourir, se soigner.... quelle importance ?
La campagne présidentielle ne va pas tarder à se mettre en place (deux ans avant le jour J, en principe). Donc, il faut miser sur les "promesses" à tenir.
Attention, donc, aux promesses, aux milliers de promesses pour se faire à nouveau ELIRE !
Le traitement du chômage n'est pas la priorité première de ce chef d'ETAT.
D'années en années, les gens en fin de droit sont venus grossir les chiffres des gens "non inscrits" puisque non indemnisés. Ainsi, hors comptabilisé "chômeurs"..... Ce qui fait que le nombre de chômeurs déclarés actuellement n'est pas conforme à la réalité.
C'est bien pratique. On ne démoralise pas les autres. On cache, camoufle pour bien des raisons.
Les gens qui ne peuvent plus se loger, se nourir, se soigner.... quelle importance ?
La campagne présidentielle ne va pas tarder à se mettre en place (deux ans avant le jour J, en principe). Donc, il faut miser sur les "promesses" à tenir.
Attention, donc, aux promesses, aux milliers de promesses pour se faire à nouveau ELIRE !
-
maguy
Re: FIN DE DROITS
Il y a longtemps que je crois plus au pere noelAttention, donc, aux promesses, aux milliers de promesses pour se faire à nouveau ELIRE !
Et pourtant je suis sure qu'un tas de DE vont encore voter pour ce cloown meme pas drole
NB : desolee pour les accents je ne suis pas sur un clavier francais
Re: FIN DE DROITS
"Le gouvernement perd du temps", a déclaré l'inénarrable CFDT à l'issue de cette réunion.
En réalité, il serait plus exact de dire que le gouvernement cherche à en gagner sur ce dossier.
http://www.boursorama.com/international ... 8dcc8dc9c6
Une nouvelle réunion est prévue la semaine prochaine...
En réalité, il serait plus exact de dire que le gouvernement cherche à en gagner sur ce dossier.
http://www.boursorama.com/international ... 8dcc8dc9c6
Une nouvelle réunion est prévue la semaine prochaine...
-
maguy
Re: FIN DE DROITS
Si c'est la CFDT qui le dit 
Oui Diety, pas facile, je ne trouve plus les touches ni la ponctuation
Oui Diety, pas facile, je ne trouve plus les touches ni la ponctuation
-
SAM57
Fin de droits : les régions invitées à participer
Si le nombre global de chômeurs semble se stabiliser (+0,1% en février pour les demandeurs d'emploi de catégorie A, B et C), la question de la prise en charge des chômeurs en fin de droits reste entière. Et la promesse du secrétaire d'Etat à l'Emploi de mettre en place des "mesures opérationnelles" avant la fin du mois de mars semble désormais compromise.
La dernière réunion entre le ministère et les partenaires sociaux n'a en effet pas permis d'avancées significatives, chacun campant sur ses positions.
La divergence porte en premier lieu sur le périmètre de la question. Pour les syndicats, qui raisonnent en droits propres, les chômeurs en fin de droits correspondent à tous ceux qui n'ont plus de ressources propres à l'issue des périodes d'assurance et de solidarité, soit environ 360.000 personnes. Mais l'Etat propose de prendre en compte l'existence éventuelle de revenus du conjoint, ce qui ramène la population concernée entre 145.000 et 200.000 personnes.
Le second différend porte sur la nature de la prise en charge. Depuis que la question des fins de droits est sur le devant de la scène, Laurent Wauquiez défend une solution reposant avant tout sur l'activation de mesures en faveur du retour à l'emploi, à travers la mise en place de formations rémunérées et de contrats aidés. Le secrétaire d'Etat à l'Emploi s'était même dit prêt à y consacrer "plusieurs centaines de millions d'euros". Sans être opposés à ces propositions, les syndicats considèrent que celles-ci "ne pourront couvrir les 360.000 demandeurs d'emploi sans solution". Ils plaident donc pour des revenus de substitution : assouplissement des conditions d'accès à l'allocation de solidarité spécifique, ouverture de cette prestation aux jeunes de moins de 25 ans en fin de droits (sans les conditions de durée d'activité envisagées dans le cadre de l'extension du RSA aux jeunes actifs de moins de 25 ans, prévue pour septembre 2010), voire création d'une "allocation spécifique de crise", proposée par la CFDT...
La principale nouveauté de cette seconde séance de négociation réside toutefois dans l'appel aux régions lancé par Laurent Wauquiez. Considérant que les régions sont fortement impliquées dans le financement des dispositifs de formation, le secrétaire d'Etat chargé de l'Emploi veut associer les exécutifs régionaux aux réflexions sur la prise en charge des chômeurs en fin de droit. Il n'a toutefois pas précisé s'il comptait les inviter à la prochaine réunion de négociation, prévue dès la fin de la semaine prochaine. De son côté, les représentants des régions n'ont pas encore pris position sur cet appel du pied.
http://www.localtis.info/cs/ContentServ ... 0259663247
La dernière réunion entre le ministère et les partenaires sociaux n'a en effet pas permis d'avancées significatives, chacun campant sur ses positions.
La divergence porte en premier lieu sur le périmètre de la question. Pour les syndicats, qui raisonnent en droits propres, les chômeurs en fin de droits correspondent à tous ceux qui n'ont plus de ressources propres à l'issue des périodes d'assurance et de solidarité, soit environ 360.000 personnes. Mais l'Etat propose de prendre en compte l'existence éventuelle de revenus du conjoint, ce qui ramène la population concernée entre 145.000 et 200.000 personnes.
Le second différend porte sur la nature de la prise en charge. Depuis que la question des fins de droits est sur le devant de la scène, Laurent Wauquiez défend une solution reposant avant tout sur l'activation de mesures en faveur du retour à l'emploi, à travers la mise en place de formations rémunérées et de contrats aidés. Le secrétaire d'Etat à l'Emploi s'était même dit prêt à y consacrer "plusieurs centaines de millions d'euros". Sans être opposés à ces propositions, les syndicats considèrent que celles-ci "ne pourront couvrir les 360.000 demandeurs d'emploi sans solution". Ils plaident donc pour des revenus de substitution : assouplissement des conditions d'accès à l'allocation de solidarité spécifique, ouverture de cette prestation aux jeunes de moins de 25 ans en fin de droits (sans les conditions de durée d'activité envisagées dans le cadre de l'extension du RSA aux jeunes actifs de moins de 25 ans, prévue pour septembre 2010), voire création d'une "allocation spécifique de crise", proposée par la CFDT...
La principale nouveauté de cette seconde séance de négociation réside toutefois dans l'appel aux régions lancé par Laurent Wauquiez. Considérant que les régions sont fortement impliquées dans le financement des dispositifs de formation, le secrétaire d'Etat chargé de l'Emploi veut associer les exécutifs régionaux aux réflexions sur la prise en charge des chômeurs en fin de droit. Il n'a toutefois pas précisé s'il comptait les inviter à la prochaine réunion de négociation, prévue dès la fin de la semaine prochaine. De son côté, les représentants des régions n'ont pas encore pris position sur cet appel du pied.
http://www.localtis.info/cs/ContentServ ... 0259663247
-
LILAS91
Re: FIN DE DROITS
A SAM 57
Votre post est très concret.
Mais voilà, les formations ne seront ouvertes qu'à une population pré-sélectionnée. Aussi les 50 ans n'y trouveront aucune réponse.
Le CONSEIL GENERAL a d'ailleurs déjà beaucoup de mal avec toutes les factures qui lui incombent, avec en recettes en moins : la taxe professionnelle.
D'où viendra l'argent pour financer ces "formations" ?
Les réformes des formations sont encore du "tape à l'oeil". Il faut encore savoir si elles "préparent" bien "au futur poste". Chacun sait que chaque entreprise se définit son poste : avec ses découpages de tâches, ses réorganisations permanentes... alors que des D.E. se voient refuser des formations justes pour s'accaparer des nouvelles technologies. par ex. MISSLER pour un turner, de 54 ans..... qu'il a vraiment besoin pour entrer dans les entreprises afin de poursuivre sa carrière.... se voit refuser cette formation de 6 000 euros pour 3 jours. Mme X , qui comptable, se voit refuser la formation à un logiciel désormais très pratiqué.... et tous les autres.... Il suffirait ce petit peu pour maintenir ces personnes à l'emploi..... mais on refuse le peu pour que ces gens puissent vivre dignement. L'ETAT et le CONSEIL GENERAL savent qu'à partir d'un certain âge il est inutile d'investir pour ces gens-là !
Donc, les disparités demeureront et les inégalités se reporteront indéfiniment.
Qui mettra bonne ordre à ces injustices sociales ?
On ne connaît que les formations aux "services à la personne", le "bâtiment", ...
Il faut arrêter de concentrer la seule activité possible sur ces secteurs qui n'intéressent personnes, ou infiniment peu.
A croire, que les seuls projets professionnels constructibles ne soient que là.
Les POLITIQUES ont les horizons "bouchés", et ils sont "largement écoutés" par les gens de terrain qui accompagnent ces projets.
Votre post est très concret.
Mais voilà, les formations ne seront ouvertes qu'à une population pré-sélectionnée. Aussi les 50 ans n'y trouveront aucune réponse.
Le CONSEIL GENERAL a d'ailleurs déjà beaucoup de mal avec toutes les factures qui lui incombent, avec en recettes en moins : la taxe professionnelle.
D'où viendra l'argent pour financer ces "formations" ?
Les réformes des formations sont encore du "tape à l'oeil". Il faut encore savoir si elles "préparent" bien "au futur poste". Chacun sait que chaque entreprise se définit son poste : avec ses découpages de tâches, ses réorganisations permanentes... alors que des D.E. se voient refuser des formations justes pour s'accaparer des nouvelles technologies. par ex. MISSLER pour un turner, de 54 ans..... qu'il a vraiment besoin pour entrer dans les entreprises afin de poursuivre sa carrière.... se voit refuser cette formation de 6 000 euros pour 3 jours. Mme X , qui comptable, se voit refuser la formation à un logiciel désormais très pratiqué.... et tous les autres.... Il suffirait ce petit peu pour maintenir ces personnes à l'emploi..... mais on refuse le peu pour que ces gens puissent vivre dignement. L'ETAT et le CONSEIL GENERAL savent qu'à partir d'un certain âge il est inutile d'investir pour ces gens-là !
Donc, les disparités demeureront et les inégalités se reporteront indéfiniment.
Qui mettra bonne ordre à ces injustices sociales ?
On ne connaît que les formations aux "services à la personne", le "bâtiment", ...
Il faut arrêter de concentrer la seule activité possible sur ces secteurs qui n'intéressent personnes, ou infiniment peu.
A croire, que les seuls projets professionnels constructibles ne soient que là.
Les POLITIQUES ont les horizons "bouchés", et ils sont "largement écoutés" par les gens de terrain qui accompagnent ces projets.
-
maguy
Re: FIN DE DROITS
Forcément, puisqu'ils y trouvent leur intérêt !ils sont "largement écoutés" par les gens de terrain qui accompagnent ces projets.
-
LILAS91
Re: FIN DE DROITS
Ce qui est regrettable : le peuple ne conteste pas ce genre de pratique plus que cela.
Pour quelques euros, les gens sont près à obéir à n'importe quoi.
C'est pour ces quelques euros, que les gens sont tenus et font tourner ces "boutiques" bidons de l'insertion, du outplacement et autres...
Les bilans de compétences : formule née du début des années 90, par l'illustre Claude LEVY-LEBOYER....
parce que massivement les DRH se sont trouvés vidés de leur boîte. Un intérêt : faire travailler ces gens....
Quand les ouvriers se trouvent massivement sur le carreau parce que la FRANCE s'est considérablement dé-industrialisée, qu'avons-nous proposé à ces personnes ?
Pour quelques euros, les gens sont près à obéir à n'importe quoi.
C'est pour ces quelques euros, que les gens sont tenus et font tourner ces "boutiques" bidons de l'insertion, du outplacement et autres...
Les bilans de compétences : formule née du début des années 90, par l'illustre Claude LEVY-LEBOYER....
parce que massivement les DRH se sont trouvés vidés de leur boîte. Un intérêt : faire travailler ces gens....
Quand les ouvriers se trouvent massivement sur le carreau parce que la FRANCE s'est considérablement dé-industrialisée, qu'avons-nous proposé à ces personnes ?
-
LILAS91
Re: FIN DE DROITS
"Fins de droits, fins de devoirs"
c'est clair :
fin de droits à toucher une allocation quelconque. Si votre conjoint(e), il y a, vous êtes à ses crochets.... Sinon, RMA.
Les devoirs vous en aurez toujours.... puisque le RMA est assorties d'obligations en tout genre... et vous tournez en rond.... (population que nous sommes, tous exposés).
Et le RMA est la petite allocation que vous percevrez si vous acceptez d'accomplir toutes les tâches ingrates de la société. Vous ne le vouliez pas avant, là, maintenant VOUS ETES OBLIGEE.
Pas de choix : si d'une façon (volontaire) vous ne vouliez pas, d'une façon obligée, vous le ferez quand même !
VOUS RESIGNER A TRAVAILLER EN MAISON DE RETRAITE POUR VOIR MOURIR LES PERSONNES, LES ASSISTER JUSQU'A LEUR MORT.
c'est clair :
fin de droits à toucher une allocation quelconque. Si votre conjoint(e), il y a, vous êtes à ses crochets.... Sinon, RMA.
Les devoirs vous en aurez toujours.... puisque le RMA est assorties d'obligations en tout genre... et vous tournez en rond.... (population que nous sommes, tous exposés).
Et le RMA est la petite allocation que vous percevrez si vous acceptez d'accomplir toutes les tâches ingrates de la société. Vous ne le vouliez pas avant, là, maintenant VOUS ETES OBLIGEE.
Pas de choix : si d'une façon (volontaire) vous ne vouliez pas, d'une façon obligée, vous le ferez quand même !
VOUS RESIGNER A TRAVAILLER EN MAISON DE RETRAITE POUR VOIR MOURIR LES PERSONNES, LES ASSISTER JUSQU'A LEUR MORT.
-
mabulle
Re: FIN DE DROITS
à lilas :
conseil régional, pas conseil général
RSA, pas RMA
la taxe professionnelle revenait aux communes, pas aux départements (conseil général)
a++
conseil régional, pas conseil général
RSA, pas RMA
la taxe professionnelle revenait aux communes, pas aux départements (conseil général)
a++