De toute facon pour un patron un Eremiste est un tricheur, profiteur, improductif et un boulet (puisqu il ne consomme pas beaucoup et qu'il profite des taxes à son profit) car il ne veut pas travailler pour un salaire de chinois lorsque le bon patron consent à lui donner quelques heures d'un travail que les autres ne veulent pas, ce n'est pas le probleme du patron si le salaire versé est tellement bas qu'un travailleur ne puisse se loger: s'il veut bien bouffer et avoir un logis, ce "faineant" n'a qu a créer son entreprise et le bon patron a envie d ajouter mais il ne le peu pas car ce n'est pas politiquement correct: "pas de boulot pas de nourriture"
La plupart des gens comme une "sorte de complexe de Stockholm" finissent pas penser comme le bon patron (les medias n'y sont pas pour rien cest vrai), je ne serais pas etonne qu on commence à voir des purges de precaires (au debut du XX eme siecle, la populace francaise tuaient parfois des italiens,polonais immigres qui etaient vus comme des parasites, "ils volent le travail des francais" dans une periode tres difficile pour le proletariat, je ne serais pas etonne que ce genre de chose survienne si la situation devenait vraiment critique)
Pendant qu'on detourne l attention sur les" chomeurs voleurs" on ne pense pas à exiger un emploi digne et on ne remarque pas que les mêmes continuent à s'en foutent plein les poches
à notre barbe et sur la misere quils organisent rationnellement.
Ils continuent àse goinfrer pendant que la suspicion grandit
C'est encore plus simple que cela : y a ceux qui ont le pouvoir et ceux qui ne l'ont pas.
Ceux qui disposent des moyens ou de la position nécessaire pour faire ou défaire et ceux qui ne peuvent que subir...
Après, on peut psalmodier des mantras à la couet (à la con?) du genre, quand on veut, on peut, ou d'autres banalités affligeantes de cet acabis, mais dans le fond, tout est là : qui a le pouvoir?
Ceux qui disposent des moyens ou de la position nécessaire pour faire ou défaire et ceux qui ne peuvent que subir...
Après, on peut psalmodier des mantras à la couet (à la con?) du genre, quand on veut, on peut, ou d'autres banalités affligeantes de cet acabis, mais dans le fond, tout est là : qui a le pouvoir?