La revalorisation du travail.... J'ai entendu ça - il y a moment maintenant - de l'autre coté, quand il y avait encore un rideau de fer et un mur à Berlin.
Les gens que je rencontrais avaient une boutade:
" Tant qu'ils feront semblant de me payer, je ferai semblant de travailler"
Ce que je lis ici me rappelle ces gens piégés dans une situation qui les dépasse et contre laquelle ils ne peuvent rien....
La revalorisation du travail
La faucille et le marteau
Le travail était la plus haute valeur célébrée dans les pays dits "socialistes" avant la chute, mais les " travailleurs" eux- meme ne profitaient guère du système:
Quand cela est devenu évident pour tout le monde, le système s'est effondré.
Quand le"travailleur" en France a du mal à vivre de son travail sans les multiples allocations bureaucratiquement distribuées, il sent bien qu'il n'a pas son destin entre ses mains:
Alors sa motivation en prend un coup: S'il est au bas de l'échelle la tentation est grande de se réfugier dans une certaine passivité, meme si l'assistance ne procure qu'une survie médiocre, il aura moins l'impression de se faire avoir que s'il obtenait le meme niveau de vie en s'engageant.
L'absence de perspectives et des salaires trop faibles sont des facteurs de démotivation puissants chez tous ceux qui ne peuvent partir pour chercher fortune ailleurs: ce que font de nombreux jeunes, éduqués et libres d'attaches familiales.
Les memes causes produisent donc des symptomes différents, mais le résultat est inéluctable: le système est condamné.
Cette remise en cause crispe les castes gagnantes du système: Tous ceux qui ont des positions assises et acquises: Fortunes en tout genre, mais aussi professions protégées, innombrables "status" qui empechent la mobilité sociale et multiplient les exclus pour garder aux castes supérieures leur part d' un gateau de plus en plus petit.
Il n'y a qu' à observer la panade politique dans laquelle se trouve un pays ou chaque majorité se fait battre aux élections qui suivent.....
Ca va forcément chahuter.
Quand cela est devenu évident pour tout le monde, le système s'est effondré.
Quand le"travailleur" en France a du mal à vivre de son travail sans les multiples allocations bureaucratiquement distribuées, il sent bien qu'il n'a pas son destin entre ses mains:
Alors sa motivation en prend un coup: S'il est au bas de l'échelle la tentation est grande de se réfugier dans une certaine passivité, meme si l'assistance ne procure qu'une survie médiocre, il aura moins l'impression de se faire avoir que s'il obtenait le meme niveau de vie en s'engageant.
L'absence de perspectives et des salaires trop faibles sont des facteurs de démotivation puissants chez tous ceux qui ne peuvent partir pour chercher fortune ailleurs: ce que font de nombreux jeunes, éduqués et libres d'attaches familiales.
Les memes causes produisent donc des symptomes différents, mais le résultat est inéluctable: le système est condamné.
Cette remise en cause crispe les castes gagnantes du système: Tous ceux qui ont des positions assises et acquises: Fortunes en tout genre, mais aussi professions protégées, innombrables "status" qui empechent la mobilité sociale et multiplient les exclus pour garder aux castes supérieures leur part d' un gateau de plus en plus petit.
Il n'y a qu' à observer la panade politique dans laquelle se trouve un pays ou chaque majorité se fait battre aux élections qui suivent.....
Ca va forcément chahuter.