
bravo!
Re: bravo!
Merci Cécile, ça fait toujours plaisir.
Et comme je n'avais pas répondu à ton MP, j'en profite pour le faire ici… aux yeux de toutes et tous.
Cette période est un peu "particulière" (nous en avons connu d'autres assez pénibles). Nous cherchons notre second souffle après 5 années d'un travail acharné, mené en bénévolat, au forceps.
Nous savons que "continuer à avancer" est le seul moteur de notre engagement… qui marque le pas en ce moment.
Ceci est du, pour l'essentiel, à la chute vertigineuse de notre audience, liée à notre absence de référencement sur Google (depuis le changement de site). Et, comme je l'ai déjà exprimé ailleurs, moins de visiteurs, c'est moins de lecteurs (donc - quelque part - une remise en cause de notre investissement à rédiger des articles, à compléter des dossiers, à se battre sur des thèmes peu mobilisateurs…).
Et moins de visiteurs, c'est aussi moins de ressources financières, moins d'adhésions à l'association. Et se posera sous peu (avant la fin de l'année) la question de savoir comment assurer notre financement en 2010.
Et là, c'est un GROS POINT D'INTERROGATION !!!
Ceci rajouté à cela, ça plombe un peu l'ambiance !
On n'est pas en boîte de nuit !
Et comme la conjoncture (politique et militante) n'est pas super favorable en ce moment (peu de mobilisations, peu de revendications exprimées, peu de combats menés…), on a l'impression de "pédaler dans la semoule"
On ne fait pas une promenade à vélo !
Nous portons (collectivement et individuellement) un engagement lourd, sur des sujets pas vraiment "fun"
On n'est pas au Club Med !
Et faute de perspectives, ça use le moral !
Donc, il faut laisser passer l'orage… Faut essayer de continuer… en attendant l'éclaircie.
@plus
Yves
Et comme je n'avais pas répondu à ton MP, j'en profite pour le faire ici… aux yeux de toutes et tous.
Cette période est un peu "particulière" (nous en avons connu d'autres assez pénibles). Nous cherchons notre second souffle après 5 années d'un travail acharné, mené en bénévolat, au forceps.
Nous savons que "continuer à avancer" est le seul moteur de notre engagement… qui marque le pas en ce moment.
Ceci est du, pour l'essentiel, à la chute vertigineuse de notre audience, liée à notre absence de référencement sur Google (depuis le changement de site). Et, comme je l'ai déjà exprimé ailleurs, moins de visiteurs, c'est moins de lecteurs (donc - quelque part - une remise en cause de notre investissement à rédiger des articles, à compléter des dossiers, à se battre sur des thèmes peu mobilisateurs…).
Et moins de visiteurs, c'est aussi moins de ressources financières, moins d'adhésions à l'association. Et se posera sous peu (avant la fin de l'année) la question de savoir comment assurer notre financement en 2010.
Et là, c'est un GROS POINT D'INTERROGATION !!!
Ceci rajouté à cela, ça plombe un peu l'ambiance !

Et comme la conjoncture (politique et militante) n'est pas super favorable en ce moment (peu de mobilisations, peu de revendications exprimées, peu de combats menés…), on a l'impression de "pédaler dans la semoule"

Nous portons (collectivement et individuellement) un engagement lourd, sur des sujets pas vraiment "fun"

Et faute de perspectives, ça use le moral !
Donc, il faut laisser passer l'orage… Faut essayer de continuer… en attendant l'éclaircie.
@plus
Yves
Re: bravo!
C'est indispensable !! Je ne vais pas raconter ma vie, mais ma lutte contre le chômage m' amené aussi à des moments de désespérance. Mais je me suis toujours dit : je préfère crever debout que vivre à genoux.Donc, il faut laisser passer l'orage… Faut essayer de continuer… en attendant l'éclaircie.
Re: bravo!
je préfère crever debout que vivre à genoux."(quote Nanard)
Sauf qu'il ya des moments dans la vie de militant où le decouragement devant la lacheté et l'egoisme humain est tel qu'il faut se refugier dans sa tanière et ne plus regarder le monde.
Mais, heureusement quand on a gouté au militantisme, on y revient comme on renait de ses cendres, et qu'il y a aussi dans la vie de militants des moments d'intensité et de vibrations intenses qui disent " mon combat n'a pas été vain, " et où l'on se reconcilie avec l'espèce humaine.
Ne jamais rompre la chaine de tous ceux qui luttent à leur modeste niveau .
Sauf qu'il ya des moments dans la vie de militant où le decouragement devant la lacheté et l'egoisme humain est tel qu'il faut se refugier dans sa tanière et ne plus regarder le monde.
Mais, heureusement quand on a gouté au militantisme, on y revient comme on renait de ses cendres, et qu'il y a aussi dans la vie de militants des moments d'intensité et de vibrations intenses qui disent " mon combat n'a pas été vain, " et où l'on se reconcilie avec l'espèce humaine.
Ne jamais rompre la chaine de tous ceux qui luttent à leur modeste niveau .