Le chômage est voulu et planifié. Le NAIRU en est la clé...
Le chômage est voulu et planifié. Le NAIRU en est la clé...
Bonjour à toutes et tous.
Je me joins à votre forum pour vous informer de la création le 4 Septembre d'un blog intitulé: "NAIRU, le Nom de la Ruse: la face cachée du chômage".
Sur ce blog, je défends la thèse que le chômage tel que nous le connaissons est en fait clairement voulu aux plus hauts niveaux de décision du système économique en place, et ce dans l'ignorance totale du grand public.
LE NAIRU, dont la traduction française est le "Taux de chômage minimum qui n'accélère pas l'inflation" est totalement ignoré de tous. Eh oui, pour que l'inflation reste stable, il faut du chômage, et pas qu'un peu... Véritable Diable moderne, le chômage est en fait utilisé et intrumentalisé pour faire peur aux salariés et les rendre plus dociles...
Cela fait près d'une année que je mène une enquête très fouillée sur le sujet, et ce blog en est la partie émergée. Au fil des articles, il vous mènera dans la compréhension de ce qui ressemble à une terrible mascarade aux intérêts bien compris... A l'heure où les discours vont dans le sens d'une culpabilisation toujours plus stigmatisante d'un chômeur supposé responsable de son sort, cette analyse est un contrepoint capital sur lequel nous devons demander des comptes à nos dirigeants.
Le blog est en cours de construction, il évolue au quotidien, et certains d'entre vous en auront peut-être entendu parler puisque j'ai laissé la semaine dernière deux messages sur le répondeur de Daniel Mermet (Là bas si j'y suis, sur France Inter).
N'hésitez pas à venir le consulter, à lire, à chercher par vous même (tapez "NAIRU" sur Google et vous verrez que le NAIRU est bien omni-présent dans certains milieux).
Par ailleurs, je suis à votre disposition sur ce forum pour répondre à vos questions. Mon mail est sur le blog, au cas où...
L'ADRESSE: http://lenairu.blogspot.com
Cordialement et à bientôt
Guillaume de Baskerville (vous verrez pourquoi...)
Je me joins à votre forum pour vous informer de la création le 4 Septembre d'un blog intitulé: "NAIRU, le Nom de la Ruse: la face cachée du chômage".
Sur ce blog, je défends la thèse que le chômage tel que nous le connaissons est en fait clairement voulu aux plus hauts niveaux de décision du système économique en place, et ce dans l'ignorance totale du grand public.
LE NAIRU, dont la traduction française est le "Taux de chômage minimum qui n'accélère pas l'inflation" est totalement ignoré de tous. Eh oui, pour que l'inflation reste stable, il faut du chômage, et pas qu'un peu... Véritable Diable moderne, le chômage est en fait utilisé et intrumentalisé pour faire peur aux salariés et les rendre plus dociles...
Cela fait près d'une année que je mène une enquête très fouillée sur le sujet, et ce blog en est la partie émergée. Au fil des articles, il vous mènera dans la compréhension de ce qui ressemble à une terrible mascarade aux intérêts bien compris... A l'heure où les discours vont dans le sens d'une culpabilisation toujours plus stigmatisante d'un chômeur supposé responsable de son sort, cette analyse est un contrepoint capital sur lequel nous devons demander des comptes à nos dirigeants.
Le blog est en cours de construction, il évolue au quotidien, et certains d'entre vous en auront peut-être entendu parler puisque j'ai laissé la semaine dernière deux messages sur le répondeur de Daniel Mermet (Là bas si j'y suis, sur France Inter).
N'hésitez pas à venir le consulter, à lire, à chercher par vous même (tapez "NAIRU" sur Google et vous verrez que le NAIRU est bien omni-présent dans certains milieux).
Par ailleurs, je suis à votre disposition sur ce forum pour répondre à vos questions. Mon mail est sur le blog, au cas où...
L'ADRESSE: http://lenairu.blogspot.com
Cordialement et à bientôt
Guillaume de Baskerville (vous verrez pourquoi...)
Le nom de la ruse

MERCI infiniment, Messer Guillaume.
Le chômage est un formidable laboratoire d'expérimentation sociale, et - vu l'inertie et l'ignorance conjuguées des salariés et privés d'emploi - un excellent moyen de pression pour casser le Code du travail et faire baisser, baisser, baisser les salaires...
Mais les salariés et les syndicats n'en ont cure ! Dans l'esprit Moi je, Moi je, Moi je : à d'autres !
Le 4 octobre, ils vont tous défiler entre eux au nom des salaires et du pouvoir d'achat, en méprisant les chômeurs et les précaires, ces "gueux" que tout le monde craint et que personne ne défend.
Mais TOUS LES SALARIÉS SONT DES FUTURS CHÔMEURS & PRÉCAIRES, qu'on se le dise ! Faire du déni de réalité et être d'accord sur des procédés qu'on refuserait de faire appliquer à soi-même - hormis la lâcheté - ne sert à rien sinon accélérer le processus.
Et attention : en France il n'y a maintenant que 8% de syndiqués, mais au moins 10% de chômeurs (les "officiels").
Notre ami Gérard en parle aussi copieusement dans son livre Chômage senior : Abécédaire de l'indifférence => son chapitre L comme Libéralisme (et son impact sur le chômage dont le fameux NAIRU) est très convaincant et dégoûterait n'importe quel gaulliste, même néo.
Merci GdB de ton intervention ! Reviens quand tu veux !

Le gouvernement le connait depuis longtemps
Il suffit d'aller voir le site officiel du sénat pour découvrir entre autre ceci:
Le chômage est donc bien voulu et entretenu par nos dirigeants.
C'est donc bien indiqué, un taux de chômage doit être volontairement maintenu pour éviter une accélération de l'inflation.Il existe un niveau du chômage en dessous duquel apparaissent des tensions sur le marché du travail, des difficultés de recrutement et donc des revendications qui tendent à accélérer l'évolution des salaires et des prix ; ce niveau de chômage « accélérateur d'inflation »12(*) est actuellement estimé pour la France par la plupart des institutions économiques (OCDE ou Direction de la prévision) autour de 9 %. Donc, en première analyse, on pourrait craindre que le passage du chômage effectif en dessous de ce seuil n'entraîne des tensions inflationnistes
<* 12 Ou NAIRU pour « Non Accelerating Inflation> Rate of Unemployment »
Le chômage est donc bien voulu et entretenu par nos dirigeants.
Extrait :
" ... Violente, cette charge antilibérale ? Qui ne connaît pas le NAIRU ne sait pas ce que « violent » veut dire !
NAIRU est un acronyme anglo-saxon pour « Non Accelerating Inflation Rate », c'est à dire « taux de chômage non accélérateur d'inflation ». Il s'agit du « taux de chômage en deçà duquel les salaires s'accélèrent. Comme une accélération des salaires suscite une augmentation de l'inflation, il n'est pas possible d'avoir un taux de chômage durablement inférieur à ce taux (d'où son assimilation fréquente au chômage structurel) ».
Comme il serait rassurant de croire qu'il ne s'agirait là que du « délire » d'un économiste d'outre-atlantique ! Hélas cette définition est tirée du glossaire d'un très officiel rapport du Sénat, dans lequel la définition du « chômage classique » donne le ton :
…
Chômage classique : chômage correspondant à des personnes qui ne parviennent pas à trouver un emploi à cause d'une trop faible productivité horaire potentielle.
Chômage conjoncturel (ou keynésien) : chômage correspondant à des personnes qui ne parviennent pas à trouver un emploi à cause d'une activité économique insuffisante.
Chômage frictionnel : chômage correspondant à des personnes trouvant rapidement un emploi (en quelques mois).
Chômage keynésien : cf. chômage conjoncturel.
Chômage non accélérateur d'inflation (taux de) : taux de chômage en deçà duquel les salaires s'accélèrent. Comme une accélération des salaires suscite une augmentation de l'inflation, il n'est pas possible d'avoir un taux de chômage durablement inférieur à ce taux (d'où son assimilation fréquente au chômage structurel). L'acronyme anglo-saxon NAIRU (Non Accelerating Inflation Rate) est souvent utilisé.
Chômage structurel : chômage ne pouvant être résorbé par la seule croissance du PIB. On l'assimile généralement au NAIRU.
Chômage volontaire : chômage correspondant à des personnes ne voulant pas travailler à cause d'un gain potentiel de revenu jugé trop faible.
…
Joël Bourdin, « Le retour au plein emploi ? », Rapport d’information 345 (2000-2001), délégation du Sénat pour la planification.
Déjà en octobre 1996, un conseiller d’Alain Juppé, alors Premier ministre, déclarait : « Dans la conjoncture actuelle, il n’y a que la pression du chômage qui évite une embardée sociale. Une amélioration sur le terrain de l’emploi entraînerait fatalement une pression salariale que le pays ne peut se payer. » ... "
Chômage senior ; Abécédaire de l'indifférence
L'Harmattan, septembre 2005
" ... Violente, cette charge antilibérale ? Qui ne connaît pas le NAIRU ne sait pas ce que « violent » veut dire !
NAIRU est un acronyme anglo-saxon pour « Non Accelerating Inflation Rate », c'est à dire « taux de chômage non accélérateur d'inflation ». Il s'agit du « taux de chômage en deçà duquel les salaires s'accélèrent. Comme une accélération des salaires suscite une augmentation de l'inflation, il n'est pas possible d'avoir un taux de chômage durablement inférieur à ce taux (d'où son assimilation fréquente au chômage structurel) ».
Comme il serait rassurant de croire qu'il ne s'agirait là que du « délire » d'un économiste d'outre-atlantique ! Hélas cette définition est tirée du glossaire d'un très officiel rapport du Sénat, dans lequel la définition du « chômage classique » donne le ton :
…
Chômage classique : chômage correspondant à des personnes qui ne parviennent pas à trouver un emploi à cause d'une trop faible productivité horaire potentielle.
Chômage conjoncturel (ou keynésien) : chômage correspondant à des personnes qui ne parviennent pas à trouver un emploi à cause d'une activité économique insuffisante.
Chômage frictionnel : chômage correspondant à des personnes trouvant rapidement un emploi (en quelques mois).
Chômage keynésien : cf. chômage conjoncturel.
Chômage non accélérateur d'inflation (taux de) : taux de chômage en deçà duquel les salaires s'accélèrent. Comme une accélération des salaires suscite une augmentation de l'inflation, il n'est pas possible d'avoir un taux de chômage durablement inférieur à ce taux (d'où son assimilation fréquente au chômage structurel). L'acronyme anglo-saxon NAIRU (Non Accelerating Inflation Rate) est souvent utilisé.
Chômage structurel : chômage ne pouvant être résorbé par la seule croissance du PIB. On l'assimile généralement au NAIRU.
Chômage volontaire : chômage correspondant à des personnes ne voulant pas travailler à cause d'un gain potentiel de revenu jugé trop faible.
…
Joël Bourdin, « Le retour au plein emploi ? », Rapport d’information 345 (2000-2001), délégation du Sénat pour la planification.
Déjà en octobre 1996, un conseiller d’Alain Juppé, alors Premier ministre, déclarait : « Dans la conjoncture actuelle, il n’y a que la pression du chômage qui évite une embardée sociale. Une amélioration sur le terrain de l’emploi entraînerait fatalement une pression salariale que le pays ne peut se payer. » ... "
Chômage senior ; Abécédaire de l'indifférence
L'Harmattan, septembre 2005
le gros mensonge, dans leur chomage voulue, c'est de dire que s'il baissait ça engendrerait obligatoirement une inflation.
dans le cadre d'une repartition + equitable des richesses, et du travail, cela s'averre totalement faux, ça obligerait simplement a distribuer le fruit du travail de chacun à qui de droit, et non plus à engraisser des capitalistes et autres picsous, ce qui n'augmenterait en rien donc le cout global de fonctionnement et donc des produits de consommation.
dans le cadre d'une repartition + equitable des richesses, et du travail, cela s'averre totalement faux, ça obligerait simplement a distribuer le fruit du travail de chacun à qui de droit, et non plus à engraisser des capitalistes et autres picsous, ce qui n'augmenterait en rien donc le cout global de fonctionnement et donc des produits de consommation.
Non, ce qu'ils veulent dire, c'est que sans la trouille que le chômage colle aux salariés, la plupart refuseraient de bosser à des salaires indignes.
De la même manière que sans la peur du terrorisme, la plupart des gens refuseraient de voir leur liberté sans cesse restreinte.
Le gouvernement par la peur : dictature.
D'un autre côté, toute arme a son double tranchant. Par exemple, il faut absolument que TOUS les chômeurs aient un revenu même pourri, quelque chose à perdre, quelque chose qui les maintienne dans la peur.
Parce que depuis que je n'ai plus rien, JE N'AI PLUS PEUR!
Plus de sanction possible, puisque je n'ai même plus le droit de vivre, plus rien à perdre... d'un seul coup, je me rend compte que tout est possible... dangeureux, non?
De la même manière que sans la peur du terrorisme, la plupart des gens refuseraient de voir leur liberté sans cesse restreinte.
Le gouvernement par la peur : dictature.
D'un autre côté, toute arme a son double tranchant. Par exemple, il faut absolument que TOUS les chômeurs aient un revenu même pourri, quelque chose à perdre, quelque chose qui les maintienne dans la peur.
Parce que depuis que je n'ai plus rien, JE N'AI PLUS PEUR!
Plus de sanction possible, puisque je n'ai même plus le droit de vivre, plus rien à perdre... d'un seul coup, je me rend compte que tout est possible... dangeureux, non?
AU DELA DES DEFINITIONS DU NAIRU...
... qui sont pourtant déjà révélatrices de l'esprit de la chose, c'est aspect opérationnel du NAIRU qui surprend quand on creuse comme je le fais depuis de nombreux mois le sujet.
Il faut traîner dans les nombreux documents souvents obscurs des études des économistes (moultes équations, documents souvent en anglais) pour se rendre compte que c'est tout l'édifice théorique actuel de pilotage de la macro-économie (en particulier européenne) qui repose sur ces deux piliers fondamentaux: la pression sur le marché du travail par le chômage et la soi-disant lutte contre l'inflation qui là aussi est en fait un leurre dont je présenterai le mécanisme sur un autre Blog d'ici quelque temps.
Mais le principe actif de cette pression est la PEUR, le chômage n'en est qu'un moyen, sans doute le plus efficace dans une société de consommation de masse salariée à 90%.
Le chômage est lui même en fait un moyen dans une catégorie plus large que l'on peut appeler "l'insécurité économique", et dans laquelle la précarité organisée est un outsider qui est en train de monter en flèche car plus intéressante et diffuse (moins visible statistiquement) au moment des échéances électorales. Mais tout ceci vise la même chose: créer de la PEUR et du "contrôle social".
Comme en son temps avec l'Eglise et le Diable (Dia-bolos, celui qui divise!). LA cible, ce ne sont plus les fidèles, ce sont les salariés. Les chômeurs, eux, en sont l'outil principal. C'est peut-être pour cela (et au-delà de la fabrique de l'opinion par les sondages opportuns) qu'en retour, les salariés le sentent inconsciemment et manifestent des signes (inquiétants) mais je crois réels de critique à l'égard des chômeurs. Le phénomène de bouc émissaire n'est malheureusement pas nouveau...
Pourtant, souvent, et comme le disait le rappeur, "Le véritable ennemi n'est pas celui contre lequel on se bat, mais celui qui profite des dégâts"
Il est difficile d'expliquer le fonctionnement de cette logique économique en quelques lignes (même si instinctivement, beaucoup la perçoivent). Elle remonte au final à toute la logique de contrôle de création monétaire (par la BCE), à la compréhension de ce qu'est la "croissance potentielle" par exemple (terme très utilisé actuellement), et bien d'autres choses. Je ne suis pas économiste, et je ne crois pas qu'il faille être économiste pour expliciter cela. Surtout pas. Car aucun de ces économistes abonnés aux talks shows lucratifs ne veut être celui par qui le scandale arrive...
Guillaume de Baskerville
LE BLOG DU NAIRU: http://lenairu.blogspot.com
Il faut traîner dans les nombreux documents souvents obscurs des études des économistes (moultes équations, documents souvent en anglais) pour se rendre compte que c'est tout l'édifice théorique actuel de pilotage de la macro-économie (en particulier européenne) qui repose sur ces deux piliers fondamentaux: la pression sur le marché du travail par le chômage et la soi-disant lutte contre l'inflation qui là aussi est en fait un leurre dont je présenterai le mécanisme sur un autre Blog d'ici quelque temps.
Mais le principe actif de cette pression est la PEUR, le chômage n'en est qu'un moyen, sans doute le plus efficace dans une société de consommation de masse salariée à 90%.
Le chômage est lui même en fait un moyen dans une catégorie plus large que l'on peut appeler "l'insécurité économique", et dans laquelle la précarité organisée est un outsider qui est en train de monter en flèche car plus intéressante et diffuse (moins visible statistiquement) au moment des échéances électorales. Mais tout ceci vise la même chose: créer de la PEUR et du "contrôle social".
Comme en son temps avec l'Eglise et le Diable (Dia-bolos, celui qui divise!). LA cible, ce ne sont plus les fidèles, ce sont les salariés. Les chômeurs, eux, en sont l'outil principal. C'est peut-être pour cela (et au-delà de la fabrique de l'opinion par les sondages opportuns) qu'en retour, les salariés le sentent inconsciemment et manifestent des signes (inquiétants) mais je crois réels de critique à l'égard des chômeurs. Le phénomène de bouc émissaire n'est malheureusement pas nouveau...
Pourtant, souvent, et comme le disait le rappeur, "Le véritable ennemi n'est pas celui contre lequel on se bat, mais celui qui profite des dégâts"
Il est difficile d'expliquer le fonctionnement de cette logique économique en quelques lignes (même si instinctivement, beaucoup la perçoivent). Elle remonte au final à toute la logique de contrôle de création monétaire (par la BCE), à la compréhension de ce qu'est la "croissance potentielle" par exemple (terme très utilisé actuellement), et bien d'autres choses. Je ne suis pas économiste, et je ne crois pas qu'il faille être économiste pour expliciter cela. Surtout pas. Car aucun de ces économistes abonnés aux talks shows lucratifs ne veut être celui par qui le scandale arrive...
Guillaume de Baskerville
LE BLOG DU NAIRU: http://lenairu.blogspot.com
Il y a pourtant une façon très facile de résumer tout ça : à qui profite le crime?
Et pour ce qui est du chômage, ce ne sont pas clairement le chômeurs qui en profitent!
Je repense à la vie de Simon Wiesenthal, le "chasseur de nazi" ou comment un homme seul au départ, a fait en sorte que le crime ne paie pas. Qui va s'occuper des grands criminels d'aujourd'hui qui, loin d'être planqués en Argentine, siègent dans des organisations non démocratiques qui infligent chaque jour souffrance, faim, maladies et mort partout sur la planète, en toute impunité, avec même les félicitations du jury? Qui va montrer du doigt le FMI, la Banque Mondiale, l'OCDE qui prétendent ouvertement que la bonne santé d'un pays passe par la misère de son peuple?
Et pour ce qui est du chômage, ce ne sont pas clairement le chômeurs qui en profitent!
Je repense à la vie de Simon Wiesenthal, le "chasseur de nazi" ou comment un homme seul au départ, a fait en sorte que le crime ne paie pas. Qui va s'occuper des grands criminels d'aujourd'hui qui, loin d'être planqués en Argentine, siègent dans des organisations non démocratiques qui infligent chaque jour souffrance, faim, maladies et mort partout sur la planète, en toute impunité, avec même les félicitations du jury? Qui va montrer du doigt le FMI, la Banque Mondiale, l'OCDE qui prétendent ouvertement que la bonne santé d'un pays passe par la misère de son peuple?
La peur
Cette peur permet de court-circuiter toute réflexion.Monolecte a écrit : Le gouvernement par la peur : dictature.
En rendant la population dépendante de l'argent pour l'obtention de biens essentiels tels que le logement, l'énergie, la nourriture, les soins, l'habillement, on peut se permettre d'exercer une pression énorme tant sur les salariés que sur les chômeurs avec l'équation toute simple: si on est privé d'argent alors on est privé des biens nécessaire pour vivre.
Cette pression on la retrouve sur les travailleurs: on leur oblige à accepter n'importe quelles conditions de travail.
Sur les chômeurs: "acceptez n'importe quel emploi sinon on vous supprime vos ressources."
C'est pourquoi on empèche toute indépendance: logement en location pour la majorité, interdiction de produire son énergie soi-même, nourriture impossible sans argent etc...
Si Gdb et Gérard sont d'accord, je mets là-dessus un article EN UNE dès demain. Je vous cite et je vous source.
Désolée pour le décalage, mais l'impact TF1 m'a fait prendre du retard (avantages et inconvénients de la médiatisation)...
Merci de vos contributions INTELLIGENTES et qualitatives, ça fait du bien !!!!
Sophie
Désolée pour le décalage, mais l'impact TF1 m'a fait prendre du retard (avantages et inconvénients de la médiatisation)...
Merci de vos contributions INTELLIGENTES et qualitatives, ça fait du bien !!!!
Sophie

Aucun problème pour diffuser, c'est fait pour ça!
Informer, questionner, remettre en cause les pseudos-évidences et amener les gens à rechercher par eux-mêmes d'autres pistes pour comprendre comment tout cela est possible: voilà le but de la démarche.
Si vous le souhaitez, je peux rédiger un article également (de toute façon, je dois en écrire un pour un journal local...).
Ravi de voir que le post a suscité un tel engouement et des reflexions aussi intéressantes (bon, c'était le but
)).
Pour info, je vais organiser une prochaine conférence sur Strasbourg sur le sujet (à priori le 10 Octobre, à confirmer), je suis également en train de créer un groupe de travail au sein du comité local ATTAC (j'ai déjà quelques "fidèles"
)), donc vous voyez le NAIRU, on va commencer à en faire de la pub...
Même si certains connaissent le terme, je crois que quelques autres choses méritent d'être dites: à quoi sert-il vraiment, en quoi influe t'il sur les politiques économiques actuelles au niveau de l'Europe...
Merci pour votre soutien pour faire connaître le blog, en une quinzaine de jours, il apparaît déjà en bonne place sur les listes de recherche de Google.
Guillaume de Baskerville[/b]
Si vous le souhaitez, je peux rédiger un article également (de toute façon, je dois en écrire un pour un journal local...).
Ravi de voir que le post a suscité un tel engouement et des reflexions aussi intéressantes (bon, c'était le but

Pour info, je vais organiser une prochaine conférence sur Strasbourg sur le sujet (à priori le 10 Octobre, à confirmer), je suis également en train de créer un groupe de travail au sein du comité local ATTAC (j'ai déjà quelques "fidèles"

Même si certains connaissent le terme, je crois que quelques autres choses méritent d'être dites: à quoi sert-il vraiment, en quoi influe t'il sur les politiques économiques actuelles au niveau de l'Europe...
Merci pour votre soutien pour faire connaître le blog, en une quinzaine de jours, il apparaît déjà en bonne place sur les listes de recherche de Google.
Guillaume de Baskerville[/b]
Conférence...
Je posterai les infos sur le blog, ainsi que sur ce topic. Tu seras sur Strasbourg à ce moment là, wapasha?