Il y a Roms et Roms.
Les uns, d'une "certaine noblesse" (on dira ça comme ça), et les autres appartenant à un sous-prolétariat crasseux, inculte et souvent d'une stupidité et arrogance affligeantes. Faut dire les choses comme elles sont…
Autrement dit, il y a des Roms avec une certaine "envergure", comme peuvent l'être certains gitans, et les Roms mendiants, estropiés et arnaqueurs minables.
Ce sont ces derniers qu'on croise en quantité à Paris. Certains n'hésitent pas à se traîner lamentablement dans les rames de métro,
comme des serpillères, comme des paraplégiques sans aucune ressource alors que, bien évidemment, comme toute personne présente sur le territoire français, ils peuvent bénéficier à minima d'aides sociales leur permettant de mendier normalement (c'est-à-dire sur un point fixe, sans être obligé de se tortiller comme un ver de terre).
Parce que les anecdotes auxquelles fait référence le Comte de Bouderbala dans son sketch sont bien réelles. Les mecs te foutent leur moignon, leurs plaies, leurs handicaps sous le nez.
C'est tellement horrible qu'ils obtiennent l'effet inverse à celui recherché. Les gens détournent le regard. Ils fuient. Ils ont peur ! On peut tout à fait le comprendre.
Et puis, chez les "Roms du bas",
il y a un vrai problème d'exploitation des enfants sous toutes ses formes. J'ai souvent vu des touristes se faire dépouiller par des groupes de jeunes Roms (généralement des filles) dont certaines avaient à peine 10/11 ans. Les parents refusent généralement que leurs enfants soient scolarisés
alors que les services sociaux font tout pour qu'ils le soient.
Il y a certainement des Roms sympas et civilisés, mais ceux que j'ai vu
pendant 50 ans sur Paris étaient insupportables, roublards, voleurs, menteurs, arrogants et particulièrement méprisants… même avec les flics.
Le "Rom du bas" n'a peur de rien.
J'en ai même vu braquer un Algérien qui n'avait vraiment pas l'air commode. J'ai aidé le type qui venait de se faire subtiliser son portefeuille par une demi-douzaine de Roms (filles de 10 à 15 ans). Eh bien, nous n'avons jamais pu récupérer l'objet volé malgré l'intervention d'un autre adulte. Nous étions trois mecs baraqués de 30 à 50 ans face à 6 ou 7 jeunes filles, et le portefeuille a disparu malgré tout… Les flics sont arrivés trop tard. La moitié du groupe s'était déjà envolée… avec le portefeuille.
Pour illustrer : Un vieux reportage toujours d'actualité :
https://www.youtube.com/watch?v=hR_D28VM4U8