Appel à la destitution de Macron :journée nationale le 14/03
Appel à la destitution de Macron :journée nationale le 14/03
Le 14 mars sera la journée où tous les français doivent descendre dans la rue pour appeler à la destitution de Macron.
Re: Appel à la destitution de Macron :journée nationale le 14/03
Ouais, si c'est pour faire une manif carnaval, entre République et Bastille ou vice versa entre 14h et 18 h, je ne vois vraiment pas l’intérêt !
Re: Appel à la destitution de Macron :journée nationale le 14/03
Mon pôôôôôôôvre Vercor. La "Révolution" est finie !
Virer Macron, il fallait le faire fin 2018 début 2019 quand les Gilets Jaunes occupaient les ronds-points et que les manifestations se soldaient par le "saccage" (très partiel) des quartiers chics parisiens.
Là, c'est trop tard. La révolte est morte et enterrée (Éric Drouet a jeté l'éponge).
Même les syndicats (aujourd'hui soutenus par le Conseil d'État lui-même qui a rendu un avis très sévère sur la réforme des retraites non financée) ne sont arrivés à rien.
Figure-toi qu'aujourd'hui c'était la première fois que je reprenais le métro à Paris depuis le 5 décembre.
Ma portion de ligne, la 13, et ma station ont été TOTALEMENT fermées pendant 40 jours, et partiellement ouvertes 5 jours.
Tout cela pour rien, comme nous l'avons évoqué ici : https://www.actuchomage.org/forum/index ... =viewtopic
Enfin, cette histoire de destitution (justifiée sur bien des aspects) est défendue depuis un an par François Asselineau de l'UPR. Un seul député (LR) s'y est vaguement associé. Les députés RN et FI n'ont pas bougé une oreille.
Ça me fait de la peine de t'écrire ça, tu le sais : Les carottes sont cuites.
Après les Gilets Jaunes et la mobilisation syndicale, il n'y a plus qu'un "espoir" de révolte en France dans les 10 ans qui viennent : celle des banlieues comme en 2005… en 10 fois plus puissant. Là, la police et la gendarmerie seront totalement dépassées.
Mais quand ça arrivera, ça s'appellera la guerre civile, une guérilla comme le pense Laurent Obertone.
https://www.youtube.com/watch?v=e4IxK2Oyxg8

Virer Macron, il fallait le faire fin 2018 début 2019 quand les Gilets Jaunes occupaient les ronds-points et que les manifestations se soldaient par le "saccage" (très partiel) des quartiers chics parisiens.
Là, c'est trop tard. La révolte est morte et enterrée (Éric Drouet a jeté l'éponge).
Même les syndicats (aujourd'hui soutenus par le Conseil d'État lui-même qui a rendu un avis très sévère sur la réforme des retraites non financée) ne sont arrivés à rien.
Figure-toi qu'aujourd'hui c'était la première fois que je reprenais le métro à Paris depuis le 5 décembre.


Tout cela pour rien, comme nous l'avons évoqué ici : https://www.actuchomage.org/forum/index ... =viewtopic
Enfin, cette histoire de destitution (justifiée sur bien des aspects) est défendue depuis un an par François Asselineau de l'UPR. Un seul député (LR) s'y est vaguement associé. Les députés RN et FI n'ont pas bougé une oreille.

Ça me fait de la peine de t'écrire ça, tu le sais : Les carottes sont cuites.
Après les Gilets Jaunes et la mobilisation syndicale, il n'y a plus qu'un "espoir" de révolte en France dans les 10 ans qui viennent : celle des banlieues comme en 2005… en 10 fois plus puissant. Là, la police et la gendarmerie seront totalement dépassées.
Mais quand ça arrivera, ça s'appellera la guerre civile, une guérilla comme le pense Laurent Obertone.
https://www.youtube.com/watch?v=e4IxK2Oyxg8
Re: Appel à la destitution de Macron :journée nationale le 14/03
Il faut continuer à "mettre la pression", c'est une stratégie classique. 
Cela attire au moins l'oreille de nos compatriotes.
Et puis : combien de mairies de villes importantes en mars 2020 pour LREM ?
Ca plus ça fait qu'au moins on a de bonnes chances de ne pas revoir Macron en 2022, ce sera déjà ça.
Eh oui, la fin du quinquennat approche (enfin...).

Cela attire au moins l'oreille de nos compatriotes.
Et puis : combien de mairies de villes importantes en mars 2020 pour LREM ?
Ca plus ça fait qu'au moins on a de bonnes chances de ne pas revoir Macron en 2022, ce sera déjà ça.
Eh oui, la fin du quinquennat approche (enfin...).