L'Emploi et le Chômage en Débats

Comment garder le moral?
En prenant bien soin de lui

Merci de corriger mes fautes Maguy. Vous n'avez jamais lu des messages en phonétique, genre texto. Il y en a plein les forums. Je m'y suis habituée et ne fais aucun commentaire en soulignant les fautes. On n'est pas à l'école ici. Il semblerait que cela soit votre sport favori. Moi c'est marche, vélo, gym.

Comment garder le moral?
Le laisser filer est une option!

La plus maniaque de l'orthographe ici c'est moi !
Les fautes j'en fais la remarque chaque fois qu'il s'agit d'une institution, un journal par ex, un site important qui s'adresse au public, ou bien quelqu'un qui propose de nous aider à corriger nos CV.
Une mauvaise orthographe chez les particuliers peut avoir un tas de raisons, et ça n'a pas d'importance à mon avis. Au contraire je trouve que Internet permet à tout le monde de s'exprimer sans complexes et c'est un des nombreux bons côtés d'Internet.

Il faut quand même que les messages soient compréhensibles. L'orthographe n'est pas un machin chiant décrété un beau jour ; dans un mot il y a son origine, un ou plusieurs radicaux, une terminaison, un préfixe ; tout cela a un sens. Bien souvent je vois des fautes qui me font penser que l'auteur ne comprend pas ce qu'il dit, et que sa pensée est peut-être approximative .
Par ex si on écrit "je le vois de tant en tant", ça ne peut pas signifier "je le vois un jour par ci, un jour par là" ; ça veut dire "je le vois de telle quantité en telle quantité", bref ça ne veut rien dire du tout.

Quand quelqu'un s'obstine à écrire des pavés imbuvables sans construction et sans la moindre ponctuation pour respirer, cela devient du jem'enfoutisme de sa part, de continuer.
Personnellement le langage texto je ne le comprends pas et je le trouve pauvre. Les abréviations courantes me suffisent pour les textos.

Au fait pour ce qui est de la bonne femme à la médiathèque, c'est au personnel de la médiathèque de faire baisser le ton ; les autres utilisateurs ne devraient pas se retrouver obligés de le faire. C'est comme les gens qui veulent absolument monter dans le métro alors que ceux qui voulaient descendre ne sont pas tous descendus ; t'as envie de les repousser sur le quai à coups de pieds...
(enfin ça fait des années que je n'ai pas pris le métro ; ça s'est peut-être amélioré depuis ?)

Lorsque j'envoie une candidature, je relis, je fais attention.
Là j'ai fait un pléonasme, mais ce n'est pas incompréhensible, non plus. C'est juste que j'ai renforcé le trait.
Lorsque je lis (enfin commence à lire) des messages sans ponctuation, sans majuscule, rapidement je m'arrête, c'est trop dur de se concentrer.

Au fait pour ce qui est de la bonne femme à la médiathèque, c'est au personnel de la médiathèque de faire baisser le ton ; les autres utilisateurs ne devraient pas se retrouver obligés de le faire.

C'est tout à fait vrai.

Merci de corriger mes fautes Maguy. Vous n'avez jamais lu des messages en phonétique, genre texto. Il y en a plein les forums.

Vous confondez tout de nouveau (soupir...) Je souligne le pléonasme car je le trouvais marrant

Et non je ne lis pas les messages en langage texto et n'en écris pas non plus. D'ailleurs la modération apprécie assez peu.

La plus maniaque de l'orthographe ici c'est moi !

Merci de ton honnêteté Serabeth. Les fautes me dérangent moins que les textes bâclés et incompréhensibles. Là, je zappe carrément et tant pis pour le message qu'on voulait faire passer. Non seulement j'aurais l'impression de régresser, mais je trouve que c'est manquer de respect pour la personne qui passe derrière.


Ceci dit, devant tant de mauvaise foi, citations tronquées, etc je vous laisse à vos délires paranoïaques. Je laisse béton.

le langage texto je ne le comprends pas et je le trouve pauvre

Caisse ta contre les pauvre ???

Ah quelle mauvaise foi.

Je souligne le pléonasme car je le trouvais marrant

Les fautes me dérangent moins que les textes bâclés et incompréhensibles

Quand on souligne une faute et qu'on la montre en public, c'est se moquer, vous ne croyez pas. Rire des autres, ce n'est pas une flatterie. Riez de vous si vous voulez, ça ne me gêne pas.

Si les fautes vous font rire, riez chez vous à gorge déployée, tapez-vous sur le ventre, roulez-vous parterre. Inutile de venir sur le forum apporter votre ironie.

Si les internautes avaient l'obligation de maitriser parfaitement le français avant d'écrire un message sur un forum ou un blog, il n'y aurait pas grand monde sur la toile. Même les journalistes en font. Bonne idée, si vous voulez votre dose de rire quotidienne, soulignez les fautes dans les journaux ou à la radio.

Plumette404 a écrit :Comment garder le moral?
Le laisser filer est une option!

Plumette404 a écrit :Comment garder le moral?
En prenant bien soin de lui

Ou en ne se prenant pas la tête

Je dis ça, je dis rien !

Comment garder le moral?

nenette911 a écrit : [En] ne se prenant pas la tête

C'est une autre façon de le dire! Merci!

Paulina a écrit :Si les internautes avaient l'obligation de maitriser parfaitement le français avant d'écrire un message sur un forum ou un blog, il n'y aurait pas grand monde sur la toile.

Je partage cet avis. Beaucoup de personnes qui, pour diverses raisons, ne maitrisent pas la langue française, ont, de mon point de vue, beaucoup de courage à oser s'exprimer par écrit, sur le Web. C'est exposer à la vue de tous ses imperfections. Nous en avons tous.

Tout à fait, j'en connais personnellement et ce n'est pas pour autant que je me moque d'eux.

A l'oral c'est pareil. Je me souviens d'une réunion. L'animateur a proposé de faire un tour de table pour que chacun puisse exprimer ses besoins, poser ses questions à l'intervenante. Il a précisé : je demande la bienveillance de tous. Il a eu raison. On était tous d'horizons différents et chacun a pu poser ses questions sans que d'autres se mettent à rire. La réunion s'est bien passée et chacun a pu avoir réponse(s) à sa/ses questions.

Bonjour à tous,

Dans le cadre d'une production audiovisuelle visant la réalisation d'un court documentaire sur la notion de travail, je me permets de venir vers vous dans l'objectif d'obtenir des témoignages de personnes quant à la valeur qu'ils accordent au travail.

Ce documentaire va revenir sur cette notion de Travail, l'évolution au fil des siècles de sa définition, de son contenu et de sa centralité dans nos vies. Aujourd'hui, nous savons que les français accordent énormément d'importance au travail dans leur vie, mais ce sont aussi ceux qui souhaitent qu'il occupe une place moins importante.
Le travail est à la fois aliénant, fatiguant, mais c'est aussi l'essence de l'homme. Il est un facteur de production, une "liberté créatrice", et également un facteur de distribution des richesses.

Alors qu'aujourd'hui la valeur travail est central dans nos vies, comment vit-on lorsqu'on est sans emploi ? Qu'est-ce qui est le plus pesant: le regard d'autrui, de la société, la perte de reconnaissance sociale, le manque d'épanouissement, d'investissement personnels ... ?

"Ne plus perdre sa vie à la gagner". Cette expression reste au gout du jour. Certains d'entre vous parviennent-ils à vivre mieux sans travail ? Un travail, mais à quel prix?

Que pensez-vous d'un meilleur partage du travail ? Aller plus loin dans la réduction du temps de travail, êtes-vous d'accord ?

Je souhaiterais rencontrer des personnes qui accepterez de me raconter très simplement, comment ils pensent, vivent le travail aujourd'hui.
Si ce projet vous intéresse, que vous vivez en Ile de France ou proche, merci de revenir vers moi.

Très cordialement

Lucie

comment vit-on lorsqu'on est sans emploi ? Qu'est-ce qui est le plus pesant: le regard d'autrui, de la société, la perte de reconnaissance sociale, le manque d'épanouissement, d'investissement personnels ...?

Lucie, on sent que ça vous fiche la trouille, hein ?
C'est forcément pesant, n'est-ce pas ? C'est terrible, on en perd sa faculté créatrice, on perd son essence...

Ce n'est pas moi qui parle. C'est en plus une question ouverte (j'avoue un peu dirigée) dans un forum ayant pour titre : comment garder le moral ?

Le travail est devenu l'"essence de l'homme" au XIXème siècle, où l'on a pensé qu'il pourrait être émancipateur. Aujourd’hui, nous savons très bien que le travail est surtout vu comme un facteur de production dont il faut limiter le coût dans le but de maximiser profits et production... C'est donc contradictoire avec une vision du travail comme objet de réalisation et d’épanouissement.
Mais nos sociétés "fondées sur le travail", vouent un véritable culte au travail. J'en suis profondément attristée. Mais du coup, la perte d'un emploi peut impliquer la perte de repères sociaux, de structure temporelle, d’investissement. Mais je pense que si l'on travaillait tous moins et mieux, le monde ne s'en porterait pas plus mal.

Le sujet est vaste...