On peut faire la même chose pour régler le problème du logement: On demande aux familles de pauvres qui ont un deux pièces de n'en occuper plus qu'une de cette façon on loge une deuxième famille.Je fais une proposition (déjà évoquée plus haut) : "Adopte un Rom !" Que chaque signataire de la pétition mise en ligne en fasse autant et le problème est soldé. On fera le bilan dans un an.

Parce qu'évidemment, les problèmes de pauvres doivent être réglés par les pauvres eux-mêmes pour des raisons de solidarité évidentes.

Il y a des problèmes qu'un petit groupe d'individus, même si ce sont des bobos, ne sont pas en mesure de régler seuls.
Par ailleurs, régler ces problèmes sont l'affaire de tous les gens qui ont une certaine idée de ce qu'est être un humain.
On va régler un problème qui se pose à toute une société en le transférant à quelques individus ?

Tu m'as expliqué plus haut que toutes les immigrations du passé étaient acceptées par ceux qui étaient déjà là (et qui étaient bien souvent eux aussi des immigrés ou des descendants d'immigrés) je mets en doute cette assertion qui est une reconstruction contemporaine du phénomène de l'immigration.Bien sûr, TristeSir… Pioche dans l'Histoire toutes les exactions que tu veux concernant les Italiens massacrés dans les années 1800, les Algériens jetés dans la Seine dans les années 1960, les "ratonnades"…
La répétition l'invalide?T'as passé en revue tous les arguments du discours usuel, habituel, mille fois ressassé, des "militants professionnels". Discours que j'ai lu 50 fois ici, sous ta plume
Reprenons:
C'est faux?Rajoutes-en une couche avec Hollande qui fait le même boulot que Sarkozy, qui emploie les mêmes méthodes… tout ça au service des dominants et des possédants.
Ces gens ne sont pas des artistes qui vivent de leur représentations dans les médias.Après, sors en boucle les provocations des Le Pen (père et fille), et ton discours sera bien rodé.
Ces gens ont une raison de faire ce qu'ils font.
Par ailleurs, le gouvernement socialiste s'apprête à pas de charge de faire adopter une disposition qui va priver la France d'avoir un total contrôle de son budget et qui va graver dans le marbre constitutionnel le recours systématique à des politiques d'austérité et à des mesures d'ajustement structurel (destruction des services publics restant et baisse des budgets sociaux: santé, retraite etc) pour faire cracher au bassinet les Etats.
On a du mal à s'imaginer la réalité et la violence de ces décisions.
(Quand on enlève aux Etats le pouvoir de battre la monnaie, de faire leur budget, la seule variable d'ajustement qui reste est les coûts sociaux: retraites, salaires, indemnités chômage...)
Dans cinq ans, quelle sera la crédibilité de ces politiciens face à leur bilan?
Les gens revoteront-ils pour une alternance de droite néolibérale qui laissera les choses en l'état?
Je crains que l'extrême-droite, peut-être alliée à une partie de la droite traditionnelle la plus réactionnaire ait un boulevard pour son ascension au pouvoir.
Y'aura quoi en face? C'est cette dernière question qui m'intéresse, mais pas seulement.