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Re: Licencié pour avoir critiqué son entreprise sur internet

Publié : 20 nov. 2010
par Invité
mais en fait il font du fric avec ces données, ils les vendent.
Eh bien non, en tout cas pas le supermarché où j'ai une carte. Quand j'ai donné mon nom modifié d'une lettre, c'était aussi parce que je voulais voir si je recevrais des offres d'autres boîtes, or je n'ai jamais rien reçu sous ce nom modifié à part les courriers du supermarché.

Par contre, j'ai fait une seule fois un début de demande de renseignements par Internet auprès d'un assureur, il y a 2 ans. Et je continue de recevoir plusieurs fois par semaine des offres de toutes sortes d'assureurs...

Re: Licencié pour avoir critiqué son entreprise sur internet

Publié : 20 nov. 2010
par diety
Mais il y en a qui les vendent. En tout cas le nom modifié est un bon mouchard. :twisted:

Re: Licencié pour avoir critiqué son entreprise sur internet

Publié : 20 nov. 2010
par maguy
Bien sûr qu'ils vendent leurs fichiers. A une époque j'achetais par correspondance et bien je reçois encore des offres téléphoniques sur ma ligne que j'ai mise en liste rouge il y a quelques années, mais sans changer de numéro.

Donc, les seuls à m'appeler sur cette ligne sont forcément ceux à qui a été vendu mon numéro.

Encore deux licenciés après des propos sur Facebook

Publié : 09 déc. 2010
par superuser
Les réseaux sociaux sur Internet, et singulièrement Facebook, s'invitent de plus en souvent dans le monde du travail, y compris à Poitiers. Deux salariés du centre socioculturel de la Blaiserie ont été licenciés en octobre dernier après avoir tenu sur Facebook des propos jugés injurieux pour une partie du public et du personnel de leur employeur. Dominique Durand, directeur du centre social de la Blaiserie, ne souhaite pas, du moins pour l'instant, en dire davantage sur cette affaire. Mais il confirme implicitement ces deux licenciements directement liés à des écrits sur Facebook.

«C'est une période encore récente qui m'a beaucoup marqué. On est quand même dans des cas de licenciements pour fautes graves. Et l'affaire concerne deux salariés. Je ne souhaite pas m'étendre pour le moment sur le sujet, c'est encore trop frais...» De son côté, Nathalie Rimbault-Raitière, adjointe aux maisons de quartier, observe la même discrétion sur le dossier : «Je ne veux pas m'exprimer à la place de l'association», lâche-t-elle simplement.

Ces dernières semaines, les affaires de licenciements liés à des messages postés sur les «murs» de Facebook se sont multipliées. Le 19 novembre dernier, le conseil des prud'hommes de Boulogne-Billancourt avait jugé «fondés» les licenciements de deux salariés de la société d'ingénierie Alten, à qui il était reproché d'avoir critiqué leur hiérarchie sur Facebook : une première qui pourrait faire jurisprudence. Le réseau social aux 500 millions d'utilisateurs subit régulièrement des critiques sur sa politique de confidentialité. Mais les salariés doivent désormais prendre conscience qu'il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant d'écrire sur un «mur» certes virtuel, mais souvent accessible à plus de monde qu'on ne croit...

http://www.centre-presse.fr/article-134 ... ebook.html