"Plan anti-pauvreté" : ce que prépare Emmanuel Macron
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La prime d’activité ne devrait finalement pas être touchée, ni l’allocation spécifique de solidarité pour les chômeurs en fin de droits.
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http://www.leparisien.fr/politique/ce-q ... D-32280599
Cela ne changerait pas grand-chose, sauf pour les départements qui ont instauré un plafond d'épargne et qui n'appliquent pas la décision du Conseil d'Etat sur la taxe de 3% sur l'argent placé. La fusion ASS/RSA resterait désavantageuse pour les allocataires de l'ASS avec toujours la perte des trimestres pour la retraite et le fait que certains bénéficiaires de l'ASS ne seraient pas éligibles au RSA.Zorro22 a écrit : Donc si l'ASS fusionne avec un RSA d'Etat nouvelle version, pour l'instant, comme nous n'avons pas d'autre information, on ne peut évidemment pas en discuter plus en avant.
Cela change toutefois la perspective d'un basculement ASS vers RSA actuel.
Toutes ces petites vexations et humiliations venant de la part des Conseils Départementaux, à l'ASS, c'est toujours ça d'économiséCela ne changerait pas grand-chose, sauf pour les départements qui ont instauré un plafond d'épargne et qui n'appliquent pas la décision du Conseil d'Etat sur la taxe de 3% sur l'argent placé.
A priori, ça ne devrait pas changer, les périodes de chômage indemnisé seraient toujours prises en compte selon Jean-Paul Delevoye, haut-commissaire à la réforme des retraites :Zorro22 a écrit : Les trimestres de retraite sont effectivement un gros bonus de l'ASS.
Ceci dit, comme Macron a prévu de tout fusionner bientôt quant aux retraites, je me demande ce que cela va devenir.
«Cette réforme (…) maintiendra et consolidera les solidarités qui seront l'un des piliers du nouveau système: cela concerne les droits familiaux, la majoration pour enfants, les périodes d'invalidité, les séquences de chômage, les minima de pension et la pension de réversion», affirme-t-il. Il précise toutefois qu'il faudra «clarifier et déterminer la nature du financement». Par exemple, «si l'on estime que la majoration pour enfants est une politique de caractère familial, doit-elle être financée par la solidarité des salariés ou par la solidarité nationale via l'impôt? Voilà un des débats que nous devrons avoir», précise Jean-Paul Delevoye.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018 ... tenues.php
hein ???ALBERT56 a écrit : A priori, ça ne devrait pas changer, les périodes de chômage indemnisé seraient toujours prises en compte selon Jean-Paul Delevoye, haut-commissaire à la réforme des retraites :
willemijns a écrit :hein ???ALBERT56 a écrit : A priori, ça ne devrait pas changer, les périodes de chômage indemnisé seraient toujours prises en compte selon Jean-Paul Delevoye, haut-commissaire à la réforme des retraites :
tu vois cela ou ?
Je comprends ces mots que j'ai soulignés comme le maintien des trimestres validés gratuitement pour les chômeurs. Vous avez une autre interprétation ?Cette réforme (…) maintiendra et consolidera les solidarités qui seront l'un des piliers du nouveau système: cela concerne les droits familiaux, la majoration pour enfants, les périodes d'invalidité, les séquences de chômage, les minima de pension et la pension de réversion»
http://www.lepoint.fr/economie/assuranc ... 958_28.phpLe secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a déjà averti le gouvernement. Il n'est pas question pour lui de remplacer l'ASS avec de l'argent en provenance des cotisations salariales, en piochant dans les comptes de l'Unedic. « Si la règle du jeu [fixée par le gouvernement, NDLR] est de mieux articuler la solidarité interprofessionnelle avec la solidarité nationale, par exemple des minima sociaux, on peut regarder », a-t-il expliqué sur Radio Classique mercredi matin. Avant d'avertir : « Je le dis très clairement, on ne pourra pas faire mieux avec moins. »
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Les cotisations salariales sont supprimées en totalité à compter du 01/09/2018 et remplacées par l'impôt.(csg) Donc l’état peut demander et obtenir la prise en charge par l'UNEDIC de l'ASS pour les bénéficiaires actuels et de l’allocation chômage longue durée pour les futurs chômeurs en fin de droits et ce d'autant plus qu'il garantit la dette de l'UNEDIC.Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a déjà averti le gouvernement. Il n'est pas question pour lui de remplacer l'ASS avec de l'argent en provenance des cotisations salariales, en piochant dans les comptes de l'Unedic. « Si la règle du jeu [fixée par le gouvernement, NDLR] est de mieux articuler la solidarité interprofessionnelle avec la solidarité nationale, par exemple des minima sociaux, on peut regarder », a-t-il expliqué sur Radio Classique mercredi matin. Avant d'avertir : « Je le dis très clairement, on ne pourra pas faire mieux avec moins. »
L'idée qui est dans l'air depuis longtemps, c'est une allocation sociale unique qui fusionne les différents minima sociaux. Créer un nouveau dispositif pour remplacer l'ASS n'irait pas dans le sens de cette simplification et serait donc plus difficile à justifier politiquement si cette nouvelle allocation est moins avantageuse que l'ASS.P-O a écrit : La mise en extinction de l'ASS ne pourra être effective qu’après la création d'un nouveau dispositif et de son financement.