Chôm' biz: peut-on refuser une "prestation" ?
Auxi : "Quelles que soient les raisons pour lesquelles on peut être amené à refuser un emploi, elles sont de l'ordre de la vie privée, et nul n'a le "droit" d'y mettre le nez"
De toute façon, les refus d'emploi sont basiques et peuvent être publiques (et renvoyés à l'employeur qui ose proposer une offre d'emploi au rabais) :
- salaire insuffisant par rapport aux compétences demandées,
- temps de travail insuffisant (salaire réduit)
- lieu de travail trop éloigné
- horaires impossibles à une condition de vie normale (ou avec enfant)
etc.
Y a rien de secret et ça me paraît normal de revendiquer une rémunération et des conditions de travail correctes. Même quand on est au chômage ; un chômeur n'est pas un sous-citoyen.
De toute façon, les refus d'emploi sont basiques et peuvent être publiques (et renvoyés à l'employeur qui ose proposer une offre d'emploi au rabais) :
- salaire insuffisant par rapport aux compétences demandées,
- temps de travail insuffisant (salaire réduit)
- lieu de travail trop éloigné
- horaires impossibles à une condition de vie normale (ou avec enfant)
etc.
Y a rien de secret et ça me paraît normal de revendiquer une rémunération et des conditions de travail correctes. Même quand on est au chômage ; un chômeur n'est pas un sous-citoyen.
De toute façon, les refus d'emploi sont basiques et peuvent être publiques (et renvoyés à l'employeur qui ose proposer une offre d'emploi au rabais) :
- salaire insuffisant par rapport aux compétences demandées,
- temps de travail insuffisant (salaire réduit)
- lieu de travail trop éloigné
- horaires impossibles à une condition de vie normale (ou avec enfant)
etc.
Heuuu… Tu es sûr(e) de ça ?!
De toute façon, sauf si le DE en décide autrement :
Téléphone : ne concerne pas l'Anpe.
Mail : ne concerne pas l'Anpe.
Situation de famille : ne concerne pas l'Anpe.
Nombre d'enfants : ne concerne pas l'Anpe.
Moyens de transports : ne concerne pas l'Anpe.
État de santé : ne concerne pas l'Anpe.
Si le DE en décide.Y a rien de secret
Ben oui, qu'est-ce que je dis d'autre ?ça me paraît normal de revendiquer une rémunération et des conditions de travail correctes. Même quand on est au chômage ; un chômeur n'est pas un sous-citoyen.
La déontologie médicale est très claire : le choix du médecin est la prérogative exclusive du patient. Nul médecin n'a le droit d'examiner une personne contre son gré.l'anpe a la possibilité de vous faire passer devant un médecin de main d'oeuvre
Depuis quand est-on compétent en médecine à l'Anpe ? Sur quel savoir base-t-elle son "doute" ?
Encore une violation de la vie privée !
Situation de famille :
Sans le consentement de l'intéressé, de quel droit ? Sur ce coup-là, l'Anpe n'est pas responsable, mais là encore, intolérable et injustifiable intrusion dans la vie privée. C'est l'Inquisition !Là c'est indiqué automatiquement sur votre dossier informatique, je ne sais par quel organisme.
Sauf pour faire pression sur les plus vulnérables : femme seule (ou homme seul, mais c'est plus rare) avec enfant(s)…ces données (vous êtes mariées, vous avez des enfants...) ne me sont d'aucune utilité !!
Et pourquoi en fonction de la durée d'inscription ? L'imbécile et criminelle dégressivité des allocations rend de plus en plus pauvre… et donc de moins en moins mobile. Excellent moyen de mettre le couteau sur la gorge du chômeur !vous êtes censés préciser votre mobilité en fonction de votre durée d'inscription
…qui n'est pas choisi par la personne concernée. Donc, en violation du droit fondamental à choisir son médecin. Il semble qu'il y ait là un flou juridique qui serait intéressant à étudier. Il y a bien souvent un gouffre entre ce qui est juste et ce qui est légal. Bon, ce n'est pas l'Anpe qui a rédigé le Code du travail… Je suppose, évidemment, qu'on n'a pas le droit de refuser…le code du travail permet à l'anpe de vous faire passer une visite médicale devant un médecin de main d'oeuvre
Pour ce qui est des visites médicales réclamées par l'employeur, il y a quelques siècles que je n'en ai pas passées. Encore heureux ! Rien de ce qui concerne ma vie privée ne regarde un patron ; je suis assez grand pour voir un toubib de mon choix si je l'estime nécessaire.
Les mandats ne sont pas, hélas, impératifs. Tu ne crois tout de même pas qu'on vit en démocratie, un grand garçon comme toi ?!Si tout cela ne vous convient pas je vous rappelle que ce n'est pas auprès des conseillers anpe qu'il faut vous plaindre mais de votre député, à qui tous les 5 ans, vous octroyez une partie de votre pouvoir de décision, et avec lequel, il vote des lois, qu'il me demande en votre nom d'appliquer !!!!





On vote pour un gugusse surpayé autant que totalement incompétent en tout, et qui n'a rien de plus pressé que de se torcher avec ses engagements sitôt élu.
Les autres, je ne sais pas, mais moi, il y a beau temps que je n'accorde plus aucune confiance à la politiracaille. Quand à écrire à mon député ("socialo", tendance collabo), il faut en plus que je lui fournisse le PQ ?
La chose se pratique très certainement !Non en fait c'est pour permettre aux conseillers anpe célibataire de draguer les femmes seules,, et éventuellement si elles refusent leurs avances de les radier





Rien, absolument rien, n'oblige un conseiller à les appliquer. La résistance passive, tu connais ? J'ai eu des référents qui la pratiquaient.il vote des lois, qu'il me demande en votre nom d'appliquer !!!!
Quelle démocratie ? La nôtre ?.. c'est bien celle qui a permis de s'asseoir sur le refus du traité européen par 52 % des français ? C'est une démocratie qui n'en a plus que le nom. Alors, en accepter "le jeu" (de massacre !) sans moufter, très peu pour moi...Du moment que l'on accepte le jeu de la démocratie
Tu es libre de l'appliquer avec ton coeur, en conscience, c'est à dire en veillant à agir sans faire de tort ou de mal à autrui.Une loi ne me revient pas, quelque soit la raison, je n'applique pas !!!
Ce n'est pas un simple question d'opinion, mais plus profondément d'éthique : On ne peut pas penser noir chez soi et appliquer blanc dans son travail, et si on se force à le faire à tout prix, le grand écart entre nos aspirations (ce que nous sommes en tant qu'être humain) et ce que faisons subir par ailleurs à nos semblables "au nom de la loi" finit par nous rendre malade un jour.je n'ai pas à me substituer aux règles que la représentation nationale décide. Sur mon lieu de travail je mets mes opinions de citoyens de coté, cela n'empêche pas qu'à l'extérieur je peut avoir une opinion différente
Vous savez, Antoine, lorsque des lois qui étaient faites au départ pour protéger le plus faible face au plus fort se retournent contre le faible et deviennent des outils au service des plus forts, il est grand tant non seulement de se poser des questions mais mieux encore de prendre position individuellement et collectivement pour les faire changer.Sur ce forum, pour certains, l'application des lois est à géometrie variable
Pour ce qui est de la nature démocratique du système, Lupita a tout dit. Merci.
Déjà, dans les goulags du libéral-fascisme, des patrons ou des petits cheffaillons sadiques et bornés abusent de leur pouvoir (lui aussi totalitaire…), pour contraindre des salariées (théoriquement protégées par la loi) à se soumettre à leurs bas instincts en pratiquant le chantage à l'emploi.
Alors, des chômeuses étranglées financièrement par l'imbécile et criminelle dégressivité des allocations, livrées pieds et poings liés, le couteau de la radiation sur la gorge, sûr que des salopards ne doivent pas se gêner !
Il y a là un sujet dont je ne me souviens pas qu'il ait jamais été abordé sur Actu ou ailleurs ; pourtant, le phénomène ne peut pas ne pas exister. Je souhaite lancer une file de débat sur le sujet : je suis certain qu'il y aura des témoignages.
Diluer les responsabilités : ainsi règnent les dictateurs, "démocratiques" ou non. Durant l'Occupation, le fonctionnaire tamponnait les ordres de déportation : il ne faisait que son boulot. Le flic qui raflait les juifs ne faisait que son boulot. Le cheminot qui conduisait les trains vers Auschwitz ne faisait que son boulot. Mais, bien sûr, en dehors du boulot, ils avaient leurs opinions…
C'est un plaisir subtil d'être considéré comme stupide par un imbécile. Merci de m'avoir ainsi rendu hommage.j'étais ioronique devant, parfois, vos commentaires frisant la stupidité et le ridicule.
C'est par désespoir que ces malheureuses ont envisagé de se soumettre à ton pouvoir totalitaire. Ça n'a rien à voir avec du harcèlement sexuel ; il faut une lâcheté intellectuelle particulièrement malodorante pour le nier : des travailleuses pauvres, des étudiantes sont contraintes à la prostitution pour survivre, le fait est connu et avéré. Alors, des chômeuses…Après pour la petite histoire, cette année, à deux reprises, 2 demandeuses d'emploi se sont permises de chercher mon numéro de téléphone et d'appeler chez moi afin de savoir si éventuellement.... Donc oui cela se pratique ! Mais pas dans le sens que vous pensiez !!!!
Déjà, dans les goulags du libéral-fascisme, des patrons ou des petits cheffaillons sadiques et bornés abusent de leur pouvoir (lui aussi totalitaire…), pour contraindre des salariées (théoriquement protégées par la loi) à se soumettre à leurs bas instincts en pratiquant le chantage à l'emploi.
Alors, des chômeuses étranglées financièrement par l'imbécile et criminelle dégressivité des allocations, livrées pieds et poings liés, le couteau de la radiation sur la gorge, sûr que des salopards ne doivent pas se gêner !
Il y a là un sujet dont je ne me souviens pas qu'il ait jamais été abordé sur Actu ou ailleurs ; pourtant, le phénomène ne peut pas ne pas exister. Je souhaite lancer une file de débat sur le sujet : je suis certain qu'il y aura des témoignages.
La loi est l'instrument de domination des dominants sur les dominés. Lorsque, fort rarement, elle est favorable à ces derniers, cela a été arraché par la lutte, dans la souffrance et, souvent, dans le sang par nos anciens – qui jamais n'auraient toléré le dixième de ce qui se passe aujourd'hui. C'est d'ailleurs tout le sens de la politique de Sarkonazi : détruire tout ce qui a été acquis ainsi. Voilà pourquoi cette "géométrie variable" est parfaitement logique et justifiée.Sur ce forum, pour certains, l'application des lois est à géometrie variable... Il faudrait faire de la résistance passive sur certaines, sur d'autres il faudrait les appliquer au pied de la lettre. Une loi ne me revient pas, quelque soit la raison, je n'applique pas !!! L'autre est à mon avantage, j'applique !
Il a souvent été question sur Actu de la fameuse expérience de Milgram sur la soumission à l'autorité : en voici un bel exemple…Sur mon lieu de travail je mets mes opinions de citoyens de coté, cela n'empêche pas qu'à l'extérieur je peut avoir une opinion différente...
Diluer les responsabilités : ainsi règnent les dictateurs, "démocratiques" ou non. Durant l'Occupation, le fonctionnaire tamponnait les ordres de déportation : il ne faisait que son boulot. Le flic qui raflait les juifs ne faisait que son boulot. Le cheminot qui conduisait les trains vers Auschwitz ne faisait que son boulot. Mais, bien sûr, en dehors du boulot, ils avaient leurs opinions…
Quand on est salarié, on a aussi droit à des visites médicales annuelles obligatoires, où l'on ne choisit pas le médecin qui vous jugera apte à travailler. En est-on choqué pour autant ?auxi a écrit :…qui n'est pas choisi par la personne concernée. Donc, en violation du droit fondamental à choisir son médecin.le code du travail permet à l'anpe de vous faire passer une visite médicale devant un médecin de main d'oeuvre
Oui et c'est ce que soulignait Antoine.Quand on est salarié, on a aussi droit à des visites médicales annuelles obligatoires, où l'on ne choisit pas le médecin qui vous jugera apte à travailler. En est-on choqué pour autant ?
Je me souviens dans mon dernier CDI, le camion venait fin novembre et il commençait à faire froid. La femme médecin d'âge respectable, auscultait les dames à travers le pull et les messieurs... en slip

Oui. La relation médecin / consultant est un rapport de confiance qui touche à l'intime. Il est vrai qu'être suivi médicalement pour savoir si on est apte physiquement, ou pas, à travailler est un droit précieux. C'est la façon dont il s'exerce qui me choque. Je vois plutôt un droit à s'absenter, une fois par an, sur son temps de travail, payé, naturellement, pour se rendre chez le médecin de son choix, lequel attestera de l'état de santé du consultant.Quand on est salarié, on a aussi droit à des visites médicales annuelles obligatoires, où l'on ne choisit pas le médecin qui vous jugera apte à travailler. En est-on choqué pour autant ?
Je ne me souviens pas avoir jamais passé de visite médicale au cours de ma vie professionnelle. Sans doute ai-je eu tort de ne pas revendiquer ce droit mais, en même temps, j'ai un médecin qui me suit depuis fort longtemps et qui fait parfaitement l'affaire. C'est autre chose que :
(Maguy)Je me souviens dans mon dernier CDI, le camion venait fin novembre et il commençait à faire froid. La femme médecin d'âge respectable, auscultait les dames à travers le pull et les messieurs... en slip.
Ça n'a rien à voir, mais : j'ai reçu un mail me signalant un mp, mais lorsque j'accède à la messagerie, elle est vide. C'est comme ça à chaque fois. Penses-tu pouvoir faire quelque chose de ton côté ?