C'est vrai!Ou alors
ils ont enfin compris que dans toute hiérarchie,
éliminer les plus petits que soi,
c'est forcément devenir un jour le
plus petit de tous
projet de loi sarko pour l'obligation d'accepter un emploi
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Pili
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toit_de_chôme
Et pourtant, une ancienne collègue a demandé une femme de ménage à une société de services à domicile pour son appartement. Elle a stipulé un minimum de bac+2 soi disant que le ménage "ça doit etre fait intilligemment". Et bien, elle en a trouvé une ....maguy a écrit :Embaucher un Bac + x années pour faire le ménage, il faudrait vraiment que les employeurs soient tombés sur la tête
Et après tout, on peut se présenter sans être pris. si chaque entretien débouchait sur une embauche, cela se saurait depuis
Le mensonge des 500.000 emploi non-pourvus !
Quand il y a "soi-disant" 500.000 emplois non pourvus dans un pays, on (le gouvernement) met les moyens pour former les personnes à les occuper (les emplois), on (le gouvernement) met les moyens pour "revaloriser" les salaires correspondants à ces emplois.
Et qu'avons-nous vu depuis 3 ou 4 ans ? (eh oui, ça fait trois/quatre ans qu'on nous bassine avec ses pseudos emplois).
Rien ! Aucune mesure à grande échelle n'a été prise !
La vérité, c'est que les emplois sont majoritairement pourvus… "au black", parce que ça arrange les employeurs (entreprises et particuliers).
Et, quand ils ne sont pas pourvus "au black", ils le sont par des immigrés d'Europe de l'Est (dans le bâtiment et les travaux agricoles), africains et pakistanais (dans les cuisines de la restauration), asiatiques et turques (dans le prêt-à-porter)… et par des femmes de toutes origines (pour les travaux ménagers chez les particuliers, nounous, aides à domicile…), parce que leurs prétentions salariales s'accommodent de minima inférieurs ou égal au SMIC.
Tous ces gens vivent dans des conditions souvent déplorables et se contentent du minimum vital : de quoi bouffer, partager une chambre de bonne ou à studio à 3 ou 4, et mettre quelques euros de côté pour les envoyer au pays…
Le discours qui consiste à annoncer que 500.000 emplois sont non pourvus vise UNIQUEMENT à camoufler des pratiques d'embauche illicites ("au noir") ou inférieures aux minima légaux.
Ce discours est donc IDÉOLOGIQUE, dans le but de satisfaire une partie de l'électorat, celui des "petits employeurs" de l'hôtellerie/restauration, de l'agriculture, de la confection, du bâtiment, mais aussi des dizaines de milliers de particuliers… qui, en puisant dans le "marché parallèle" des travailleurs sous-payés ou sans statut, réalisent d'énormes économies sur les salaires et les cotisations sociales. Et c’est autant pour eux en fin de mois !
Bien évidemment, tous les "petits employeurs" ne sont pas à mettre dans le même panier, la plupart respectant les dispositions et obligations légales en matière d'embauche, de rémunération et de durée de travail.
Mais, comme on a pu le constater dans une multitude de reportages, même les grandes entreprises du BTP (comme Bouygues) font appel à des sous-traitants qui emploient de la main-d’œuvre "au black".
Ce système mafieux arrange beaucoup de monde, car il a un effet "bloquant" sur les salaires et permet de détourner les dispositions en matière de "temps de travail". Il est donc probable qu’on nous bassine encore avec les 500.000 emplois non pourvus… le temps de déréglementer définitivement le marché de l'emploi ; une déréglementation de la durée du temps de travail (qui pourrait être négociée directement entre employeurs et salariés) et, à terme, la disparition des "salaires minimums".
On fait le pari ?
Et qu'avons-nous vu depuis 3 ou 4 ans ? (eh oui, ça fait trois/quatre ans qu'on nous bassine avec ses pseudos emplois).
Rien ! Aucune mesure à grande échelle n'a été prise !
La vérité, c'est que les emplois sont majoritairement pourvus… "au black", parce que ça arrange les employeurs (entreprises et particuliers).
Et, quand ils ne sont pas pourvus "au black", ils le sont par des immigrés d'Europe de l'Est (dans le bâtiment et les travaux agricoles), africains et pakistanais (dans les cuisines de la restauration), asiatiques et turques (dans le prêt-à-porter)… et par des femmes de toutes origines (pour les travaux ménagers chez les particuliers, nounous, aides à domicile…), parce que leurs prétentions salariales s'accommodent de minima inférieurs ou égal au SMIC.
Tous ces gens vivent dans des conditions souvent déplorables et se contentent du minimum vital : de quoi bouffer, partager une chambre de bonne ou à studio à 3 ou 4, et mettre quelques euros de côté pour les envoyer au pays…
Le discours qui consiste à annoncer que 500.000 emplois sont non pourvus vise UNIQUEMENT à camoufler des pratiques d'embauche illicites ("au noir") ou inférieures aux minima légaux.
Ce discours est donc IDÉOLOGIQUE, dans le but de satisfaire une partie de l'électorat, celui des "petits employeurs" de l'hôtellerie/restauration, de l'agriculture, de la confection, du bâtiment, mais aussi des dizaines de milliers de particuliers… qui, en puisant dans le "marché parallèle" des travailleurs sous-payés ou sans statut, réalisent d'énormes économies sur les salaires et les cotisations sociales. Et c’est autant pour eux en fin de mois !
Bien évidemment, tous les "petits employeurs" ne sont pas à mettre dans le même panier, la plupart respectant les dispositions et obligations légales en matière d'embauche, de rémunération et de durée de travail.
Mais, comme on a pu le constater dans une multitude de reportages, même les grandes entreprises du BTP (comme Bouygues) font appel à des sous-traitants qui emploient de la main-d’œuvre "au black".
Ce système mafieux arrange beaucoup de monde, car il a un effet "bloquant" sur les salaires et permet de détourner les dispositions en matière de "temps de travail". Il est donc probable qu’on nous bassine encore avec les 500.000 emplois non pourvus… le temps de déréglementer définitivement le marché de l'emploi ; une déréglementation de la durée du temps de travail (qui pourrait être négociée directement entre employeurs et salariés) et, à terme, la disparition des "salaires minimums".
On fait le pari ?
Dernière modification par Yves le 05 janv. 2008, modifié 2 fois.
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GENIA
Bac + 2 pour les ménages
j'adore le coup 
Un bac + 2 pour faire du ménage intelligement !!!
Jusque-là j'avais vu juste sachant lire et écrire....
Un bac + 2 pour faire du ménage intelligement !!!
Jusque-là j'avais vu juste sachant lire et écrire....
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tristesir
C'est une évidence.une déréglementation de la durée du temps de travail (qui pourrait être négociée directement entre employeurs et salariés) et, à terme, la disparition des "salaires minimums".
D'abord le temps de travail, pour que les heures sup' n'existent plus et après ils s'en prendront au SMIC bien évidemment. Le programme est clair.
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maguy
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tristesir
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maguy
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Stockwell
Je suis assez effarée de ces nouveaux diktats concernant les DE. Je sais qu'en Belgique, les DE peuvent être convoqués par Actiris si un emploi vacant correspond au niveau d'études, à l'expérience et à la localisation géographique du chômeur. On ne peut pas proposer, par exemple, un emploi de veilleur de nuit à un chômeur qui a Bac + 2, 3 etc ... ou même qui a son Bac. On ne peut non plus obliger une personne à aller travailler à 50 kms de chez lui.
Par contre, un Bac + 5 peut postuler pour une fonction de moindre niveau et à 100 kms de son domicile s'il le souhaite mais je doute qu'il soit accepté par un quelconque employeur ...
Ce qui peut être imposé à un chômeur de longue durée, c'est une formation, la signature d'un "contrat" avec obligation de suivre un plan pour activer sa recherche d'emploi. Il existe aussi une prime à la formation dans certains cas: le chômeur reçoit une somme d'argent s'il entreprend une formation gratuite. Je trouve ce système beaucoup plus sain et humain.
Par contre, un Bac + 5 peut postuler pour une fonction de moindre niveau et à 100 kms de son domicile s'il le souhaite mais je doute qu'il soit accepté par un quelconque employeur ...
Ce qui peut être imposé à un chômeur de longue durée, c'est une formation, la signature d'un "contrat" avec obligation de suivre un plan pour activer sa recherche d'emploi. Il existe aussi une prime à la formation dans certains cas: le chômeur reçoit une somme d'argent s'il entreprend une formation gratuite. Je trouve ce système beaucoup plus sain et humain.
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St-Dumortier
Bonjour,
Le nettoyage étant une activité qui s’apprend rapidement, souvent sur le tas, sa pratique n’est pas considérée comme qualifiante. Elle ne l’est d’ailleurs pas en termes d’évolution salariale puisque, excepté dans quelques hôtels de luxe où ont été signés des accords d’entreprise, aucune augmentation automatique liée à l’ancienneté n’est prévue dans la convention collective française des hôtels, cafés, restaurants, qui date de 1997.
Par ailleurs, les évolutions ou les reconversions restent difficiles à envisager, car les employeurs proposent le plus souvent aux femmes de chambre des formations continues courtes et opérationnelles, alors que la plupart d’entre elles sont peu ou pas qualifiées.
En fait, dans l’activité des personnels d’étage, seule semble valorisée la « cadence » de travail.
Mais celle-ci rencontre vite ses limites. Dans les hôtels européens, les femmes de chambre entretiennent, selon la catégorie des établissements, entre 9 et 24 chambres par jour. Ainsi, dans les hôtels de catégorie économique, où les rythmes de travail sont les plus élevés, la rémunération au SMIC horaire équivaut en France à 1,5 à 2 euros nets par chambre.
Et, avec le temps, lorsque la fatigue s’installe, les femmes de chambre les plus expérimentées se trouvent dans l’obligation de réduire progressivement leur rythme ou leur journée, soit en travaillant de nouveau à temps partiel, soit en cherchant un autre emploi hors de l’hôtellerie, ce qui bien souvent les conduit vers le chômage.
Au final, occuper à plein temps un poste de femme de chambre suppose souvent de suivre un parcours marqué par une succession de contrats éphémères et, de plus, peut s’avérer rapidement intenable et conduire vers le sous-emploi,
voire parfois à l’exclusion.
Source :
CEREQ Centre d'études et de recherches sur les qualifications
Les emplois à « bas salaire » et les salariés à l’épreuve de la flexibilité
Le nettoyage étant une activité qui s’apprend rapidement, souvent sur le tas, sa pratique n’est pas considérée comme qualifiante. Elle ne l’est d’ailleurs pas en termes d’évolution salariale puisque, excepté dans quelques hôtels de luxe où ont été signés des accords d’entreprise, aucune augmentation automatique liée à l’ancienneté n’est prévue dans la convention collective française des hôtels, cafés, restaurants, qui date de 1997.
Par ailleurs, les évolutions ou les reconversions restent difficiles à envisager, car les employeurs proposent le plus souvent aux femmes de chambre des formations continues courtes et opérationnelles, alors que la plupart d’entre elles sont peu ou pas qualifiées.
En fait, dans l’activité des personnels d’étage, seule semble valorisée la « cadence » de travail.
Mais celle-ci rencontre vite ses limites. Dans les hôtels européens, les femmes de chambre entretiennent, selon la catégorie des établissements, entre 9 et 24 chambres par jour. Ainsi, dans les hôtels de catégorie économique, où les rythmes de travail sont les plus élevés, la rémunération au SMIC horaire équivaut en France à 1,5 à 2 euros nets par chambre.
Et, avec le temps, lorsque la fatigue s’installe, les femmes de chambre les plus expérimentées se trouvent dans l’obligation de réduire progressivement leur rythme ou leur journée, soit en travaillant de nouveau à temps partiel, soit en cherchant un autre emploi hors de l’hôtellerie, ce qui bien souvent les conduit vers le chômage.
Au final, occuper à plein temps un poste de femme de chambre suppose souvent de suivre un parcours marqué par une succession de contrats éphémères et, de plus, peut s’avérer rapidement intenable et conduire vers le sous-emploi,
voire parfois à l’exclusion.
Source :
CEREQ Centre d'études et de recherches sur les qualifications
Les emplois à « bas salaire » et les salariés à l’épreuve de la flexibilité
LETTRE OUVERTE AUX ANNONCEURS DE 500 000 EMPLOIS
Madame, Monsieur,
C’est avec un vif intérêt que j’ai pris connaissance de vos annonces répétées concernant 500 000 emplois à pourvoir.
Je serais ravi de pouvoir travailler dans votre Société, qui s’est durablement positionnée comme leader de la manipulation d’informations. En un temps record, vous avez su utiliser les meilleurs artifices pour obtenir une remarquable baisse statistique du chômage ; aujourd’hui, vous vous emparez avec brio du marché des « emplois non pourvus ». Alors que vos prédécesseurs – dénués sans doute d’une vision suffisante – s’en tenaient à évoquer seulement 200 à 300 000 emplois, vous n’hésitez pas à voir beaucoup plus grand, faisant vôtre le précieux adage : «plus le mensonge est gros, mieux on y croit ».
Vous avez su repérer des postes qu’aucun demandeur d’emploi n’avait su dénicher, pas plus semble-t’il qu’aucun agent de l’ANPE. Je regrette d’ailleurs de ne pas avoir eu votre talent de découvreur, qui m’aurait permis de ne pas me limiter à 2000 candidatures inutiles en 3 ans.
Vous indiquez que ces postes sont à pourvoir dans les secteurs de l’hôtellerie-restauration, du bâtiment, de l‘agriculture ainsi que des services à la personne. J’ai pour ma part 30 années d’autres expériences : direction d’entreprise, puis de centre de formation. J’ai eu à cœur de me former tout au long de ce parcours professionnel, acquérant ainsi 2 diplômes de 3ème cycle à 41 et 50 ans. Malheureusement il m’a été clairement expliqué ma longue expérience est justement (?) ce qui nuit à mes candidatures – même pour un salaire mensuel de 1700 € net à 800 Km de mon domicile.
J’ai donc l’honneur de vous présenter ma candidature, ne doutant pas que l’absence (totale ou partielle) d’expérience de ces métiers me permettra d’y être suffisamment inefficace pour que vous puissiez rapidement alimenter votre filiale « Voyez-comme-décidément-ces-chômeurs-sont-bien-des-incapables-et-des-fainéants ».
Je ne postule pas, bien entendu, à ces 500 000 postes ; 1 me suffirait. Je crois toutefois prudent de solliciter de votre haute bienveillance l’attribution de 2 postes, au moins. J’ai en effet noté votre propension à comptabiliser comme un emploi « plein » tout poste à temps partiel, voire tout remplacement – ne fût-ce que pour quelques jours.
J’aimerais, d’ailleurs (pour ne parler que des pratiques de l’hôtellerie-restauration) ne pas être recruté en CDI là où n’existe qu’un besoin de remplacement de 2 à 3 semaines (pendant l’absence du titulaire, en compensation des heures supplémentaires qui ne lui ont pas été payées). De même, je souhaiterais ne pas rejoindre la cohorte des personnes exploitées à tour de rôle en travaillant gratuitement 1 jour ou 2 avant une période d’essai contractuelle qui – pour cause – n’arrive jamais.
Afin de découvrir ces merveilleux emplois si bien cachés, je me tiens à votre entière disposition pour un entretien. J’aurais ainsi l’opportunité de mieux vous expliquer tout l’intérêt qu’aurait votre Société à m’utiliser aux postes où mon incompétence est à son optimum.
J’ajoute que je suis – quasi – immédiatement disponible ; il ne me suffirait, je pense, que de quelques jours pour réviser au préalable les nécessaires bases de la logique des Shadocks.
Je vous prie de bien vouloir agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations les plus consternées.
Gérard Plumier http://www.geocities.com/chomage_senior
C’est avec un vif intérêt que j’ai pris connaissance de vos annonces répétées concernant 500 000 emplois à pourvoir.
Je serais ravi de pouvoir travailler dans votre Société, qui s’est durablement positionnée comme leader de la manipulation d’informations. En un temps record, vous avez su utiliser les meilleurs artifices pour obtenir une remarquable baisse statistique du chômage ; aujourd’hui, vous vous emparez avec brio du marché des « emplois non pourvus ». Alors que vos prédécesseurs – dénués sans doute d’une vision suffisante – s’en tenaient à évoquer seulement 200 à 300 000 emplois, vous n’hésitez pas à voir beaucoup plus grand, faisant vôtre le précieux adage : «plus le mensonge est gros, mieux on y croit ».
Vous avez su repérer des postes qu’aucun demandeur d’emploi n’avait su dénicher, pas plus semble-t’il qu’aucun agent de l’ANPE. Je regrette d’ailleurs de ne pas avoir eu votre talent de découvreur, qui m’aurait permis de ne pas me limiter à 2000 candidatures inutiles en 3 ans.
Vous indiquez que ces postes sont à pourvoir dans les secteurs de l’hôtellerie-restauration, du bâtiment, de l‘agriculture ainsi que des services à la personne. J’ai pour ma part 30 années d’autres expériences : direction d’entreprise, puis de centre de formation. J’ai eu à cœur de me former tout au long de ce parcours professionnel, acquérant ainsi 2 diplômes de 3ème cycle à 41 et 50 ans. Malheureusement il m’a été clairement expliqué ma longue expérience est justement (?) ce qui nuit à mes candidatures – même pour un salaire mensuel de 1700 € net à 800 Km de mon domicile.
J’ai donc l’honneur de vous présenter ma candidature, ne doutant pas que l’absence (totale ou partielle) d’expérience de ces métiers me permettra d’y être suffisamment inefficace pour que vous puissiez rapidement alimenter votre filiale « Voyez-comme-décidément-ces-chômeurs-sont-bien-des-incapables-et-des-fainéants ».
Je ne postule pas, bien entendu, à ces 500 000 postes ; 1 me suffirait. Je crois toutefois prudent de solliciter de votre haute bienveillance l’attribution de 2 postes, au moins. J’ai en effet noté votre propension à comptabiliser comme un emploi « plein » tout poste à temps partiel, voire tout remplacement – ne fût-ce que pour quelques jours.
J’aimerais, d’ailleurs (pour ne parler que des pratiques de l’hôtellerie-restauration) ne pas être recruté en CDI là où n’existe qu’un besoin de remplacement de 2 à 3 semaines (pendant l’absence du titulaire, en compensation des heures supplémentaires qui ne lui ont pas été payées). De même, je souhaiterais ne pas rejoindre la cohorte des personnes exploitées à tour de rôle en travaillant gratuitement 1 jour ou 2 avant une période d’essai contractuelle qui – pour cause – n’arrive jamais.
Afin de découvrir ces merveilleux emplois si bien cachés, je me tiens à votre entière disposition pour un entretien. J’aurais ainsi l’opportunité de mieux vous expliquer tout l’intérêt qu’aurait votre Société à m’utiliser aux postes où mon incompétence est à son optimum.
J’ajoute que je suis – quasi – immédiatement disponible ; il ne me suffirait, je pense, que de quelques jours pour réviser au préalable les nécessaires bases de la logique des Shadocks.
Je vous prie de bien vouloir agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations les plus consternées.
Gérard Plumier http://www.geocities.com/chomage_senior
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maguy
Lettres de non-motivation
Il me semble qu'on peut voir le texte des lettres
par là
Aller en bas de page à droite, puis tourner les pages.
Je vais aller voir de plus près (il y a apparemment 128 pages). On peut sans doute y trouver de bons exemples et on ne pourra pas nous reprocher de ne pas avoir candidaté, hé !
par là
Aller en bas de page à droite, puis tourner les pages.
Je vais aller voir de plus près (il y a apparemment 128 pages). On peut sans doute y trouver de bons exemples et on ne pourra pas nous reprocher de ne pas avoir candidaté, hé !
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Pili
Yves dit
C'est idem, parier que dans 2 ans Actuchomage et Apnée soient encore là, c'est certain, j'en suis convaincue depuis que je vous connais, vu le talent de chacun de vous tous!
Il n'y a rien à parier, sachant que malheureusement c'est ce que nous craignons, tous ceux qui ne souhaitaient pas Sarko, Bayrou et toutes la Droite et la gauche bien pensante au pouvoir! Le pari est déjà gagné...nous étions prévenus!On fait le pari ?
C'est idem, parier que dans 2 ans Actuchomage et Apnée soient encore là, c'est certain, j'en suis convaincue depuis que je vous connais, vu le talent de chacun de vous tous!