Salaire de vie
Re: Salaire de vie
si c'est une discussion sur le salaire de vie, il est évident que rien ne se fera d'un coup car cela demande de grandes réformes! et cela demande l'implication des spécialistes défenseurs de ce système(enfin, à part donner un vote positif et un avis humaniste, l'économie n'est pas ma tasse de thé)...
Par contre s'il s'agit de garder un pied dans le présent et d'apporter, d'exiger des réformes contre les discriminations, au travers des propositions ici étudiées,(pour progressivement aboutir un jour à un système d'équité) il est clair que la modestie doit-être la première avancée vers un mieux...et en tout cas le rsa devrait-être réformé et l'ass revalorisée au même tître et l'AHH idem, faut voir comment les personnes Handicapées n'ayant que cela, peuvent crever aujourd'hui
Par contre s'il s'agit de garder un pied dans le présent et d'apporter, d'exiger des réformes contre les discriminations, au travers des propositions ici étudiées,(pour progressivement aboutir un jour à un système d'équité) il est clair que la modestie doit-être la première avancée vers un mieux...et en tout cas le rsa devrait-être réformé et l'ass revalorisée au même tître et l'AHH idem, faut voir comment les personnes Handicapées n'ayant que cela, peuvent crever aujourd'hui
Re: Salaire de vie
Pour répondre à la première intervention de Diety :
Évidemment, on ne peut interdire aux entreprises de proposer des emplois à temps partiel (en CDI ou CDD). Certains de ces emplois étant - parfois - souhaités par des salariés, par des étudiants, qui ne veulent (peuvent) travailler que 20h00 par semaine par exemple.
Mais on assiste, malheureusement, à une augmentation constante du nombre d'emplois à temps partiels (et/ou emplois précaires).
Ainsi, certains employeurs n'hésitent pas à embaucher deux personnes à 20h00 par semaine plutôt qu'une à 40h00.
La "main d'œuvre" est alors plus "malléable", plus "adaptable", plus "docile" et, au final, l'employeur sait bien que les deux personnes (à 20h00 par semaine) travailleront plus qu'une seule (à 40h00).
C'est une constante du mi-temps observée depuis des décennies.
Donc, face aux dérives des temps partiels, des petits boulots précaires, il faut frapper au porte-monnaie des employeurs pour les encourager à créer de vrais emplois.
Après que des temps partiels soient toujours dispos, y' pas de problème, sauf que ça "coûtera" plus cher à l'employeur (donc moins cher à la collectivité).
++++++++++
• Pour le renforcement de la Médecine du Travail, je suis 100% OK avec toi (c'est une bonne suggestion).
• Pour le renforcement du taux de syndiqués dans les entreprises, c'est plus compliqué, à part le rendre obligatoire comme dans certains pays (je crois que la Belgique fonctionne sous ce régime).
+++++++++
Pour répondre à Raoul, TristeSir et les autres.
Je ne vais pas rentrer dans les subtilités mathématiques et les calculs complexes (que Raoul maîtrise mieux que moi).
L'idée c'est qu'aucune personne à partir d'un certain âge (restant à définir - disons 20 ans ou 22 ans) ne vive avec un revenu inférieur à un certain montant (j'ai évoqué 800 €. C'est juste une base de réflexion).
Il s'agirait d'un Droit constitutionnel (ce que n'est pas le RSA). Et son montant serait réévalué tous les ans.
Après, pour les subtilités de calculs (concernant les revenus complémentaires, les droits connexes), il faudrait remettre tout le système à plat.
Mais l'objectif est - OBLIGATOIREMENT - une revalorisation générale des ressources de toutes les personnes qui ne disposent pas d'un emploi "digne de ce nom" (CDI de 35/40h00, rémunéré au minimum sur la base du SMIC lui aussi revalorisé).
L'idée générale étant de "bloquer" les salaires supérieurs à un certain seuil, et d'augmenter les revenus inférieurs.
Une sorte de vaste mouvement de rééquilibrage, en vue de "gommer" une partie des inégalités de revenu qui se creusent chaque année un peu plus.
Il s'agit bien évidemment de "grandes lignes"… dont nous débattons ici.
Yves
PS : Et n'hésitez pas à faire des PROPOSITIONS, mais des vraies : synthétiques, compréhensibles du plus grand nombre, bref qui nous permettent d'échanger utilement sans partir dans des voies "obscures".
Évidemment, on ne peut interdire aux entreprises de proposer des emplois à temps partiel (en CDI ou CDD). Certains de ces emplois étant - parfois - souhaités par des salariés, par des étudiants, qui ne veulent (peuvent) travailler que 20h00 par semaine par exemple.
Mais on assiste, malheureusement, à une augmentation constante du nombre d'emplois à temps partiels (et/ou emplois précaires).
Ainsi, certains employeurs n'hésitent pas à embaucher deux personnes à 20h00 par semaine plutôt qu'une à 40h00.
La "main d'œuvre" est alors plus "malléable", plus "adaptable", plus "docile" et, au final, l'employeur sait bien que les deux personnes (à 20h00 par semaine) travailleront plus qu'une seule (à 40h00).
C'est une constante du mi-temps observée depuis des décennies.
Donc, face aux dérives des temps partiels, des petits boulots précaires, il faut frapper au porte-monnaie des employeurs pour les encourager à créer de vrais emplois.
Après que des temps partiels soient toujours dispos, y' pas de problème, sauf que ça "coûtera" plus cher à l'employeur (donc moins cher à la collectivité).
++++++++++
• Pour le renforcement de la Médecine du Travail, je suis 100% OK avec toi (c'est une bonne suggestion).
• Pour le renforcement du taux de syndiqués dans les entreprises, c'est plus compliqué, à part le rendre obligatoire comme dans certains pays (je crois que la Belgique fonctionne sous ce régime).
+++++++++
Pour répondre à Raoul, TristeSir et les autres.
Je ne vais pas rentrer dans les subtilités mathématiques et les calculs complexes (que Raoul maîtrise mieux que moi).
L'idée c'est qu'aucune personne à partir d'un certain âge (restant à définir - disons 20 ans ou 22 ans) ne vive avec un revenu inférieur à un certain montant (j'ai évoqué 800 €. C'est juste une base de réflexion).
Il s'agirait d'un Droit constitutionnel (ce que n'est pas le RSA). Et son montant serait réévalué tous les ans.
Après, pour les subtilités de calculs (concernant les revenus complémentaires, les droits connexes), il faudrait remettre tout le système à plat.
Mais l'objectif est - OBLIGATOIREMENT - une revalorisation générale des ressources de toutes les personnes qui ne disposent pas d'un emploi "digne de ce nom" (CDI de 35/40h00, rémunéré au minimum sur la base du SMIC lui aussi revalorisé).
L'idée générale étant de "bloquer" les salaires supérieurs à un certain seuil, et d'augmenter les revenus inférieurs.
Une sorte de vaste mouvement de rééquilibrage, en vue de "gommer" une partie des inégalités de revenu qui se creusent chaque année un peu plus.
Il s'agit bien évidemment de "grandes lignes"… dont nous débattons ici.
Yves
PS : Et n'hésitez pas à faire des PROPOSITIONS, mais des vraies : synthétiques, compréhensibles du plus grand nombre, bref qui nous permettent d'échanger utilement sans partir dans des voies "obscures".
Re: Salaire de vie
Ce dont tu parles c'est le quotidien de millions de précaires. Des vrais.Je ne vais pas rentrer dans les subtilités mathématiques et les calculs complexes (que Raoul maîtrise mieux que moi).
Des mecs qui n'ont pas d'autres ressources que celles fournies par la Société à laquelle ils appartiennent.
Leur vie en dépend et certains meurent de froid par défaut d'accès à l'Aide Sociale.
Le nombre de personnes qui comme eux devront compter uniquement sur l'Aide Sociale pour le reste de leur vie va augmenter.
Et qui n'est pas concerné par l'aide Sociale ne serait-ce que par les branches santé et logement. L'accès aux soins, c'est du "Salaire de vie".
Dans ces conditions, l'idée d' "Aide Sociale" est la même que celle du "Salaire de Vie", c'est à dire : "les conditions d'une vie décente et suffisante pour chacun". Ce que tu demande à ta façon :
.L'idée c'est qu'aucune personne à partir d'un certain âge (restant à définir - disons 20 ans ou 22 ans) ne vive avec un revenu inférieur à un certain montant (j'ai évoqué 800 €. C'est juste une base de réflexion)
On peut imaginer qu'il suffit de verser un montant conséquent pour régler le problème.
A mon sens c'est une fausse bonne idée car :
- cela reviens à faire fonctionner "la planche à billet" à l'identique de ce que font les banques. (et qui elles obtiennent toutes liquidités sans problème. -Voir informations économiques du jour-).
- et c'est compter sans les "marchands" dont le métier est de proposer les produits à des prix corespondants aux pouvoirs d'achats et non des prix correspondant à la valeur réelle des dits produits. Ainsi, quand le smic sera à 2000 €, la baguette en vaudra 20 par le simple fait que l'ouvrier boulanger devra être payé 2000€. Et si la baguette vient de chine pour 2€, on la paiera 18 quand même aussi sûrement qu'un café peut valoir 15€ et plus selon la personne à qui on le sert. (un milliardaire par exemple)
C'est une course sans fin qui est basée (modèlisée - mise en équation - calculée) sur la valeur travail et qui ne sort pas des schèmas traditionnels capitalistes.
L'Etat, dont c'est le devoir de prendre en charge les personnes en difficulté, a traité le problème en instaurant le RMI, puis le rSa.
Quand tu dit : "L'idée c'est qu'aucune personne .../...ne vive avec un revenu inférieur à un certain montant"
C'est exactement l'idée qui a prévalu à la mise en place du RMI. Ce montant est devenu le rSa Socle (460,09€ -non-logé).
Et il conditionne l'accès au Logement (APL), l'accès à la santé (CMU/CMUc)et aux tarifs sociaux pour l'énergie et les moyens de communication.
Si ce n'est pas du "Salaire de Vie", un "revenu pour survivre", je ne sais vraiment pas comment il faut l'appeler.
Yves propose sans théoriser.
naradamuni/sans philosophe sans modèliser.
Aucun des deux ne veux entendre parler du rSa alors que les lois récentes viennent d'inclure les travailleurs précaires dans le dispositif initialement prévu pour les personnes sans Ressources aucune.
Franchement, il y a quelque chose qui m'échappe là ...
Le rSa est un droit légal, .Il s'agirait d'un Droit constitutionnel (ce que n'est pas le RSA).
Le rSa est "Subsidiaire et Différentiel" : Demande à ce qu'il soit "Universel et Differentiel".
son montant est fixé par décrêt On peut simplement l'augmenter si tu veux. (Voir "planche à billets"). Je propose de l'indexer sur une variable : le seuil de pauvreté ou le revenu médian ou le PIB (je ne suis pas économiste).Et son montant serait réévalué tous les ans
Justement, il vient d'être entièrement remis à plat et tout le monde y passe tant que les revenus sont inférieurs au smic.Après, pour les subtilités de calculs (concernant les revenus complémentaires, les droits connexes), il faudrait remettre tout le système à plat.
Mille excuses Yves, mais ce qui est écrit là, cest du Hirsch pur jus qui défends son rSa.Mais l'objectif est - OBLIGATOIREMENT - une revalorisation générale des ressources de toutes les personnes qui ne disposent pas d'un emploi "digne de ce nom" (CDI de 35/40h00, rémunéré au minimum sur la base du SMIC lui aussi revalorisé).
L'idée générale étant de "bloquer" les salaires supérieurs à un certain seuil, et d'augmenter les revenus inférieurs.
Une sorte de vaste mouvement de rééquilibrage, en vue de "gommer" une partie des inégalités de revenu qui se creusent chaque année un peu plus.
Il s'agit bien évidemment de "grandes lignes"… dont nous débattons ici.
Ton "Salaire de Vie" c'est lui qui l'a mis en place et c'est une vie de misère et de contrainte, aux flux d'énergie rationnés.
Mais,le boulot est fait
et il suffit de modifier les variables et de le rendre universel, sans contrainte d'emploi, et différentiel.
Donc pour résumer mon propos :
Le rSa et ses droits connexes sont le "revenu de vie" pour les millions de précaires à venir.
Le "salaire de Vie" c'est un rSa débarrassé de ses contraintes.
Le rSa est "Subsidiaire et Différentiel", il faut qu'il soit "Universel et Differentiel"
Si tu regardes bien, cela inclus presque la totalité des revendications sociales.
Re: Salaire de vie
Merci pour ces éclaircissements et la qualité des échanges.
Donc, si j'ai bien compris, il suffit "d'aménager" le rSa. À savoir :
• Augmenter son "socle" à 800 €.
• Le débarrasser de ses "contraintes".
• Le rendre "Universel".
C'est ça ?
+++++++++++
Je précise quand même que cette "proposition de salaire de vie" passe après toutes les autres visant à permettre à chacune et chacun de décrocher un emploi digne de ce nom, en fonction de ses envies, disponibilités et motivations.
Les postulats de départ étant :
• Les employeurs veulent imposer au plus grand nombre la Précarité, OK, mais qu'ils paient (cher) cette "malléabilité" de la main d'œuvre (pas d'aides, pas d'exonérations, surtaxations de la précarité…).
• Inciter les employeurs à créer et sauvegarder de vrais emplois (en CDI).
• En finir avec les exonérations sociales et fiscales massives qui plombent les comptes et le budget de l'État.
• Revaloriser les bas salaires, à commencer par le SMIC.
• Réduire les disparités de revenus (entre hauts et bas). Avec un objectif chiffré sur 5 ans.
• Accroître les contrôles (URSSAF, fisc, Inspection du Travail) pour éradiquer le travail dissimulé et les fraudes sociales massives (qui grèvent les comptes sociaux et le budget de l'État de dizaines de milliards d'euros par an).
• Et, enfin, assurer aux "exclus" un "revenu universel" qui leur permette de vivre.
+++++++++++++
Dans un pays où 4,7 millions de personnes sont inscrites à Pôle Emploi, où 2,3 millions de travailleurs sont rémunérés au SMIC, où des centaines de milliers de Précaires n'apparaissent pas dans les stats officielles (comme les Jeunes qui ne s'inscrivent pas à Pôle Emploi), cette plate-forme de propositions devrait être au cœur des débats de 2012.
Car de cette "insécurité sociale" grandissante découlent toutes les autres formes d'insécurités (des personnes et des biens…) et d'inégalités (face à l'Éducation, à la Santé, à la Formation…).
C'est l'objet de nos réflexions.
@plus
Yves
Donc, si j'ai bien compris, il suffit "d'aménager" le rSa. À savoir :
• Augmenter son "socle" à 800 €.
• Le débarrasser de ses "contraintes".
• Le rendre "Universel".
C'est ça ?
+++++++++++
Je précise quand même que cette "proposition de salaire de vie" passe après toutes les autres visant à permettre à chacune et chacun de décrocher un emploi digne de ce nom, en fonction de ses envies, disponibilités et motivations.
Les postulats de départ étant :
• Les employeurs veulent imposer au plus grand nombre la Précarité, OK, mais qu'ils paient (cher) cette "malléabilité" de la main d'œuvre (pas d'aides, pas d'exonérations, surtaxations de la précarité…).
• Inciter les employeurs à créer et sauvegarder de vrais emplois (en CDI).
• En finir avec les exonérations sociales et fiscales massives qui plombent les comptes et le budget de l'État.
• Revaloriser les bas salaires, à commencer par le SMIC.
• Réduire les disparités de revenus (entre hauts et bas). Avec un objectif chiffré sur 5 ans.
• Accroître les contrôles (URSSAF, fisc, Inspection du Travail) pour éradiquer le travail dissimulé et les fraudes sociales massives (qui grèvent les comptes sociaux et le budget de l'État de dizaines de milliards d'euros par an).
• Et, enfin, assurer aux "exclus" un "revenu universel" qui leur permette de vivre.
+++++++++++++
Dans un pays où 4,7 millions de personnes sont inscrites à Pôle Emploi, où 2,3 millions de travailleurs sont rémunérés au SMIC, où des centaines de milliers de Précaires n'apparaissent pas dans les stats officielles (comme les Jeunes qui ne s'inscrivent pas à Pôle Emploi), cette plate-forme de propositions devrait être au cœur des débats de 2012.
Car de cette "insécurité sociale" grandissante découlent toutes les autres formes d'insécurités (des personnes et des biens…) et d'inégalités (face à l'Éducation, à la Santé, à la Formation…).
C'est l'objet de nos réflexions.
@plus
Yves
Re: Salaire de vie
D'accord avec toi Yves, foin de toutes ces exonérations dont on sait qu'elle a pour but de précariser les gens, de leur foutre la trouille et de vider la secu !
Il faut qu'ils paient ces exploiteurs qui ne veulent pas de trop d'interventions de l'état mais tendent la sébile
)
Il faut qu'ils paient ces exploiteurs qui ne veulent pas de trop d'interventions de l'état mais tendent la sébile

Ce n'est pas ce que Roosevelt avait fait lors de son new deal ? Je crois que la parité allait de 1 à 20 (pas sûre du chiffreRéduire les disparités de revenus (entre hauts et bas). Avec un objectif chiffré sur 5 ans.

Re: Salaire de vie
Donc, si j'ai bien compris, il suffit "d'aménager" le rSa. À savoir :
• Augmenter son "socle" à 800 €.
• Le débarrasser de ses "contraintes".
• Le rendre "Universel".
C'est ça ?
Dans les grandes lignes oui. Et celà ne contredit pas l'encouragement à travailler puisque le rSa est fait pour cela. (Rendons hommage à M Hirsch quand même. Son équation est loin d'être stupide. Simplement, il faut se demander pourquoi le "capital" l'a acceptée).
Pour mémoire :
Revenu Minimum Garanti =
[Montant Forfaitaire(Socle) + 62% des revenus d'activité]
Autant dire : une Aumone + un prélévement sur le flux de production
On peut jouer sur :
Revenu Minimum Garanti =
[Montant Forfaitaire(Socle) + 100 % des revenus d'activité]
et on a alors une sorte de "Revenu Universel".
Si on prends :
Montant Forfaitaire(Socle) = X % du PIB
Tu obtiens une sorte de "Dividende Universel" dont l'équation est :
Revenu Minimum Garanti =
[X % PIB + 100 % Revenus d'activité]
Là on rejoins (je pense) la philosophie de naradamuni/sans.
Basculer d'une extrème à l'autre est illusoire. Il faut procéder par palliers. Celà peut commencer par une augmentation du rSaSocle. (indépendement du niveau du smic qui est négocié par ailleurs).
Si on prends l'équation du montant de l'allocation, on a :
Allocation rSa = Revenu Minimum Garanti - [Ressources + Forfait Logement].
On vois que le Rsa inclu une "Ressource de Vie" essentielle qui est le logement.
Cette "RdV" est comptée avec un montant fixe. Celà engendre la situation actuelle que l'on connait.
Etant entendu que la loi DALO rend le Droit Au Logement Opposable,avec l'équation :
Allocation rsa = [RevenuMinimumGaranti + coût du logement] - Ressources
on observera immédiatement le coût social du logement.
Raisonner de cette manière impose de définir la notion de logement décent pour chacun
et d'exiger de nous mêmes que nous en prélevions les moyens.
Le logement décent c'est aussi l'eau, l'electricité, le sanitaire.
(Par exemple : la notion de minimum décent n'est pas identique si l'on est sur le quai de jemmapes ou ceux de Port-aux-Prince)
Oui.Les postulats de départ étant :
• Les employeurs veulent imposer au plus grand nombre la Précarité, OK, mais qu'ils paient (cher) cette "malléabilité" de la main d'œuvre (pas d'aides, pas d'exonérations, surtaxations de la précarité…).
Le rSa c'est aussi le CUI (Contrat Unique d'Insertion) qui va à l'encontre de ce que tu demande. ici, l'Aide Sociale est dévoyée par le biais des associations d'insertion et leurs "généreux donateurs/utilisateurs défiscalisés".
Voilà un point précis de revendication possible.
le rSa "remodélisé" pare à ces inconvénients et peut être progressivement mis en place (faire évoluer le rSa plutot que réévaluer les salaires). Comme le rSa reste différentiel, les 2 revendications ne s'opposent pas dans la recherche d'une meilleure parité des Ressources et la valorisation du travail.• Revaloriser les bas salaires, à commencer par le SMIC.
• Réduire les disparités de revenus (entre hauts et bas). Avec un objectif chiffré sur 5 ans.
Remettre le Service Public au Service du Public, oui bien sûr.• Accroître les contrôles (URSSAF, fisc, Inspection du Travail) pour éradiquer le travail dissimulé et les fraudes sociales massives (qui grèvent les comptes sociaux et le budget de l'État de dizaines de milliards d'euros par an).
Et faire de l'instruction civique : les Services Publics c'est aussi du "Salaire de Vie".
• Et, enfin, assurer aux "exclus" un "revenu universel" qui leur permette de vivre.

et sur le "revenu personnel" des "nantis" qui s'assurent de bien sur-vivre.
Première inégalité :
rSa Socle 1 personne = 460.09€ par personne.
rSa Socle Couple = 690.14€ = 345.07€ par personne.

Pour la journée de la femme, plutot que porter la jupe .

Re: Salaire de vie
Je me permet d'intervenir mais il me semble que le RSA est conditionnel donc pas universel, il ne sera jamais un revenu d'existence universel qu'on l'augmente ou que l'on y amène des aménagements ! A. Lambert, Sénateur et ancien ministre du Budget dans « Une nouvelle surtaxe sur l’épargne pour financer le RSA (entretien) » nousrappelle judicieusement que « la distribution des allocations coûte plus cher que l’allocation elle-même ».
C'est le paradigme social et fiscal actuel qu'il faut abandonné ... vous aurez du mal à y croire et c’est pourtant vérifié que 3 impôts peuvent remplacer les 220 impôts existants aujourd’hui, mettre en mouvement 2000 milliards d’euros par an au lieu des 800 milliards actuels et donner 1000 euros/mensuel sans condition à chaque citoyen !
Il faut toutefois admettre que présenter une véritable alternative économique est relativement long. Dès lors, sans avoir la prétention d’être exhaustif, sachez que le programme politique annoncé ici et établi par “l’Inoppression Active” http://programme-politique.com/organisa ... rtage.html n’est pas QU’IDÉOLOGIQUE et PHILOSOPHIQUE. Il est notamment simple, mécanique, automatique, et suspect ou non, il pourrait être mis en place immédiatement.
L’erreur fondamentale consiste à combattre la richesse au lieu de combattre la pauvreté. L’état d’esprit de jalouser les riches et consistant qui est de leur prendre d’avantage d’argent pour le donner aux pauvres révèle une parfaite incompétence du sens fondamentale de l'économie politique. Les interventions des financiers et des politiciens qui se contentent d’injecter des fonds dans le système bancaire, pourrait avoir évidemment un effet immédiat, mais ne peuvent pas avoir d’effet à long terme car l’origine de notre situation est bien l’incapacité financière des citoyens et celle ci ne peut être limitée que par l’ OFFRE EXISTANTE, qui est pour autant ÉNORME !
Analyse rapide de notre situation financière plus inquiétante qu’imparfaite : Alors qu’il était utile de restreindre les capacités financières des citoyens dans les années 1960, faute d’une Offre supérieure à la Demande, les charges sociales et les impôts mal placés sont aujourd’hui néfastes puisqu’ils permettent d’appauvrir voire de ruiner les citoyens. Ainsi, face à l’impôt, c’est-à-dire au recyclage d’argent, c’est-à-dire aux prélèvements fiscaux et sociaux destinés à financer les services publics et les services sociaux, les français sont à juste titre choqués de voir des fortunes côtoyer des misères et ses structures sociales et sociétales réduites à des variantes d’ajustement au bénéfice de l’économie d’entreprise, la société civile, notamment les banques et les multinationales.
L’économie est pourtant quelque chose de simple, or l’astuce des manipulateurs (usurpateurs actuels à la tête de la maison France) et leurs "experts" est de faire croire que c’est compliqué et que c’est une affaire de spécialistes, ce qui est parfaitement faux mais permet de semer l'incompréhension et le désintérêt dans l'esprit de la population.
La matière économique est composée de deux disciplines distinctes dont le fonctionnement est différent et complémentaire :
1) L’économie politique, prérogative de l’État, qui a pour objet de servir le citoyen (dont l'entrepreneur en tant qu'individu citoyen mais pas sa PME ou autre !), en lui garantissant la Liberté, la Dignité et en l’incitant à la Fraternité.
2) L’économie d’entreprise, qui concerne la société civile. L’État n’a à s’y intéresser qu’en fonction des empêchements à la Liberté, la Dignité et l’esprit de Fraternité des citoyens.
Sachez donc maintenant qu’il existe une VÉRITABLE ALTERNATIVE ÉCONOMIQUE humaine, fiable, mathématiquement démontrée.
Vous pouvez vérifiez la faisabilité de cette cohérence économique ici : http://critiqueduliberalisme.com/rubriq ... rubrique=4
et comprendre son fonctionnement et sa garantie d’apporter à notre société une vraie et légitime égalité des chances pour tous http://critiqueduliberalisme.com/articl ... article=78 et la dignité pour chaque citoyen. Le devoir de l’État est d'être au service de l’être humain (citoyen) et non de celui des multinationales et leurs banksters qui ont détourné le sens de l'économie politique à leur profit.
Nous avons comme choix, de conserver le libéralisme oppressif en ajoutant des rustines aux rustines ou au contraire de changer la chambre à air en mettant en place une cohérence économique libératrice comme celle de l'Inoppression Active.
Bonne fin de dimanche à tous
C'est le paradigme social et fiscal actuel qu'il faut abandonné ... vous aurez du mal à y croire et c’est pourtant vérifié que 3 impôts peuvent remplacer les 220 impôts existants aujourd’hui, mettre en mouvement 2000 milliards d’euros par an au lieu des 800 milliards actuels et donner 1000 euros/mensuel sans condition à chaque citoyen !
Il faut toutefois admettre que présenter une véritable alternative économique est relativement long. Dès lors, sans avoir la prétention d’être exhaustif, sachez que le programme politique annoncé ici et établi par “l’Inoppression Active” http://programme-politique.com/organisa ... rtage.html n’est pas QU’IDÉOLOGIQUE et PHILOSOPHIQUE. Il est notamment simple, mécanique, automatique, et suspect ou non, il pourrait être mis en place immédiatement.
L’erreur fondamentale consiste à combattre la richesse au lieu de combattre la pauvreté. L’état d’esprit de jalouser les riches et consistant qui est de leur prendre d’avantage d’argent pour le donner aux pauvres révèle une parfaite incompétence du sens fondamentale de l'économie politique. Les interventions des financiers et des politiciens qui se contentent d’injecter des fonds dans le système bancaire, pourrait avoir évidemment un effet immédiat, mais ne peuvent pas avoir d’effet à long terme car l’origine de notre situation est bien l’incapacité financière des citoyens et celle ci ne peut être limitée que par l’ OFFRE EXISTANTE, qui est pour autant ÉNORME !
Analyse rapide de notre situation financière plus inquiétante qu’imparfaite : Alors qu’il était utile de restreindre les capacités financières des citoyens dans les années 1960, faute d’une Offre supérieure à la Demande, les charges sociales et les impôts mal placés sont aujourd’hui néfastes puisqu’ils permettent d’appauvrir voire de ruiner les citoyens. Ainsi, face à l’impôt, c’est-à-dire au recyclage d’argent, c’est-à-dire aux prélèvements fiscaux et sociaux destinés à financer les services publics et les services sociaux, les français sont à juste titre choqués de voir des fortunes côtoyer des misères et ses structures sociales et sociétales réduites à des variantes d’ajustement au bénéfice de l’économie d’entreprise, la société civile, notamment les banques et les multinationales.
L’économie est pourtant quelque chose de simple, or l’astuce des manipulateurs (usurpateurs actuels à la tête de la maison France) et leurs "experts" est de faire croire que c’est compliqué et que c’est une affaire de spécialistes, ce qui est parfaitement faux mais permet de semer l'incompréhension et le désintérêt dans l'esprit de la population.
La matière économique est composée de deux disciplines distinctes dont le fonctionnement est différent et complémentaire :
1) L’économie politique, prérogative de l’État, qui a pour objet de servir le citoyen (dont l'entrepreneur en tant qu'individu citoyen mais pas sa PME ou autre !), en lui garantissant la Liberté, la Dignité et en l’incitant à la Fraternité.
2) L’économie d’entreprise, qui concerne la société civile. L’État n’a à s’y intéresser qu’en fonction des empêchements à la Liberté, la Dignité et l’esprit de Fraternité des citoyens.
Sachez donc maintenant qu’il existe une VÉRITABLE ALTERNATIVE ÉCONOMIQUE humaine, fiable, mathématiquement démontrée.
Vous pouvez vérifiez la faisabilité de cette cohérence économique ici : http://critiqueduliberalisme.com/rubriq ... rubrique=4
et comprendre son fonctionnement et sa garantie d’apporter à notre société une vraie et légitime égalité des chances pour tous http://critiqueduliberalisme.com/articl ... article=78 et la dignité pour chaque citoyen. Le devoir de l’État est d'être au service de l’être humain (citoyen) et non de celui des multinationales et leurs banksters qui ont détourné le sens de l'économie politique à leur profit.
Nous avons comme choix, de conserver le libéralisme oppressif en ajoutant des rustines aux rustines ou au contraire de changer la chambre à air en mettant en place une cohérence économique libératrice comme celle de l'Inoppression Active.
Bonne fin de dimanche à tous
Re: Salaire de vie
Les bras m'en tombent.L’erreur fondamentale consiste à combattre la richesse au lieu de combattre la pauvreté. L’état d’esprit de jalouser les riches et consistant qui est de leur prendre d’avantage d’argent pour le donner aux pauvres révèle une parfaite incompétence du sens fondamentale de l'économie politique.
En ce moment, personne (parmi les gens au pouvoir) ne combat l'appropriation des richesses par une minorité. Bien au contraire.
La philosophie du moment est plutôt: si les riches sont encore plus riches alors, si nous sommes bien sages, nous, petites gens, on aura le droit à des miettes un peu plus grosses

Re: Salaire de vie
Dans ce cas, faut faire monter la pression à la Chambre.Nous avons comme choix, de conserver le libéralisme oppressif en ajoutant des rustines aux rustines ou au contraire de changer la chambre à air en mettant en place une cohérence économique libératrice comme celle de l'Inoppression Active.
Qui c'est qui pompe ?
Et combien y faut pomper pour avoir de quoi vivre ?
C'est ça la question.
"Ce qui se conçoit bien s'énonce aisément".le programme politique annoncé ici et établi par “l’Inoppression Active” n’est pas QU’IDÉOLOGIQUE et PHILOSOPHIQUE Il est notamment simple, mécanique, automatique, et suspect ou non, il pourrait être mis en place immédiatement.
J'entends bien votre idéologie,
je suis pret à étudier votre philosophie,
mais j'attends toujours votre modéle de répartition.
Ce que vous exposez c'est un modèle de collecte à propos duquel, je me demande comment une régle fiscale peut bien "fabriquer" de la richesse.
Le rSa dont je vous parle c'est un modèle de distribution qui est variable selon la richesse produite. Je ne vous parle pas de fabriquer de la richesse et il est plus que probable qu'il y aura peu à partager dans les années venir.
Il en est d'autant plus urgent de construire une société équitable.
Pour cela on peut "déconditionner" le rSa et l'aménager à libre disposition du législateur.
J'ai démontré plus haut comment passer du rSa à "un revenu de type universel"
ou encore "une égale répartition du niveau d'humanité".
Re: Salaire de vie
Eh bien que les bras vous en tombent !
Si, au lieu de sortir une phrase et d'en faire une fixation vous permettant d'ergoter de votre paranoïa du "riche", vous essayez un tant soit peu de prendre un peu de recul, élargir l'horizon :
Les pauvres salariés n’auront plus aucun rôle à jouer s’ils ne changent pas la donne politique et ce dans peu de temps.
-l’économie lié au crime gagne du terrain chaque jour, elle represente environ 30% des actifs dans le monde.
- les fausses richesses crées par les produits bancaires représentent environ 50% de l’economie mondiale.
- les masses monetaires liées aux salaires ne representent que 18% du total, donc bientôt ils (les riches) pourront s’en passer , un peu comme les bourgeois de 89 pouvaient se passer de la noblesse. De plus avec, après la révolution de l’informatique, la révolution de la robotique à venir … !
François Bugeon nous dit que « selon l’évolution actuelle de la robotique, la raréfaction du travail interviendra d’ici vingt à trente ans au maximum, et elle surviendra à une vitesse telle que nos sociétés seront incapables de réagir correctement. C’est à ce défi qu’il faut faire face, et non pas à la fin du travail, qui reste néanmoins un aboutissement quasi certain, but pour lequel des générations ont oeuvré, le progrès qui leur permettrait de s'émanciper de l'esclavage salarial ».
Nous n’avons donc pas d’autres choix que d’interroger certaines des valeurs fondatrices de notre Contrat social, dont l’une d’entre elles : la Dignité. La solidarité, la fraternité et l’égalité, dans une moindre mesure, sont les autres valeurs fondatrices. La dégradation des conditions d’emploi et l’impuissance subséquente du Politique et de l’Économie politique depuis une trentaine d’année devrait au moins nous interpeller sur la pertinence à garder le travail/emploi au centre de notre Contrat social.
NB : Les propositions faites par l'Inoppression Active ne sont pas pour un droit à des miettes un peu plus grosses ; mais il est vrai qu'il vous faudrait d'abord avoir été sur les liens pour vous informer, ce que visiblement vous n'avez pas fait.
Vous préférez, vu les slogans de fin de vos commentaires, vous abreuver au cynisme de ceux que vous dénoncez et que nous nommons les usurpateurs manipulateurs...
L'avenir appartient à ceux qui ont des employés qui se lèvent tôt.
Le travail c'est la santé du capital.
Tout travail mérite patron.
Si tu n'as pas délocalisé une usine Molex avant 50 ans, tu as raté ta vie !
Si, au lieu de sortir une phrase et d'en faire une fixation vous permettant d'ergoter de votre paranoïa du "riche", vous essayez un tant soit peu de prendre un peu de recul, élargir l'horizon :
Les pauvres salariés n’auront plus aucun rôle à jouer s’ils ne changent pas la donne politique et ce dans peu de temps.
-l’économie lié au crime gagne du terrain chaque jour, elle represente environ 30% des actifs dans le monde.
- les fausses richesses crées par les produits bancaires représentent environ 50% de l’economie mondiale.
- les masses monetaires liées aux salaires ne representent que 18% du total, donc bientôt ils (les riches) pourront s’en passer , un peu comme les bourgeois de 89 pouvaient se passer de la noblesse. De plus avec, après la révolution de l’informatique, la révolution de la robotique à venir … !
François Bugeon nous dit que « selon l’évolution actuelle de la robotique, la raréfaction du travail interviendra d’ici vingt à trente ans au maximum, et elle surviendra à une vitesse telle que nos sociétés seront incapables de réagir correctement. C’est à ce défi qu’il faut faire face, et non pas à la fin du travail, qui reste néanmoins un aboutissement quasi certain, but pour lequel des générations ont oeuvré, le progrès qui leur permettrait de s'émanciper de l'esclavage salarial ».
Nous n’avons donc pas d’autres choix que d’interroger certaines des valeurs fondatrices de notre Contrat social, dont l’une d’entre elles : la Dignité. La solidarité, la fraternité et l’égalité, dans une moindre mesure, sont les autres valeurs fondatrices. La dégradation des conditions d’emploi et l’impuissance subséquente du Politique et de l’Économie politique depuis une trentaine d’année devrait au moins nous interpeller sur la pertinence à garder le travail/emploi au centre de notre Contrat social.
NB : Les propositions faites par l'Inoppression Active ne sont pas pour un droit à des miettes un peu plus grosses ; mais il est vrai qu'il vous faudrait d'abord avoir été sur les liens pour vous informer, ce que visiblement vous n'avez pas fait.
Vous préférez, vu les slogans de fin de vos commentaires, vous abreuver au cynisme de ceux que vous dénoncez et que nous nommons les usurpateurs manipulateurs...
L'avenir appartient à ceux qui ont des employés qui se lèvent tôt.
Le travail c'est la santé du capital.
Tout travail mérite patron.
Si tu n'as pas délocalisé une usine Molex avant 50 ans, tu as raté ta vie !
Re: Salaire de vie

J'ergote,
je dois bouger mon cul de pauvre salarié rapidement.
La mafia et la finance sont des méchants.
Bugeon a dit que les robots vont nous manger, et on doit se dire tous qu'on est des hommes.
D'ailleurs, c'est le bordel et ça devrait nous interpeller.
L'innopression active c'est pas de la gnognotte.
et je le saurais si j'étais seulement assez intelligent pour cliquer sur vos liens et accéder à votre Savoir.
C'est normal, je m'abreuve du cynisme des usurpateurs/manipulateurs.
Cela j'ai compris.
Mais encore ?
l'"innopression active", selon vous, qu'est-ce que c'est ?
Dans une formulation simple que je puisse comprendre.
Re: Salaire de vie
L'objet des sites http://critiqueduliberalisme.com et http://programme-politique.com sont de présenter une philosophie de libération de l'Etre humain et de faire valoir les moyens concrets pour la mettre en place, car sans explications chiffrées de sa faisabilité, un programme ne vaut rien, de montrer quelles mesures fiscales et sociales précises peuvent satisfaire nos besoins, de les mettre en œuvre en accueillant toutes les bonnes volontés sur tout le territoire national. Il leur faudra 577 députés et autant de suppléants pour les prochaines législatives.Dans ce cas, faut faire monter la pression à la Chambre.
Qui c'est qui pompe ?
Et combien y faut pomper pour avoir de quoi vivre ?
C'est ça la question.
j'attends toujours votre modéle de répartition.
La Liberté commence avec celle de l'Autre.Ce que vous exposez c'est un modèle de collecte à propos duquel, je me demande comment une régle fiscale peut bien "fabriquer" de la richesse.
Une fiscalité efficace : l'impôt doit être juste, simple et automatique. Il doit favoriser la liberté d'agir et de travailler. Il doit tout financer, des prestations sociales au budget. Il est donc aujourd'hui primordial de changer les assiettes du recyclage fiscal/social libéral totalement dépassées.
La finalité de ces sites est de dépasser le stade des rouspétances, des manifestations, des injustices, de l'encouragement à la violence et aux tromperies, des délégations du pouvoir à des députés incapables.
Fonder le recyclage fiscal/social sur la Taxe sur la Consommation apparaît comme la meilleure façon d'opérer le partage pour la simple et bonne raison que cette forme de recyclage établit une relation directe entre l'épuisement de l'Offre face à la Demande existante.
La Taxe sur la Consommation caractérise la cohérence économique de l'Inoppression Active. Les taux sont modulés en fonction de la capacité de production du pays, du chiffre d'affaire de l'entreprise et du caractère de nécessité, de luxe et de pollution des produits.
Cet impôt quasi unique (accompagné de deux autres accessoires) permet à l'Etat de recycler autant d'argent que nécessaire pour doter parfaitement les Services Publics ainsi que tous les citoyens d'un revenu d'existence : allocation, sans condition préalable, de 1000 euros par mois à chaque adulte et de 500 euros en plus par enfant, de la naissance jusqu'à 18 ans + versement de 100 euros par mois à chaque enfant de + de 13 ans, croissant de 100 euros mensuels, chaque année.
Pour comprendre comment fonctionne cette cohérence économique, faisons un simple exercice de calcul, sans s'arrêter en route à cause de préjugés de justice ou de bienséance, comme le font les doctrinaires et les endoctrinés.
Démonstration mécanique de sa faisabilité
La TVA finance actuellement la moitié du budget de l'Etat ( le budget de l'Etat est de 800 milliards d'euros. La TVA rapporte 400 milliards d'euros.). En la multipliant par quatre, elle finance mécaniquement et à elle seule (plus besoin d'autres impôts, charges et taxes) deux fois le budget de l'Etat, (4 x 0,5 = 2), et permet d'enclencher le versement mensuel des 1000 euros (le montant de la somme d'argent mensuellement attribuée ne peut être fixé qu'en fonction des capacités de l'Offre (biens et services) à satisfaire la Demande (les citoyens demandeurs). C'est un calcul d'actuaires et de statisticiens.) à chaque citoyen ainsi que le financement de toutes les autres prestations sociales, de la maladie à la retraite.
En réalité, le financement passe de la moitié du budget à trois fois le budget actuel, car : la perception de 1000 euros mensuels par chaque citoyen recycle de l'argent en cascade (même avec des prix qui augmentent de 15 à 50%, le citoyen a enfin un pouvoir d'achat, alors que sans argent (cas actuel) il ne peut de toute façon rien acheter. Puisque la TVA x 4 fait passer l'impôt de 20% à 80%, le citoyen recycle 40% des 1000 euros perçus chaque mois en les dépensant. L'achat occasionné procure à son tour des revenus aux vendeurs, qui achètent à leur tour et alimentent le stock d'argent recyclé (recettes fiscales). C'est ce qu'on appelle la cascade. La dépense des 1000 euros en cascade financerait environ l'équivalent d'un budget de l'Etat puisque les 1000 euros dépensés rapportent en TVA 400 euros, qui redépensés, rapportent eux-mêmes 40% etc. L'augmentation immédiate des salaires libérés de charges, sans qu'il n'en coûte rien aux entreprises, augmentera conséquemment les recettes de l'Etat de 40% des sommes dépensées, avec la même cascade ci-avant. Le PIB augmente car l'argent circule plus vite et chaque citoyen retrouve une capacité d'épargne.), la suppression des prélèvements actuels permet au citoyen de dépenser ce qu'il versait en IRPP (L'impôt sur le Revenu des Personnes Physiques aujourd'hui moins important en pourcentage, représente selon les années 15 à 30 % des recettes de l'Etat. Cet impôt est tout aussi injuste que les 216 autres existants. Il n'encourage ni l'initiative ni l'effort.
La suppression de tous les autres impôts, taxes et charges fiscales, direct et indirects qui représentent le financement actuel de l'autre moitié du budget de l'Etat, transformés ainsi immédiatement en pouvoir d'achat rapportant 80% de taxes, libérerait mécaniquement un budget voisin de 40% d'un budget de l'Etat.), en charges sociales (Les charges sociales représentent entre 70% et 98% des salaires nets. Quand le patron attribue 130 bruts à l'employé, il ne lui verse que 100 (salaire net) et il verse en moyenne 85 à l'Urssaf, (30 en prélèvements sur salaires bruts et 55 en cotisations patronales). Au lieu de 100, l'employé pourra recevoir 150 net et le patron versera en tout 150 au lieu de 185. Les 50 en plus perçus par le salarié augmentent l'argent circulant et les recettes fiscales. Les 35 économisés par le patron peuvent générer une baisse des prix de vente hors taxes. Le financement mécanique de quatre à cinq fois le budget de l'Etat garantit la faisabilité du système proposé par l'Inoppression Active.
) et en autres impôts, générant des recyclages-cascade supplémentaires.
L'économie, c'est réguler la Demande en fonction de l'Offre, rien d'autre.
Il ne suffit pas de donner de l'espoir mais de mettre en place les moyens concrets de la Liberté. Tous les citoyens doivent pouvoir entrer dans l'activité de leur choix. Ils n'ont plus à subir les réformes inadaptées aux besoins, qui vont dans le mauvais sens. N'abandonnons plus nos compatriotes à l'égocentrisme de ceux qui s'enrichissent en dédaignant la misère croissante qui les entoure.
Les recettes de l'Etat doivent être suffisantes pour réanimer le Service Public à l'abandon et donner avec un revenu d'existence facilement financé, la Liberté et la dignité à chaque citoyen.
Pour opérer sans difficulté cette révolution économique, il est essentiel que le recyclage touche également chaque citoyen, préalablement doté chaque mois.
La méthode de l'Inoppression Active, lisible au Chapitre 3 du site http://www.critiqueduliberalisme.com/plan.php3, nous permet d'atteindre parfaitement cet objectif et à l'Etat de remplir concrètement ses obligations.
Il n'y a pas 36 raisons, si l'Etat ne recycle pas autant d'argent que nécessaire, et s'il perpétue ses prélèvements sur le travail, soit il le fait par ignorance soit il le fait en complicité avec ceux que la conservation de notre libéralisme enrichit.
Taxe sur la Valeur Ajoutée, la TVA est un impôt sur le travail qui se trouve payé par le consommateur au terme de la dernière valeur ajoutée. L'avantage pour l'Etat est la facilité de trésorerie qu'il tire des versements avant terme des intermédiaires marchands.
Le mode de calcul et de perception de la TVA oblige les commerçants à établir des bordereaux mensuels ou trimestriels (ca3-ca4), ainsi qu'un récapitulatif annuel (ca12) qui permet au fisc d'opérer des contrôles a posteriori.
Ces contrôles inquisiteurs, comme le sont tous les actuels contrôles fiscaux, sont autant de tracasseries pour les entrepreneurs, tout spécialement pour les plus petits qui ont autre chose à faire : leur métier. Payée finalement par le consommateur, la TVA sera selon ces réformes un impôt sur la consommation.
Il n'y aura d'ailleurs plus de CA3-CA4 CA12, ni de tenues de stocks devenues inutiles. Comme il n'existe plus de taxe, ni d'impôt sur le travail et sur l'activité mais sur la consommation, l'appellation TVA est abandonnée pour adopter le nom de Taxe sur la Consommation (TC).
Pour éviter toute ambiguïté et parce que l'impôt sur le travail est un non sens quand on veut promouvoir l'activité, cet impôt gagnerait à n'être perçu qu'au moment de la vente, les professionnels traitant entre eux en prix hors taxes. L'entreprise n'avance pas la TC. Sa seule obligation est de la verser à l'Etat aussitôt qu'elle la perçoit.
Parce que c'est la seule ressource cohérente d'un recyclage fondé sur les réalités de l'Offre et de la Demande. Parce qu'il est mathématiquement démontré que trois impôts suffisent pour remplacer tous les actuels prélèvements :
1)Taxe sur la Consommation
2)Taxe sur les Encaissements environ 0,7% de toutes les recettes (c'est peu mais tout le monde paye), permettant à l'Etat d'avoir immédiatement des millions d'euros ponctuels, éventuellement nécessaires en cas d'urgence.
3)Taxe sur la Fortune pour que les plus riches ne s'approprient pas toute la planète ni privatisent des sites merveilleux dont tout un chacun pourrait profiter (taxe annuelle de x% au-delà de 3 millions d'euros par personne pour les biens enregistrés ou 12 millions pour les actions et parts d'entreprises). Cette nouvelle fiscalité permettra de satisfaire les besoins des ministères et des citoyens. Elle permettra à l'Etat de ne pas brader nos supports de la Liberté au privé, jusqu'à abandonner son obligation de résultats.
Ces trois impôts mettent en mouvement 2000 milliards d'euros minimum. Ils suffisent pour en finir définitivement avec les charges sociales actuelles, l'impôt sur le revenu, la taxe foncière et d'habitation, l'impôt sur les bénéfices, les droits de succession, etc. Si les recettes de l'Etat sont à l'expérience trop importantes, il conviendra de corriger la Taxe sur la Consommation à la baisse et peut être en profiter pour commencer ses modulations comme prévu pour la vivification des secteurs créatifs essentiels et non polluants.
La capacité de consommer ne doit plus se fonder sur le travail mais sur les capacités de l'Offre de satisfaire la Demande. Pour ne plus subir le libre échange mais en profiter, les citoyens ne peuvent pas y arriver avec l'actuel libéralisme qui recycle l'argent de façon obsolète.
L'économie consiste exclusivement à faire tourner l'argent autant que de besoin. Le recyclage d'une toute petite partie de l'argent circulant suffit à satisfaire les besoins citoyens.
Seule la prise en compte de la Demande citoyenne face à l'Offre existante et à promouvoir permet de répondre parfaitement aux besoins.
La construction actuelle de l'exclusion est criminelle quand le gaspillage et les stocks sont dénoncés. Il est fondamental de donner à tous les citoyens les moyens de ne pas entrer en délinquance pour survivre. La gestion actuelle de l'Etat est scélérate car il est aisé de dégager autant d'argent que nécessaire comme le site le démontre.
Alors, et alors seulement, la sévérité pour des actes de délinquance qui n'auraient plus de raison d'exister, sera dûment justifiée. Tant que nous choisirons de voter pour un candidat pour la seule raison de son appartenance à un parti politique, nous subirons le malheur qui aujourd'hui va croissant.
Partant du 1er a priori : que le droit de vivre et d'exprimer ses capacités créatrices de l'Africain qui meurt aujourd'hui de faim est (doit être) le même que le droit de celui de l'individu qui vit dans l'opulence.
Partant du 2ème a priori : que les moyens nécessaires à la Liberté individuelle de choisir et décider sa vie doivent être mis en œuvre par l'Etat et étendus à tous les Etats. La parité des monnaies n'est possible que si les fondamentaux économiques des Etats sont les mêmes, si l'IOS Table y est également respectée.
Depuis que l'Offre est devenue surabondante jusqu'à être freinée ou détruite, ne pas prendre en compte les stocks mène le système à l'implosion.
Pour que le choix d'exclure disparaisse de ce monde de gâchis, pour que la fraternité devienne une réalité, notre devoir est de voter non plus pour des partis qui ont fait la preuve de leur inefficacité mais pour un programme dont le comment faire pour le résultat proposé, est démontré.
En résumé, avec la cohérence financière de notre actuel libéralisme, parler de justice humaine s'avère impossible faute de formes adaptées et à cause de moyens désuets qu'offre notre cohérence strictement financière. Pour nous, citoyens prosélytes de l'Inoppression Active :
La finalité de l'économie est d'organiser le recyclage d'argent afin de donner les moyens les plus parfaits possibles garantissant la Liberté et la dignité du citoyen de façon qu'il soit possible qu'aucun citoyen n'en soit exclu.
La finalité de l'économie est que chacun sans n'oublier personne possède les moyens parfaits pour entrer en activité selon ses propres capacités et choix. La finalité de l'économie est de permettre la réalisation du génie humain individuel qui s'épanouit dans les œuvres communes. La finalité de l'économie n'est pas le bénéfice ou l'équilibre financier mais le service du citoyen.
L'inadéquation économique constitue l'inadéquation politique et ces inadéquations sont constatables : quand la Liberté est à géométrie variable et qu'elle finit à n'appartenir qu'aux plus riches, quand le travail redevient un esclavage à cause de la nécessité, quand les salaires ne se négocient plus faute d'une économie d'entreprise surtaxée, quand il y a nécessité de déroger aux lois pour survivre, quand l'art de bien s'occuper de toute la population n'est pas accompli, quand la politique en son sens étymologique et fondamental n'existe pas.
Le revenu d'existence répond parfaitement aux difficultés de chacun. Il met fin aux petites retraites et aux bas salaires. Il encourage l'égalité des chances. La sortie du marasme, la mise en marche de tous les secteurs créateurs réels ou potentiels de l'Offre, la considération de chaque citoyen peuvent facilement, concrètement, et réellement exister, pour peu que vous, lecteur, fassiez le choix de l'Inoppression Active aux prochaines législatives.
Si vous trouvez bien la philosophie et l'aspect pratique de cette proposition, si vous trouvez bien que désormais ce soit l'Etat qui soit au service du citoyen et non pas l'inverse, inscrivez vous comme sympathisant sur le site et envoyez votre adresse pour les toutes premières réunions qui auront lieu sur la France entière.
Re: Salaire de vie
De grosses banalités qui sont loin d'être convaincantes.François Bugeon nous dit que « selon l’évolution actuelle de la robotique, la raréfaction du travail interviendra d’ici vingt à trente ans au maximum, et elle surviendra à une vitesse telle que nos sociétés seront incapables de réagir correctement. C’est à ce défi qu’il faut faire face, et non pas à la fin du travail, qui reste néanmoins un aboutissement quasi certain, but pour lequel des générations ont oeuvré, le progrès qui leur permettrait de s'émanciper de l'esclavage salarial ».
Quand tu paies des salaires de misère aux gens, tu n'es pas obligé de les remplacer par des machines.
La solution des capitalistes est souvent intermédiaire: des hommes derrière des machines.
L'humour est la politesse du désespoir. Je pense que toutes ces formules valent mieux que des longs discours sur l'exploitation et la nature de notre société.Vous préférez, vu les slogans de fin de vos commentaires, vous abreuver au cynisme de ceux que vous dénoncez et que nous nommons les usurpateurs manipulateurs...
En ce moment, il y a une meute de ravis qui croient qu'avec des invocations ("référendum", le buzz de Cantona,..., j'attends la prochaine)
ils vont pouvoir rester bien au chaud chez eux et attendre que cela tombe tout cuit dans leur bec.
Vous croyez quoi? Qu'en demandant poliment et gentiment aux "gentils" capitalistes et parce qu'on a une bonne figure ils vont, pour nous faire plaisir, se précipiter pour partager équitablement la richesse produite?

Re: Salaire de vie
et:Une fiscalité efficace : l'impôt doit être juste, simple et automatique.
C'est une blague?La TVA rapporte 400 milliards d'euros.). En la multipliant par quatre, elle finance mécaniquement et à elle seule (plus besoin d'autres impôts, charges et taxes) deux fois le budget de l'Etat
La TVA est l'impôt le plus injuste et tu voudrais le voir quadruplé?

L'augmentation de la tva, c'est exactement ce qu'ont nos néolibéraux dans leur carton et qui attendent la bonne opportunité pour nous l'imposer.
Re: Salaire de vie
C'est une grosse blague en effet.C'est une blague?
La TVA est l'impôt le plus injuste et tu voudrais le voir quadruplé?
S'il y a une solution c'est bien de taxer les revenus du capital.
On dirait que ce jeune homme a suivi une formation éclair dans une secte, genre merdef
