Me rétablir dans mes droits : ce serait dans le meilleur des cas, m’aider à ce qu’on me reconnaisse le droit de percevoir l’ARE et réintégrer mon fils sur la liste des demandeurs d’emploi mais je doute fort que cela soit réaliste.
Me faire hospitaliser en psychiatrie : cela ne m’étonnerait pas, au point où j’en suis. J’ai déjà pété les plombs au téléphone avec Pôle Emploi.
Quant à être médiatisée, ce n’est pas trop ce que je recherche non plus, vu que je ne veux en aucun cas que cela en vienne aux oreilles de mes parents. Juste une petite ligne peut-êre dans un journal local, pour montrer mon ras-le-bol au Directeur régional de Pôle Emploi, qui ne répondra probablement pas à mes lettres, mais aussi au Conseil général qui m’ignore totalement au point qu’il a accepté de ne pas me faire « suivre » par une association, ni par une assistante sociale. Il ne m’a même pas relancée alors que je n’ai pas renvoyé (depuis juillet 2009) leur « contrat d’engagements réciproques » dans le cadre du RMI/RSA





Et puis, il fallait que je fasse quelque chose pour faire fuir la déprime qui pointait le bout de son nez et surtout calmer cette envie de tout casser. De toute façon, je suis à saturation et c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour l’instant. Adviendra ce qu’il pourra !