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Le bureau de l’Unédic s’est penché sur les effets pervers liés aux droits rechargeables en place depuis octobre. « On ne peut pas rester dans le statu quo » a admis le Medef. Des mesures correctives sont à l'étude.
Il aurait été préférable d’avoir anticipé le problème lors de l’élaboration l’an passé des nouvelles règles d’assurance-chômage, mais mieux vaut tard que jamais : vendredi, le bureau de l’Unédic s’est penché sur les effets pervers liés aux droits rechargeables en place depuis octobre. Un mécanisme qui peut amener des chômeurs ayant des reliquats de droits de précédentes périodes de travail à être « coincés » avec une allocation moindre que celle à laquelle leur dernier emploi leur ouvre droit.