Grippe A-H1N1 et gros profits...
Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
Il me semble que le "petit" risque de cette pandémie de grippe, outre le 1 pour mille de personnes qui peuvent mourir, est que plus grand est le champ d'expérience du virus sur de multiples personnes, plus grand est la probabilité que ce virus h1n1 est qu'il mute en une grippe à conséquence plus grave. D'où la lutte contre la pandémie. Mais effectivement ctte grippe, qui est hors-saison, ressemble pour le moment à la grippe saisonnière.
Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
Il faut maintenir le bon peuple dans une trouille permanente.
Il y a eu les méchants cocos avec le coûteau entre les dents et qui mangeaient les petits enfants, puis les vilains islamistes qui viennent jusque dans nos campagnes, blabla
Maintenant l'ennemi est invisible mais nos valeureux labos vont s'en occuper. Dormez tranquille, bonnes gens, zzzzzz
Il y a eu les méchants cocos avec le coûteau entre les dents et qui mangeaient les petits enfants, puis les vilains islamistes qui viennent jusque dans nos campagnes, blabla
Maintenant l'ennemi est invisible mais nos valeureux labos vont s'en occuper. Dormez tranquille, bonnes gens, zzzzzz
A-H1N1 : Bachelot s'agrippe à son plan
Polémique !
Le recadrage n’a pas tardé. Irritée par les propos du professeur Bernard Debré dans le Journal du dimanche, jugeant excessive la mobilisation du gouvernement contre une «grippette», Roselyne Bachelot a tenu à souligner, dès hier, dans le Figaro, que «la vigilance est de règle» face à la grippe A (H1N1). La ministre de la Santé estime que «nous sommes confrontés à un virus, certes peu sévère pour l’instant, mais doté d’une très forte capacité de contamination liée, en particulier, au fait qu’il touche des populations qui ne l’ont jamais rencontré. Face à cette caractéristique majeure, la vigilance est de règle».
Bernard Debré, par ailleurs député UMP de Paris, a aussi avancé que la grippe A «était peut-être même un peu moins dangereuse que la grippe saisonnière». Sur ce point, Roselyne Bachelot rétorque que, «pour le moment, le taux de mortalité du virus H1N1 est égal, voire un peu plus élevé que celui de la grippe saisonnière qui tue chaque année, en France, 2.500 personnes sur un total de 2,5 millions de cas. Soit environ 1 pour 1.000. Certains experts envisagent jusqu'à 20 millions de malades, ce qui nous mettrait face à un véritable problème de santé publique». La ministre de la Santé s’est aussi déclarée «très surprise» par les critiques sur la commande de 94 millions de doses de vaccins : «La capacité industrielle des laboratoires étant limitée, il est clair qu’ils serviront en premier les pays qui auront passé commande […]. Je ne veux pas me retrouver cet automne avec des vaccins livrables dans un délai de six mois !»
Le niveau de préparation de la France n’a pas fini d’alimenter les débats. Dimanche également, Jean-Marie Le Guen, député PS de Paris, a affirmé que la France n’est «pas encore prête» à affronter la grippe A, répondant ainsi à François Fillon qui, vendredi, avait promis que la France était «prête». «Personne n’est encore sûr du niveau d’efficacité du vaccin et de sa date de disponibilité, c’est pourquoi il faut avant tout expliquer et agir», a lancé Jean-Marie Le Guen. Sur ces commentaires, Roselyne Bachelot considère qu’il «y a toujours des gens qui trouvent que vous en faites trop, comme Bernard Debré, ou vous accusent de ne pas en faire assez, comme Jean-Marie Le Guen. Le tout dans la même journée !»
(Source : Libé)
Le recadrage n’a pas tardé. Irritée par les propos du professeur Bernard Debré dans le Journal du dimanche, jugeant excessive la mobilisation du gouvernement contre une «grippette», Roselyne Bachelot a tenu à souligner, dès hier, dans le Figaro, que «la vigilance est de règle» face à la grippe A (H1N1). La ministre de la Santé estime que «nous sommes confrontés à un virus, certes peu sévère pour l’instant, mais doté d’une très forte capacité de contamination liée, en particulier, au fait qu’il touche des populations qui ne l’ont jamais rencontré. Face à cette caractéristique majeure, la vigilance est de règle».
Bernard Debré, par ailleurs député UMP de Paris, a aussi avancé que la grippe A «était peut-être même un peu moins dangereuse que la grippe saisonnière». Sur ce point, Roselyne Bachelot rétorque que, «pour le moment, le taux de mortalité du virus H1N1 est égal, voire un peu plus élevé que celui de la grippe saisonnière qui tue chaque année, en France, 2.500 personnes sur un total de 2,5 millions de cas. Soit environ 1 pour 1.000. Certains experts envisagent jusqu'à 20 millions de malades, ce qui nous mettrait face à un véritable problème de santé publique». La ministre de la Santé s’est aussi déclarée «très surprise» par les critiques sur la commande de 94 millions de doses de vaccins : «La capacité industrielle des laboratoires étant limitée, il est clair qu’ils serviront en premier les pays qui auront passé commande […]. Je ne veux pas me retrouver cet automne avec des vaccins livrables dans un délai de six mois !»
Le niveau de préparation de la France n’a pas fini d’alimenter les débats. Dimanche également, Jean-Marie Le Guen, député PS de Paris, a affirmé que la France n’est «pas encore prête» à affronter la grippe A, répondant ainsi à François Fillon qui, vendredi, avait promis que la France était «prête». «Personne n’est encore sûr du niveau d’efficacité du vaccin et de sa date de disponibilité, c’est pourquoi il faut avant tout expliquer et agir», a lancé Jean-Marie Le Guen. Sur ces commentaires, Roselyne Bachelot considère qu’il «y a toujours des gens qui trouvent que vous en faites trop, comme Bernard Debré, ou vous accusent de ne pas en faire assez, comme Jean-Marie Le Guen. Le tout dans la même journée !»
(Source : Libé)
Le droit du travail, prochaine victime de la grippe A ?
Les mesures à mettre en place en cas de propagation rapide du virus H1N1 ne sont pas que sanitaires. Une circulaire officielle, relative à la pandémie, s'attaque aux conditions de travail des salariés.
par DELPHINE LEGOUTÉ
La nouvelle est passée inaperçue, et pourtant. Le 3 juillet dernier, la direction générale du travail – rattachée au ministère du travail – publiait une circulaire «relative à la pandémie grippale» dans le but de préparer entreprises et administrations à une propagation rapide du virus. A la lecture de cette circulaire, on remarque vite qu'il n'y est pas seulement question de santé et de masques. En cas de pandémie grave, ce sont les conditions de travail des salariés qui risquent d'en prendre un coup.
Congés maladie, absentéisme ... A cause de la grippe, la France pourrait tourner au ralenti dans ce que le ministère appelle «un mode de fonctionnement dégradé de la société». D'où une série de préconisations, à caractère exceptionnel, pour permettre aux employeurs de jouer sur la flexibilité de leur personnel. «Il en va de la survie de l'économie nationale, des entreprises et de la sauvegarde de l'emploi» est-il précisé.
«Adapter le travail des salariés»
En cas de passage en phase 5B ou 6 de la pandémie - ce que Roselyne Bachelot envisage dès septembre - l'employeur pourrait donc «adapter l'organisation de son entreprise et le travail des salariés». Le volume horaire de travail ou le nombre de tâches à effectuer pourraient, par exemple, augmenter «par décision unilatérale de l'employeur». Et de préciser entre parenthèses que «le refus du salarié, sauf s’il est protégé, constitue une faute pouvant justifier le licenciement».
S'agissant de modifications plus importantes, tel que l'aménagement du temps de travail (dérogation à la durée maximale journalière en cas de surcroit temporaire d'activité, dérogation à la durée maximale hebdomadaire de 46 heures, etc.), l'employeur serait dans l'obligation de recevoir une autorisation administrative. La circulaire invite donc l'administration du travail à «faire preuve de souplesse et de réactivité face aux demandes des entreprises».
«Approximations inquiétantes»
A situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles. Selon Michel Henry, avocat spécialiste du droit social, le code du travail prévoit bien de telles exceptions. Pour autant, «la circulaire contient des approximations inquiétantes». Inquiétants par exemple les raccourcis pris en matière d'aménagement du temps de travail. «Contrairement à ce que cette circulaire laisse penser, les dépassements sont très encadrés par le code du travail. A titre d'exemple, l'article 3123-17 indique que le nombre d'heures complémentaires accomplies par un salarié à temps partiel ne peut être supérieur à une certaine durée».
Inquiétants également les détournements que pourraient générer de telles mesures. «Si on impose à une mère de venir plus tôt - car c'est une nécessité dans la nouvelle organisation de l'entreprise - et qu'elle refuse car elle doit emmener son enfant à la crèche, c'est un motif de licenciement. La brèche réside dans cette idée de nécessité justement».
Reste la question du poids juridique d'une simple circulaire. Concrètement, elle n'a pas force de loi mais préconise des orientations. Elle permet aux administrations de «communiquer avec leurs agents et les usagers pour exposer les principes d'une politique». Selon Michel Henry «elle constitue un cadre donnant les outils juridiques aux administrations mais n'a pas force obligatoire». Pour autant, l'impact d'une circulaire n'est pas à prendre à la légère. «L'inspection du travail et les administrations garderont leur libre appréciation, mais on les invite à faire preuve de souplesse. Or, le droit n'est justement pas fait pour être souple, ce n'est pas un trampoline !».
«Circonstances particulières»
Au ministère du travail, la circulaire DGT 2009/16 est décrite comme «un phare dans la nuit, un document de référence pour aider les entreprises à anticiper la pandémie, si pandémie il y a». A l'évocation d'un possible malaise chez les salariés, notre interlocuteur - un membre du cabinet de Xavier Darcos - est surpris. «Ces mesures se feraient dans des circonstances très particulières et pour une durée limitée, précise-t-il. Elles seraient mises en œuvre pour limiter l'impact économique d'une telle pandémie».
Avec environ 800 cas avérés en France et aucun décès, le qualificatif de «circonstances particulières» est encore loin d'être d'actualité. Au delà de l'aspect sanitaire, et face aux assouplissements du droit du travail qu'il pourrait engendrer, le passage en phase 6 évoqué par Roselyne Bachelot peut faire frémir plus d'un salarié.
http://www.liberation.fr/societe/010158 ... a-grippe-a
par DELPHINE LEGOUTÉ
La nouvelle est passée inaperçue, et pourtant. Le 3 juillet dernier, la direction générale du travail – rattachée au ministère du travail – publiait une circulaire «relative à la pandémie grippale» dans le but de préparer entreprises et administrations à une propagation rapide du virus. A la lecture de cette circulaire, on remarque vite qu'il n'y est pas seulement question de santé et de masques. En cas de pandémie grave, ce sont les conditions de travail des salariés qui risquent d'en prendre un coup.
Congés maladie, absentéisme ... A cause de la grippe, la France pourrait tourner au ralenti dans ce que le ministère appelle «un mode de fonctionnement dégradé de la société». D'où une série de préconisations, à caractère exceptionnel, pour permettre aux employeurs de jouer sur la flexibilité de leur personnel. «Il en va de la survie de l'économie nationale, des entreprises et de la sauvegarde de l'emploi» est-il précisé.
«Adapter le travail des salariés»
En cas de passage en phase 5B ou 6 de la pandémie - ce que Roselyne Bachelot envisage dès septembre - l'employeur pourrait donc «adapter l'organisation de son entreprise et le travail des salariés». Le volume horaire de travail ou le nombre de tâches à effectuer pourraient, par exemple, augmenter «par décision unilatérale de l'employeur». Et de préciser entre parenthèses que «le refus du salarié, sauf s’il est protégé, constitue une faute pouvant justifier le licenciement».
S'agissant de modifications plus importantes, tel que l'aménagement du temps de travail (dérogation à la durée maximale journalière en cas de surcroit temporaire d'activité, dérogation à la durée maximale hebdomadaire de 46 heures, etc.), l'employeur serait dans l'obligation de recevoir une autorisation administrative. La circulaire invite donc l'administration du travail à «faire preuve de souplesse et de réactivité face aux demandes des entreprises».
«Approximations inquiétantes»
A situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles. Selon Michel Henry, avocat spécialiste du droit social, le code du travail prévoit bien de telles exceptions. Pour autant, «la circulaire contient des approximations inquiétantes». Inquiétants par exemple les raccourcis pris en matière d'aménagement du temps de travail. «Contrairement à ce que cette circulaire laisse penser, les dépassements sont très encadrés par le code du travail. A titre d'exemple, l'article 3123-17 indique que le nombre d'heures complémentaires accomplies par un salarié à temps partiel ne peut être supérieur à une certaine durée».
Inquiétants également les détournements que pourraient générer de telles mesures. «Si on impose à une mère de venir plus tôt - car c'est une nécessité dans la nouvelle organisation de l'entreprise - et qu'elle refuse car elle doit emmener son enfant à la crèche, c'est un motif de licenciement. La brèche réside dans cette idée de nécessité justement».
Reste la question du poids juridique d'une simple circulaire. Concrètement, elle n'a pas force de loi mais préconise des orientations. Elle permet aux administrations de «communiquer avec leurs agents et les usagers pour exposer les principes d'une politique». Selon Michel Henry «elle constitue un cadre donnant les outils juridiques aux administrations mais n'a pas force obligatoire». Pour autant, l'impact d'une circulaire n'est pas à prendre à la légère. «L'inspection du travail et les administrations garderont leur libre appréciation, mais on les invite à faire preuve de souplesse. Or, le droit n'est justement pas fait pour être souple, ce n'est pas un trampoline !».
«Circonstances particulières»
Au ministère du travail, la circulaire DGT 2009/16 est décrite comme «un phare dans la nuit, un document de référence pour aider les entreprises à anticiper la pandémie, si pandémie il y a». A l'évocation d'un possible malaise chez les salariés, notre interlocuteur - un membre du cabinet de Xavier Darcos - est surpris. «Ces mesures se feraient dans des circonstances très particulières et pour une durée limitée, précise-t-il. Elles seraient mises en œuvre pour limiter l'impact économique d'une telle pandémie».
Avec environ 800 cas avérés en France et aucun décès, le qualificatif de «circonstances particulières» est encore loin d'être d'actualité. Au delà de l'aspect sanitaire, et face aux assouplissements du droit du travail qu'il pourrait engendrer, le passage en phase 6 évoqué par Roselyne Bachelot peut faire frémir plus d'un salarié.
http://www.liberation.fr/societe/010158 ... a-grippe-a
Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
Les entreprises françaises sont priées par le gouvernement de prendre des mesures en vue d'une éventuelle pandémie de grippe A(H1N1) à la rentrée, qui pourrait provoquer selon lui un absentéisme très important.
Dans une communication rendue publique mercredi, le ministère du Travail leur demande de mettre au point un Plan de continuité d'activité (PCA).
Il envisage le recours à des mesures extrêmes sur le plan du droit du travail, comme le rappel des retraités ou la "modification des plages d'ouverture".
Une circulaire de la Direction générale du travail diffusée le 3 juillet préconisait déjà une série de mesures. "Il en va de la survie de l'économie nationale", lit-on dans ce document publié par plusieurs médias.
Cette circulaire décrivait les possibles modifications profondes et exceptionnelles des conditions de travail des salariés, nouveaux horaires, aménagements de postes et des lieux de travail, polyvalence pour remplacer les absents.
La France, où le niveau d'alerte est actuellement fixé à 5A, comptabilisait le 28 juillet 1.022 cas confirmés et probables de grippe A(H1N1), selon l'Institut national de veille sanitaire.
Quatre personnes sont hospitalisées dans des états décrits comme "graves" par l'institut. Il n'y pas eu de décès à ce jour.
"La pandémie grippale peut toucher une personne sur trois, entraîner un taux d'absentéisme très important qui désorganise la vie économique", écrit le ministère.
Il demande aux entreprises de constituer des stocks de masques et d'instaurer des mesures d'hygiène renforcées.
Il faut, dit-il, "envisager la modification des plages d'ouverture ou d'activités", "recourir si nécessaire à du personnel extérieur (intérimaires, prêt de main-d'oeuvre entre entreprises, retraités...), envisager le télétravail".
Mardi, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot avait déclaré que le niveau 6 d'alerte à la grippe A (H1N1) pourrait être décrété en France à la rentrée de septembre.
Le syndicat patronal CGPME recommande à ses adhérents, dans une communication publiée mercredi, de constituer des stocks supplémentaires pour faire face aux éventuelles pénuries d'approvisionnement. Il leur demande de refuser la participation à des congrès ou séminaires et d'acquérir les équipements nécessaires au télétravail.
Dans une communication rendue publique mercredi, le ministère du Travail leur demande de mettre au point un Plan de continuité d'activité (PCA).
Il envisage le recours à des mesures extrêmes sur le plan du droit du travail, comme le rappel des retraités ou la "modification des plages d'ouverture".
Une circulaire de la Direction générale du travail diffusée le 3 juillet préconisait déjà une série de mesures. "Il en va de la survie de l'économie nationale", lit-on dans ce document publié par plusieurs médias.
Cette circulaire décrivait les possibles modifications profondes et exceptionnelles des conditions de travail des salariés, nouveaux horaires, aménagements de postes et des lieux de travail, polyvalence pour remplacer les absents.
La France, où le niveau d'alerte est actuellement fixé à 5A, comptabilisait le 28 juillet 1.022 cas confirmés et probables de grippe A(H1N1), selon l'Institut national de veille sanitaire.
Quatre personnes sont hospitalisées dans des états décrits comme "graves" par l'institut. Il n'y pas eu de décès à ce jour.
"La pandémie grippale peut toucher une personne sur trois, entraîner un taux d'absentéisme très important qui désorganise la vie économique", écrit le ministère.
Il demande aux entreprises de constituer des stocks de masques et d'instaurer des mesures d'hygiène renforcées.
Il faut, dit-il, "envisager la modification des plages d'ouverture ou d'activités", "recourir si nécessaire à du personnel extérieur (intérimaires, prêt de main-d'oeuvre entre entreprises, retraités...), envisager le télétravail".
Mardi, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot avait déclaré que le niveau 6 d'alerte à la grippe A (H1N1) pourrait être décrété en France à la rentrée de septembre.
Le syndicat patronal CGPME recommande à ses adhérents, dans une communication publiée mercredi, de constituer des stocks supplémentaires pour faire face aux éventuelles pénuries d'approvisionnement. Il leur demande de refuser la participation à des congrès ou séminaires et d'acquérir les équipements nécessaires au télétravail.
Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
Conclusion, le gouvernement se fiche complétement que la population soit atteinte par la grippe A. Ce qui compte, c'est que la sainte économie continue à fonctionné pour enrichir les nantis.
Ecoeurant !
Je refuse d'être une variable d'ajustement !
Ecoeurant !
Je refuse d'être une variable d'ajustement !

Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
Tout cela n'empêche pas les médias à sensations de faire leurs choux gras avec des titres alarmistes, comme hier la page Orange sur le net :
"1 er mort de la grippe H1N1" ... or il s'avère en lisant l'article que la personne (une jeune fille) souffrait d'une pathologie rare, une grave maladie pulmonaire, et particulièrement exposée.
Tout est bon pour alarmer le chaland et entretenir la psychose.
Aujourd'hui, revirement et nouveau titre : "le décès pas dû à la grippe ?"
Décès à Brest: le lien avec la grippe A est un raccourci selon un professeur du CHU

"1 er mort de la grippe H1N1" ... or il s'avère en lisant l'article que la personne (une jeune fille) souffrait d'une pathologie rare, une grave maladie pulmonaire, et particulièrement exposée.
Tout est bon pour alarmer le chaland et entretenir la psychose.
Aujourd'hui, revirement et nouveau titre : "le décès pas dû à la grippe ?"
Décès à Brest: le lien avec la grippe A est un raccourci selon un professeur du CHU

Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
Il parait qu'en France, il y aurait eu un millier de victimes de cette grippe et maintenant une personne décédée.
Cela tendrait à confirmer le taux d'une personne sur mille qui décéderait de cette grippe.
Vous voyez l''effet statistique à l'oeuvre: plus le nombre de gens infectés va croître plus cette maladie va tuer...
PS:
Mais pour en mourir il n'y a peut-être pas besoin d'être aussi malade que l'était cette jeune fille.
Cela tendrait à confirmer le taux d'une personne sur mille qui décéderait de cette grippe.
Vous voyez l''effet statistique à l'oeuvre: plus le nombre de gens infectés va croître plus cette maladie va tuer...
PS:
S'il ne fallait pas un terrain propice dans un individu, une spécificité, tous les gens infectés décéderaient."1 er mort de la grippe H1N1" ... or il s'avère en lisant l'article que la personne (une jeune fille) souffrait d'une pathologie rare, une grave maladie pulmonaire, et particulièrement exposée.
Mais pour en mourir il n'y a peut-être pas besoin d'être aussi malade que l'était cette jeune fille.
Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
Certes, il y des raisons de s'inquièter...
Une grippe n'est pas une simple angine.
Mais je critiquais la façon dont a été relayée cette info, avec un titre choc qui aurait pu laisser croire qu'une personne en bonne santé venait de décéder de la grippe. Genre d'accroche minable, à peine alarmiste.
Tout cela avant de faire machine arrière le landemain.

Une grippe n'est pas une simple angine.
Mais je critiquais la façon dont a été relayée cette info, avec un titre choc qui aurait pu laisser croire qu'une personne en bonne santé venait de décéder de la grippe. Genre d'accroche minable, à peine alarmiste.
Tout cela avant de faire machine arrière le landemain.

Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
Grippe A: le préfet suspend le débarquement des passagers à Marseille
http://www.liberation.fr/societe/010158 ... EPR-450206
http://www.liberation.fr/societe/010158 ... EPR-450206
Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
Au sujet de la grippe A, h1n1, des compléments d'info vu par la grille de lecture des établissements médico-sociaux :
http://danielgacoin.blogs.com/blog/2009 ... A9dic.html
http://danielgacoin.blogs.com/blog/2009 ... A9dic.html
Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
Un lien référencé par le Monolecte qui informe de façon assez exhaustive sur la grippe et la grippe A/H1N1 :
http://blogue.passeportsante.net/martin ... point.html
http://blogue.passeportsante.net/martin ... point.html
-
- Messages : 244
- Inscription : 22 nov. 2004
- Contact :
Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
romain23 a écrit :Ongles_noirs a écrit :Grippe A-H1N1, par ici la bonne "galette"...
Grippe porcine : Une journaliste autrichienne accuse l'ONU et des responsables politiques de préparer un génocide planétaire
Source : Natural news
Une journaliste d’investigation autrichienne prévient le monde entier que le plus grand crime de l’histoire de l’humanité est en marche. Jane Burgermeister a récemment déposé une plainte auprès du FBI. Elle accuse l’Organisation Mondiale de la Santé, L’ONU, et plusieurs personnalités politiques hauts placés de vouloir commettre un génocide de masse. Elle a aussi préparé une procédure de justice contre la vaccination forcée qui se prépare aux USA. Elle avait préalablement lancé une procédure de justice contre les sociétés pharmaceutiques Baxter et Avir Green Hills Technology, qu’elle juge responsable d’avoir délibérément produit la grippe porcine afin d’en retirer des bénéfices (productions de vaccins etc.).
Elle présente des preuves de bioterrorisme, qui sont en violation avec la législation américaine et accuse des responsables politiques américains d’agir pour le compte des banquiers internationaux, qui eux-mêmes contrôlent la Réserve Fédérale américaine, l’ONU, et l’OTAN. Elle les accuse de fomenter un génocide de masse contre la population américaine, par l’utilisation de la grippe porcine. Les personnalités visées par la plainte sont Barack Obama, David Nabarro (Coordinateur de la grippe porcine à l’ONU), Janet Napolitano (Secrétaire d’état à la Sécurité Intérieure) David de Rotschild, David Rockefeller, George Soros, (investisseur international) Werner Faymann (Chancelier d’Autriche), Alois Stoger (Ministre de la santé Autrichienne).
Aux yeux de cette journaliste, les personnes citées précédemment, font partie d’un syndicat international du crime qui ont développé, produit, et employé des armes biologiques pour éliminer les populations des USA et d’autres pays, et ce pour des fins politiques et financiers. Elle les accuse d’avoir conspiré ensemble, et d’être les responsables du financement du programme international d’armes biologiques, impliquant des compagnies pharmaceutiques tels que Baxter et Novartis. Ils ont crée le prétexte de la grippe porcine pour justifier leur plan de vaccination de masse, et sera le bon moyen d’administrer un agent biologique toxique qui causera la mort du peuple américain. Cette action est une violation de la loi antiterroriste sur l’emploi d’armes biologiques.
Sources : artemisia-college.org
bonjour
ou cette source

http://www.hoaxbuster.com/hoaxteam/foru ... Mess=78826
Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
bonjour
ou cette source
http://www.hoaxbuster.com/hoaxteam/foru ... 882(quote)
Le mieux c'est d'attendre et de voir venir!
Ainsi , on saura (ou ne saura pas, si on est décimé
) si c'est un Hoax qui circule ou pas!
Quoiqu'il en soit une rumeur est toujours fondée sur quelque chose!A vrai dire, on ne sait vraiment pas ce que les pouvoirs publics nous trament avec cette histoire de gripper les systèmes. Un coup c'est dangereux, un coup ça ne l'est pas!
ou cette source
http://www.hoaxbuster.com/hoaxteam/foru ... 882(quote)
Le mieux c'est d'attendre et de voir venir!
Ainsi , on saura (ou ne saura pas, si on est décimé

Quoiqu'il en soit une rumeur est toujours fondée sur quelque chose!A vrai dire, on ne sait vraiment pas ce que les pouvoirs publics nous trament avec cette histoire de gripper les systèmes. Un coup c'est dangereux, un coup ça ne l'est pas!
Re: Grippe A-H1N1 et gros profits...
Hoax ou pas, conspiration ou réalité, un chose est sûre : Il y en a qui s'en mettent et vont encore s'en mettre plein les fouilles...