Vous, le RSA, vous en pensez quoi ?
Et vous que pensez-vus de tout cela ?
* 1977 : "Pacte pour l'emploi des jeunes", premiers contrats de travail dont les cotisations patronales sont prises en charge par l'État.
* 1981 : Grande période des stages défiscalisés en entreprise avec formation complémentaire comme les "Stages de formation alternée" et les "Stages d'orientation approfondie" pour les 16-21 ans, puis les "stages de préparation à la vie professionnelle" et les "Stages jeunes volontaires" pour les 18-21 ans.
* 1983 : "Stages d'initiation à la vie professionnelle" (SIVP) et "Contrat de qualification" pour les jeunes, travail avec formation en alternance sous le statut d'apprentis.
* 1984 : "Travail d'utilité collective" (TUC), mi-temps de 6 mois renouvelables au sein de collectivités locales et d'associations.
* 1990 : "Contrat emploi solidarité" (CES), mi-temps de 12 mois renouvelables dans le secteur non-marchand.
* 1992 : Nouveaux emplois aidés par l'Etat d'une durée totale de 5 ans comme les "Contrat emploi consolidé" (CEC), super CES à trois quarts temps, et les "Contrat retour à l'emploi" (CRE) à durée déterminée ou indéterminée avec formation.
* 1995 : "Contrat initiative emploi" (CIE), travail dans le secteur privé pour les chômeurs de longue durée et les allocataires d'un minima social.
* 1997 : "Emplois Jeunes", contrats à temps plein de 5 ans réservés au moins de 26 ans et payés au smic.
* 2003 : "Contrat d'insertion des jeunes dans la vie sociale" (CIVIS) pour les jeunes non-qualifiés.
* 2005 : Diminution de la défiscalisation des nouveaux emplois aidés par l'État, dont
o le "Contrat d'accompagnement dans l'emploi"(CAE pour remplacer les CES et les CEC),
o le "Contrat d'avenir" ( ouvert au secteur non-marchand pour les allocataires d'un minima social),
o le "Revenu minimum d'activité" (RMA pour activer le RMI), le "Contrat jeunes en entreprise" (CJE qui succède au Contrat de qualification), le "Contrat de professionalisation" (même chose à partir de 26 ans) et le "Contrat nouvelle embauche" (CNE qui inaugure pour les petites entreprises privées une période d'essai de 2 ans).
* 2006 :
o "Contrat première embauche" (CPE), simple CNE pour les jeunes.
o Le CPE (ridiculement et pompeusement nommé «loi sur l'égalité des chances») n'est donc que l'avatar d'une longue série de mesures prises, par la Droite comme par la Gauche pour essayer de résoudre un problème insoluble, celui du chômage.
*2008 :
RSA, voir 2006.
* 1977 : "Pacte pour l'emploi des jeunes", premiers contrats de travail dont les cotisations patronales sont prises en charge par l'État.
* 1981 : Grande période des stages défiscalisés en entreprise avec formation complémentaire comme les "Stages de formation alternée" et les "Stages d'orientation approfondie" pour les 16-21 ans, puis les "stages de préparation à la vie professionnelle" et les "Stages jeunes volontaires" pour les 18-21 ans.
* 1983 : "Stages d'initiation à la vie professionnelle" (SIVP) et "Contrat de qualification" pour les jeunes, travail avec formation en alternance sous le statut d'apprentis.
* 1984 : "Travail d'utilité collective" (TUC), mi-temps de 6 mois renouvelables au sein de collectivités locales et d'associations.
* 1990 : "Contrat emploi solidarité" (CES), mi-temps de 12 mois renouvelables dans le secteur non-marchand.
* 1992 : Nouveaux emplois aidés par l'Etat d'une durée totale de 5 ans comme les "Contrat emploi consolidé" (CEC), super CES à trois quarts temps, et les "Contrat retour à l'emploi" (CRE) à durée déterminée ou indéterminée avec formation.
* 1995 : "Contrat initiative emploi" (CIE), travail dans le secteur privé pour les chômeurs de longue durée et les allocataires d'un minima social.
* 1997 : "Emplois Jeunes", contrats à temps plein de 5 ans réservés au moins de 26 ans et payés au smic.
* 2003 : "Contrat d'insertion des jeunes dans la vie sociale" (CIVIS) pour les jeunes non-qualifiés.
* 2005 : Diminution de la défiscalisation des nouveaux emplois aidés par l'État, dont
o le "Contrat d'accompagnement dans l'emploi"(CAE pour remplacer les CES et les CEC),
o le "Contrat d'avenir" ( ouvert au secteur non-marchand pour les allocataires d'un minima social),
o le "Revenu minimum d'activité" (RMA pour activer le RMI), le "Contrat jeunes en entreprise" (CJE qui succède au Contrat de qualification), le "Contrat de professionalisation" (même chose à partir de 26 ans) et le "Contrat nouvelle embauche" (CNE qui inaugure pour les petites entreprises privées une période d'essai de 2 ans).
* 2006 :
o "Contrat première embauche" (CPE), simple CNE pour les jeunes.
o Le CPE (ridiculement et pompeusement nommé «loi sur l'égalité des chances») n'est donc que l'avatar d'une longue série de mesures prises, par la Droite comme par la Gauche pour essayer de résoudre un problème insoluble, celui du chômage.
*2008 :
RSA, voir 2006.
Le RSA ne vise que le besoin de ressources...pas l'emploi !
Au delà du cas précis où le RSA aggrave la précarité du bénéficiaire (y en aura-t-il d'autres à découvrir ?), cette mesure parle seulement du besoin de ressources supplémentaires pour un bénéficiaire du RMI ou de l'API qui reprend un travail...précaire. Il s'agit d'une pérennisation de la précarité.
Encore une fois une mesure à la lorgnette de son initiateur qui se limite à ce qu'il connait de loin, la pauvreté ! Il est question de retour à l'emploi, de ressources, saupoudré de "valeur travail", d'incitation à être actif (?), mais en quoi le RSA aide -t-il le marché du travail ? A-t-il une incidence sur la création d'emploi, change-t-il les mentalités ? Non, il facilite l'essor des contrats précaires puisque sont offert sur un plateau des compétences à des coûts défiant toute concurrence.
Je pense que Martin HIRSCH a raté son entrée dans une "ouverture gouvernementale" dont il aurait pu anticiper la politique élitiste et le retour moyenâgeux qui favorise les privilèges. Son erreur est humaine sauf que la conséquence sera dramatique s'il persiste à sacrifier les précaires...
Vincent de ROCHER-LECLERCQ
Encore une fois une mesure à la lorgnette de son initiateur qui se limite à ce qu'il connait de loin, la pauvreté ! Il est question de retour à l'emploi, de ressources, saupoudré de "valeur travail", d'incitation à être actif (?), mais en quoi le RSA aide -t-il le marché du travail ? A-t-il une incidence sur la création d'emploi, change-t-il les mentalités ? Non, il facilite l'essor des contrats précaires puisque sont offert sur un plateau des compétences à des coûts défiant toute concurrence.
Je pense que Martin HIRSCH a raté son entrée dans une "ouverture gouvernementale" dont il aurait pu anticiper la politique élitiste et le retour moyenâgeux qui favorise les privilèges. Son erreur est humaine sauf que la conséquence sera dramatique s'il persiste à sacrifier les précaires...
Vincent de ROCHER-LECLERCQ
En 2009, ce que je vois poindre c'est le renforcement de la police sociale qui sera chargée de forcer les assujettis au RMI et à ceux assujettis à l'API d'accepter n'importe quel emploi.
Des millions de gens vont subir une pression très forte pour les contraindre à exercer des emplois que personne ne veut (mauvais salaire, travail à temps très partiel irrégulier, conditions de travail déplorables) vu le manque d'emplois décents et la situation de l'emploi qui se dégrade.
Je rappelle que La Convention sur l'abolition du travail forcé de 1957 proscrit le travail forcé et obligatoire notamment dans les cas suivants: - En tant que méthode de mobilisation et d'utilisation de la main-d'oeuvre à des fins de développement économique - En tant que mesure de discipline du travail.
Des millions de gens vont subir une pression très forte pour les contraindre à exercer des emplois que personne ne veut (mauvais salaire, travail à temps très partiel irrégulier, conditions de travail déplorables) vu le manque d'emplois décents et la situation de l'emploi qui se dégrade.
Je rappelle que La Convention sur l'abolition du travail forcé de 1957 proscrit le travail forcé et obligatoire notamment dans les cas suivants: - En tant que méthode de mobilisation et d'utilisation de la main-d'oeuvre à des fins de développement économique - En tant que mesure de discipline du travail.
LE SONDAGE DU JOUR
Seules 8% des personnes interrogées estiment que le RSA est un "très mauvais" dispositif, et 18% "assez mauvais". Les autres trouvent ça pas mal (55%) ou très bien (19%). Cette "adhésion massive" révèle que - comme d'habitude - les gens sont très mal informés. Et pour les cadres et professions libérales - qui le plébiscitent -, ils sont certainement séduits par le fait de remettre ces fainéants de RMIstes au travail.
Seules 8% des personnes interrogées estiment que le RSA est un "très mauvais" dispositif, et 18% "assez mauvais". Les autres trouvent ça pas mal (55%) ou très bien (19%). Cette "adhésion massive" révèle que - comme d'habitude - les gens sont très mal informés. Et pour les cadres et professions libérales - qui le plébiscitent -, ils sont certainement séduits par le fait de remettre ces fainéants de RMIstes au travail.
Cette "adhésion massive" révèle que - comme d'habitude - les gens sont très mal informés.(quote)
ET dans un an ou deux, ils seront tous sur le forum d'ACTU à poser des questions parce qu'ils se seront fait B ..... et, de surcroit tous les salaries au SMIC ( s'il existe encore)seront en train de raler après ses salauds de RSAIste parce qu'ils seront fait piquer leur poste , pour un patronat qui paiera moins cher leurs salariés!
Cela me rapelle le temps prélectoral de la presidentielle où l'on tentait vainement de prévenir les gens sur la mise en place d'une politique ultra libérale à l'américaine.En plus, maintenant faut consoler ceux qui regrettent leur vote!
Va falloir aller consoler ensuite les smicarts, les RSA et les autres!
Et c'est nous les salauds soi disant parce qu'on refuse les emplois d'esclave!
ET dans un an ou deux, ils seront tous sur le forum d'ACTU à poser des questions parce qu'ils se seront fait B ..... et, de surcroit tous les salaries au SMIC ( s'il existe encore)seront en train de raler après ses salauds de RSAIste parce qu'ils seront fait piquer leur poste , pour un patronat qui paiera moins cher leurs salariés!
Cela me rapelle le temps prélectoral de la presidentielle où l'on tentait vainement de prévenir les gens sur la mise en place d'une politique ultra libérale à l'américaine.En plus, maintenant faut consoler ceux qui regrettent leur vote!
Va falloir aller consoler ensuite les smicarts, les RSA et les autres!
Et c'est nous les salauds soi disant parce qu'on refuse les emplois d'esclave!
moi je touche le RSA
mais je n'ai toujours pas signé leur contrat, çà sent l'arnaque à plein tube.
Qui plus est, la personne qui s'en occupe est très désagréable, méprisante et ne se cache pas de vouloir "faire du chiffre", c'est-à-dire faire sortir le RMIste du système à tout prix.
Ils ont recruté des requins aux dents longues pour un système de fliquage perfectionné, rien d'autre.
mais je n'ai toujours pas signé leur contrat, çà sent l'arnaque à plein tube.
Qui plus est, la personne qui s'en occupe est très désagréable, méprisante et ne se cache pas de vouloir "faire du chiffre", c'est-à-dire faire sortir le RMIste du système à tout prix.
Ils ont recruté des requins aux dents longues pour un système de fliquage perfectionné, rien d'autre.
cher campagnol,
merci de ton témoignage.
la description que tu fais de ton "référent" rsa est tout à fait ce que l'on peut imaginer du futur conseiller anpe/assédic fusionné : soumis aux chiffres et aux objectifs individuels, appliquant à la lettre ses consignes, orientations, politique de l'emploi quelconque, pour "remettre à l'emploi" coute que coute le pov mec qui lui aura rien demandé, contraignant, sans y avoir l'air, sûr de son bon droit, sûr de rendre service, sûr qu'il agit pour le bien être des chomeurs. les réformes actuelles de nos procédures sont si ingrates, déshumanisantes. les demandeurs d'emploi sont catégorisés, rangés, triés. les profils sont codifiés, notés. à chaque catégorie son parcours, à chaque parcours ses étapes obligatoires, sinon sanction. et cette "alerte" quand on a le malheur de codifier dans un dossier que le demandeur va travailler sur son "projet". une alerte ! comme si le travail sur projet était une anomalie... c'est abérant. le mot formation est devenu un gros mot. c'est la course au budget. pour faire financer une formation qui ne s'inscrit pas dans les besoins "du marché local", donc du patronat, alors accroche toi, et résiste. ça a marché pour un de mes demandeurs, 12 mois de démarches incessantes, sa formation de 12 mois est déjà terminée, il n'aura décroché son financement que fin septembre, avec les huissiers à sa porte.
désolée de vous imposer "ça". quand je pense que je pourrais devenir "ça", je me sens nauséeuse.
merci de ton témoignage.
la description que tu fais de ton "référent" rsa est tout à fait ce que l'on peut imaginer du futur conseiller anpe/assédic fusionné : soumis aux chiffres et aux objectifs individuels, appliquant à la lettre ses consignes, orientations, politique de l'emploi quelconque, pour "remettre à l'emploi" coute que coute le pov mec qui lui aura rien demandé, contraignant, sans y avoir l'air, sûr de son bon droit, sûr de rendre service, sûr qu'il agit pour le bien être des chomeurs. les réformes actuelles de nos procédures sont si ingrates, déshumanisantes. les demandeurs d'emploi sont catégorisés, rangés, triés. les profils sont codifiés, notés. à chaque catégorie son parcours, à chaque parcours ses étapes obligatoires, sinon sanction. et cette "alerte" quand on a le malheur de codifier dans un dossier que le demandeur va travailler sur son "projet". une alerte ! comme si le travail sur projet était une anomalie... c'est abérant. le mot formation est devenu un gros mot. c'est la course au budget. pour faire financer une formation qui ne s'inscrit pas dans les besoins "du marché local", donc du patronat, alors accroche toi, et résiste. ça a marché pour un de mes demandeurs, 12 mois de démarches incessantes, sa formation de 12 mois est déjà terminée, il n'aura décroché son financement que fin septembre, avec les huissiers à sa porte.
désolée de vous imposer "ça". quand je pense que je pourrais devenir "ça", je me sens nauséeuse.

C'est tout à fait mon sentiment.tristesir a écrit :En 2009, ce que je vois poindre c'est le renforcement de la police sociale qui sera chargée de forcer les assujettis au RMI et à ceux assujettis à l'API d'accepter n'importe quel emploi.
L'idée de M.Hirsch est louable sur le fond mais se rend-il compte que sa noblesse de coeur est utilisée par la droite pour assujettir encoreplus des millions de pauvres ?
Cette mesure ne s'attaque pas au problème de l'emploi, pire elle va l'aggraver en tirant vers le bas les plus démunis des salariés et en créant un sous Smic.
En revanche je me demande si on pourra se payer le luxe de refuser de signer le RSA lorsqu'on n'a plus rien d'autre pour vivre...
J'entendais dernièrement à la radio un politique UMP défendre le RSA. Il expliquait que les revenus issu du RMI de 450 euros (qui souvent sont 50 euros de moins (moins forfait allocation de logement)) sera augmenté "facilement" de 400 euros. Il a bien sûr oublié de dire que si les revenus montent effectivement de 400 euros que l'allocation de logement va baisser significativement. Et qu'en est-il de la CMU ? Normalement c'est terminé avec 800 euros de revenus.
Je crois que c'est beaucoup moins, quelque chose comme 600 et quelques euros, ou bien ? (Maguy)
618, 28 € très exactement pour une personne seule!
Les beneficiaires de l'aah qui perçoivent à ce jour 628 € d'allocation sont effectivement obligés de souscrire à une mutuelle.
J'entendais dernièrement à la radio un politique UMP défendre le RSA. Il expliquait que les revenus issu du RMI de 450 euros (qui souvent sont 50 euros de moins (moins forfait allocation de logement)) sera augmenté "facilement" de 400 euros(quote diéty)
Jusqu'à présent les experimentations faites sur les departements sélectionnés laissent entrevoir un surplus de 200 € . C'est ENORME , n'est ce pas? Ceci à cause de la multiplication des temps partiels eligibles au RSA , et, de surcroit, quand se surajoute les frais de garde d'enfants ou les frais de transports!!!
Classes moyennes, rentrez vos bulletins de salaires, vos avantages acquis, votre ancienneté et tout SCHUSS au RSA!
618, 28 € très exactement pour une personne seule!
Les beneficiaires de l'aah qui perçoivent à ce jour 628 € d'allocation sont effectivement obligés de souscrire à une mutuelle.
J'entendais dernièrement à la radio un politique UMP défendre le RSA. Il expliquait que les revenus issu du RMI de 450 euros (qui souvent sont 50 euros de moins (moins forfait allocation de logement)) sera augmenté "facilement" de 400 euros(quote diéty)
Jusqu'à présent les experimentations faites sur les departements sélectionnés laissent entrevoir un surplus de 200 € . C'est ENORME , n'est ce pas? Ceci à cause de la multiplication des temps partiels eligibles au RSA , et, de surcroit, quand se surajoute les frais de garde d'enfants ou les frais de transports!!!
Classes moyennes, rentrez vos bulletins de salaires, vos avantages acquis, votre ancienneté et tout SCHUSS au RSA!
Théoriquement, le RSA a pour particularité de permettre le maintient des presta annexes même en cas de dépassement de plafond. Mais faudra voir les décrets. Et la tronche du SMICard à côté qui avec le même salaire n'aura le droit à rien.
Encore un truc qui va fluidifier la solidarité entre les pauvres!
Encore un truc qui va fluidifier la solidarité entre les pauvres!
Mais faudra voir les décrets. Et la tronche du SMICard à côté qui avec le même salaire n'aura le droit à rien. (Monolecte)
Il y a actuellement 1 millions de rmistes en France, le RSA doit s'adresser , dans le projet actuel à 4, 5 millions de personnes!
Ou est l'intrus, si ce n'est la suppression du SMic au profit du RSA, et, la suppression de la classe moyenne.
Il y a actuellement 1 millions de rmistes en France, le RSA doit s'adresser , dans le projet actuel à 4, 5 millions de personnes!
Ou est l'intrus, si ce n'est la suppression du SMic au profit du RSA, et, la suppression de la classe moyenne.
Il y a actuellement 1 millions de rmistes en France, le RSA doit s'adresser , dans le projet actuel à 4, 5 millions de personnes!
tu ajoutes aux rmsites les "ayant droit" (les conjoints quoi), les bénéficiaires de l'ASS, de l'API et de l'AAH, et tu arrives a tes 4,5 millions de bénéficiaires. le rsa s'adresse aux bénéficiaires des minimas sociaux.
tu ajoutes aux rmsites les "ayant droit" (les conjoints quoi), les bénéficiaires de l'ASS, de l'API et de l'AAH, et tu arrives a tes 4,5 millions de bénéficiaires. le rsa s'adresse aux bénéficiaires des minimas sociaux.