Publié : 29 mars 2008
conclusion : supprimer la solidarité et le principe de l'intervention de l'Etat pour mettre en oeuvre les conditions permettant à tous de vivre de façon décente est sans aucun doute le remettre en cause a écrit PILI.
Si l'on en Juge par la suppression du nombre de postes de travailleurs sociaux , ces dernières années et par le demantèlement de beaucoup de structures sociales, foyer ou autres, l'on est en droit de se dire que la solidarité est déjà terminée. Faudra aller chez le curé!
Me rendant l'autre jour, dans un bureau de police dans une cité de la desespérance, j'ai pu constater qu'il ne manquait pas de personnel.Ils étaient 3 dans le bureau, avec le major en surplus.La donzelle , sans doute un besoin de se valoriser, cherchait sa casquette, puis racontait ses vacances en Espagne, pendant que le major, etudiait ses stastitiques.Satisfait de la culture des resultats de son comissariat de quartier qui enregistrait 3 plaintes par jour, il critiquait l'autre cité où rien ne se passait.
Avec un brin de nostalgie, je me suis rappelé ma jeunesse où nous étions 3 dans un bureau à écouter un " malade"
Maintenant, en psychiatrie, quand il y a quelqu'un pour écouter c'est vraiment du grand luxe.
Signe de l'evolution des temps et du remplacement d'une société de soins et d'écoute par le remplacement d'un état policier.
Si l'on en Juge par la suppression du nombre de postes de travailleurs sociaux , ces dernières années et par le demantèlement de beaucoup de structures sociales, foyer ou autres, l'on est en droit de se dire que la solidarité est déjà terminée. Faudra aller chez le curé!
Me rendant l'autre jour, dans un bureau de police dans une cité de la desespérance, j'ai pu constater qu'il ne manquait pas de personnel.Ils étaient 3 dans le bureau, avec le major en surplus.La donzelle , sans doute un besoin de se valoriser, cherchait sa casquette, puis racontait ses vacances en Espagne, pendant que le major, etudiait ses stastitiques.Satisfait de la culture des resultats de son comissariat de quartier qui enregistrait 3 plaintes par jour, il critiquait l'autre cité où rien ne se passait.
Avec un brin de nostalgie, je me suis rappelé ma jeunesse où nous étions 3 dans un bureau à écouter un " malade"
Maintenant, en psychiatrie, quand il y a quelqu'un pour écouter c'est vraiment du grand luxe.
Signe de l'evolution des temps et du remplacement d'une société de soins et d'écoute par le remplacement d'un état policier.